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Chapitre 47 : Le festival

Pdv Aïko :

J'ai arrêté de compter le temps. 
Tous ce que je constate, c'est que mon ventre ne cesse de gonfler. Et c'est d'ailleurs pour ça que tout à l'heure j'ai un shooting photo tout à l'heure. 

Mais d'abord, il y a Eri ! 

C'est d'ailleurs pour ça que je me suis levée à six heures ce matin pour vérifier sa chambre une fois de plus. Eri sort de l'hôpital aujourd'hui, et étant sa seule parente, je la prends sous mon aile. Alors, Shota et moi, nous lui avons aménagé une chambre dans une des nombreuses pièces qui me sert de bibliothèque. On a profité également pour vider la pièce en face, qui ne sevrait à rien, pour en faire une chambre pour le futur bébé. Il devrait arriver d'ici quatre mois. Et non, vous ne serez pas le sexe en avance. Tous comme Shota. 
(Nda : bon alors, niveau temporalité de la grossesse on va pas s'embêter😅)
(Nda 1 : chambre d'Eri en média, pour vous donner une image)

Une fois que j'ai arrangé pour millième fois la couette et les rideaux de la chambre, je sens Shota dans mon dos. Il pose ses mains sur mes épaules, et m'embrasse dans le cou. 

Shota :  Bonjour chérie. 

Aïko : Tu te lèves enfin ? 

Shota : Enfin ? 

Aïko : Je te rappel que tu dois allé chercher Eri aujourd'hui ! 

Shota : Oui, et j'irai la chercher à quatorze heure, comme convenu, je te rappel.

Aïko : Oui pardon. Je suis juste un peu stressée, je veux qu'elle puisse se sentir comme chez elle. 

Shota : Aïko, je pense que ça fera l'affaire, d'accord ? Allez vient, allons prendre le petit déjeuner. 

Je le suis, prenant bien soin de fermer la prote derrière moi. La journée va être chargé. A quatorze heure Eri arrive, à seize heure, je par pour le shooting, et à dix-huit heure trente nous devons allé au festival, pour rejoindre Mirio. Enfin, Shota sera déjà sur place, vu qu'il doit aider la seconde A pour la préparation de leur spectacle. Mirio viendra la chercher entre temps. Ouh la la... Je n'ai qu'une hâte, que la petite sorte de cette horrible endroit.

***
*14h 30*

Shota devrait arriver d'une minute à l'autre. 
Je fais les cents pas devant la porte en attendant. J'active machinalement mon alter dans mes oreilles pour améliorer mon ouïe. Vu que la maison est située loin de la rue, on ne peut pas entendre lorsqu'une voiture se gare. 

Soudain, j'en entends une. J'entends aussi une petite voix de fille. C'est eux ! Je désactive mon alter, et ouvre la porte d'entrée, en même temps que Shota ouvre la grande porte du portail noir.

La petite Eri dépasse le portail, la tête baissée, toute timide. Elle lève les yeux, et quand ses yeux croisent les miens, elle cours vers moi, avant de me sauter dessus.

Eri : TATAAAA !

Aïko : Ma puce ! Je m'agenouille, tout en la serrant dans mes bras.  Comment tu vas Eri ? Demandais je, en desserrant un peu mon étreinte. 

Eri : Oui. Dit elle, gentiment. Sho... Shota est très gentil. Il est venu me voir tous les jours à l'hôpital. Merci aussi pour les fleurs tata.

Tous les jours je prenais soin d'aller acheter des fleurs que je confiais à Shota pour Eri. Il lui avait expliqué pourquoi je ne pouvais pas venir, et, heureusement, elle l'avait compris.

Shota : Eri, ta tata aimerait te montrer ta nouvelle chambre. Comme ça tu pourras y ranger tes quelques affaires.

Eri acquiesce, tandis que Shota m'aide à me relever. Eri attrape ma main et je la guide vers l'intérieur. Je lui fis une rapide visite du rez de chaussé, en lui expliquant par la même occasion se qu'elle a droit de faire et non. Elle reste une petite fille qui a besoin de cadre. Nous avons décidé de lui imposer les mêmes règles que celle qu'on imposera à notre enfant.