𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏𝟐

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Après la confrontation chargée d'émotions chez le père de Coumba, la situation semblait s'apaiser. La famille commençait à accepter la réalité de ce que Coumba avait vécu, et des plans étaient mis en place pour assurer sa sécurité. Cependant, alors que les membres de la famille discutaient des prochaines étapes, un coup brusque à la porte fit sursauter tout le monde. Les regards se tournèrent vers la porte d'entrée, l'inquiétude se lisant sur leurs visages.

Le Père de Coumba : (fronçant les sourcils) eh c'est qui sa ?

Avant que quelqu'un ne puisse répondre, la porte s'ouvrit, et Samba fit son apparition. Son visage était marqué par une expression de colère contenue, mais aussi d'une détermination inquiétante. Il avait l'air exténué, comme s'il avait été en proie à une lutte intérieure. La pièce se figea instantanément.

Samba : (d'une voix froide) Bonsoir à tous. Je vois que la réunion familiale est en plein essor. Puis-je me joindre à vous ?

Le père de Coumba se leva brusquement, le regard sévère.

Le Père de Coumba : Samba ! Que fais-tu ici ? Nous discutions justement de ce que Coumba a traversé. Je pensais que tu avais compris que ta présence ici était inappropriée.

Samba : Inappropriée ? Je viens simplement discuter, essayer de rétablir les choses. Après tout, c'est ma femme qui est en jeu ici.

Coumba : Samba, qu'est-ce que tu fais ici ?

Samba s'approcha de Coumba avec une démarche assurée, essayant de maintenir une apparence de calme, bien que ses yeux trahissent une lueur de menace.

Samba : (doucement) Coumba, je veux juste qu'on parle. Je comprends que tout cela est confus et compliqué, mais nous devons régler ça comme des adultes. J'aimerais m'excuser pour ce qui s'est passé. Je suis prêt à faire amende honorable.

L'air était chargé de tension. Fatou et le père de Coumba observaient Samba avec méfiance, tandis qu'Amine, se tenant près de Coumba, ne quittait pas Samba des yeux, prêt à intervenir si nécessaire. La situation devenait de plus en plus inconfortable.

Fatou : Samba, nous savons tous ce que tu as fait. Les excuses ne suffisent pas. Ce que Coumba a vécu est inacceptable. Il est hors de question de permettre une nouvelle confrontation.

Samba ignora la remarque de Fatou et continua de s'avancer vers Coumba. Amine s'interposa rapidement.

Amine : (calmement) mon gars , je pense que tu devrais partir tu vois pas tu dérange tout le monde la

Samba : Et tes qui pour me dire ce que je peux ou ne peux pas faire ? Un simple voisin, si je ne me trompe pas. J'espère que tu es conscient de la place que tu occupes ici.

Amine : eh ta vu parle moi bien moi je suis quelqu'un qui se soucie du bien-être de Coumba. Et je vais tous faire pour la protéger d'un chien comme toi

La tension monta d'un cran alors que Samba fixait Amine avec une intensité menaçante. La présence de Samba dans la pièce semblait envenimer l'atmosphère, transformant ce qui devait être une discussion en une confrontation explosive.

Samba : Oh, je vois. Vous avez déjà pris parti, c'est sa ? Vous vous croyez tous dans votre droit de juger sans savoir toute la vérité.

Coumba : Samba, laisse-nous tranquille Je ne veux pas revivre ce que j'ai subi. Pourquoi tu peux pas comprendre ça ?

Samba s'arrêta un instant, comme s'il réfléchissait à ce qu'il allait dire ensuite. Son regard se déplaça sur le père de Coumba, puis sur Fatou, et enfin sur Amine.

Samba : (avec un sourire narquois) Très bien. Si c'est ce que vous voulez, je vais partir. Mais sachez que tout ceci n'est pas terminé. Les choses ne font que commencer.

Avec un dernier regard menaçant, Samba fit demi-tour et se dirigea vers la porte. La famille de Coumba resta figée, l'angoisse palpable. La porte se referma derrière lui avec un bruit sourd, laissant la pièce dans un silence tendu.

Une fois Samba parti, la tension dans la pièce ne se dissipa pas immédiatement. Les membres de la famille de Coumba se regardèrent, troublés par la visite inattendue et perturbante.

Le Père de Coumba : (inquiet) il va se passer quoi maintenant ?Il est clair que Samba est prêt à tout pour obtenir ce qu'il veut.

Coumba : (épuisée) Je ne sais pas ce qui va se passer. Je suis fatiguée j'ai juste envie de rentrer.



𝐂𝐨𝐮𝐦𝐛𝐚.𝐜𝐤.

𝐃𝐞𝐫𝐫𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐨𝐥𝐞𝐭𝐬 𝐟𝐞𝐫𝐦𝐞́𝐬.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant