Chapitre 6 : Haine et rédemption

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| Léna Russo |

Je me sens me réveiller lentement, du au raillons de soleil entrant dans ma chambre d'hôtel. J'essaye désespérément de me redresser sur mon lit, mais un poids lourd me retient dans ce lit. En tournant ma tête vers l'arrière, je me rends compte que ce poids lourd n'est autre que Léo. Mais qu'est ce qu'il fiche ici? C'est lui qui voulait absolument que je prenne ce lit, mais maintenant, c'est ici qu'il souhaite être. Cela m'étonne même qu'il n'ai pas prit la peine de me réveiller et de m'ordonner de changer de chambre. Il devait sûrement être trop fatiguer pour. Sinon, crois moi, il aurait pris un malin plaisir de me réveiller au beau milieu de la nuit juste pour sa.

- Espèce d'idiot. Qu'est ce que tu fou ici? Lui demande-je agacée.

Il grogne de mécontentement et me maintient plus fermement à ses côtés. Je me dégage, agacée de son emprise et me dirige vers la sortie de cette maudite chambre en prenant avec moi mon téléphone.

Je me dirige vers la "cuisine" en sortant du placard une poêle afin de me préparer des oeufs brouillés. C'est qu'une fois avoir ouvert le frigo, que je me rends compte qu'il est complètement vide. Super. Décidément, cette journée s'annonce plutôt bien. Je me dirige vers le téléphone de l'hôtel en grognant de mécontentement, afin de demander a l'accueil de m'apporter ces 4 foutus œufs.

La sonnerie sonne une bonne dizaine de seconde avant de recevoir la réceptionniste à l'autre bout du fil.

-Bonjour. Que puis-je faire pour vue. Me dit-elle

Je reconnais que trop bien cette voix. C'est celle de la prostipute de hier qui faisait les yeux doux à Léo.

-Je veux 4 œufs, pour la chambre 704. Lui dis-je d'un ton neutre.

Je lui raccroche au nez et me dirige vers mon téléphone et décide d'ouvrir ces messages que j'ai refuser d'ouvrir depuis ci longtemps du aux ordres de Monsieur Grincheux. Quoi que, c'est un petit peu oser de ma part de l'appeler comme sa.

Je remarque directement la notification de ma grande sœur, Ella.

Mon dieu... À croire elle à pas de vie pour m'envoyer autant de message. Ces messages sont surtout composer de "Où es-tu?", "On s'inquiète pour toi.", "S'il te plait réponds moi" et "Est-ce que tu es en sécurité". Beh à son avis, sérieux? Je disparais du jour au lendemain, ne donnant plus aucune nouvelle de moi, dans un pays étranger. Alors, est-ce que je suis en sécurité? Je lève les yeux au ciel face à ses messages et décide de me livrer en répondant à ces stupides messages.

" Sérieusement?! Est-ce que je vais bien? Je disparais du jour au lendemain dans un pays étranger. Bien sûr que non, je ne vais pas bien. Le pire dans cette histoire c'est que je n'ai pas le droit d'en dire plus à quoi qui que se soit sinon je signerais mon arrêt de mort. Alors non, je ne vais pas bien! Maman n'est même pas foutu de m'écouter quand j'essaie de lui en parler. Tout ce qu'elle sait faire, c'est me gueuler dessus. Ce qu'elle à toujours fait d'ailleurs. Même quand j'y suis pour rien. Elle ne prends jamais de mes nouvelles. Ne me demande jamais si je vais bien. Donc sa ne risque pas de changer grand chose, que je disparaisse, puisque j'ai toujours été une putain d'invisible à ces yeux. J'ai commencer à me faire du mal parce que je n'allais pas bien et que personne ne s'en ait rendu compte. Non excuse moi. PARCE QUE TOUT LE MONDE EN A RIEN À FOUTRE."

À l'instant ou le bouton "envoyer" fut presser, mon cœur à commencer à battre incontrôlablement vite.

Putain! QUELLE IDIOTE! Je me sens trop pousser des ailes il faut que je me calme. Je ne vais pas rester ici indéfiniment. Je vais devoir, un jour ou l'autre, retourner à la maison et assumer tout ces putains de mots écrit.

Il mio sicarioOù les histoires vivent. Découvrez maintenant