CHAPITRE 50

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๑Assalam Aleïkoum wa rahmatoulahi wa baraka tu'hou๑

Achika

Ça commence a devenir Intense.
Je commence a le déshabiller.

Hamza:*en me poussant* achika y'a quoi? Laisse moi dormir j'ai sommeil t'es vraiment ridicule ! fout moi la paix kay djirbi guay gua ( kay j'ai sommeil).

Il monte complètement sur le lit et se couche de son côté avant d'éteindre la lampe du chevet et de se recouvert du drap.

Lui: tu vas commencer par ramassé toute ces stipudes bout de papier rouge,  ou rose, éteindre les bougies là on dirait celui de chez un charlantant et t'habillé t'es ridicule.

Il n'a qu'en même pas fait ça, non j'y crois pas, c'est pas possible genre il vient de me recalé là après tout les efforts que je fais pour qu'il me pardonne il m'humilie comme ça ? Non j'y crois pas, je n'arrive pas a croire à ça ! Je vais m'évanouir je me déshabille avec les larmes aux yeux, le cœur tremblant et je porte le djelebab violet là. Je ramasse toute mes pétales de roses qu'il a traité de “stipudes bout de papier rouge ou rose” puis les mets dans le coffre du chevet, j'éteins toute les bougies qu'il a jugé comme “celui de chez un charlantant”.

Je fais que le reguardé qui dort paisiblement comme un saint, et je prend mes perles sans rien calculé je les jettes avec force jusqu'à ce qu'ils ont tous explosé, il se réveille brusquement je sors et claque tellement fort la porte. Je rentre dans la mienne et je me laisse Chouard sur le lit, j'ai explosé de larmes.

J'avais la haine aujourd'hui il a dépassé les frontières, après tout les efforts que j'ai fournis il ose me faire ça ? Non j'y crois pas.

J'ai pleuré toute la nuit jusqu'à l'aube naissante, je me suis lever pour prié puis je suis revenue me coucher, je recommence les pleures, mais après seulement quelques minutes un sommeil m'emporte avec lui.

À mon réveil, il fesait jour comme cru mais une violente migraine m'attaque, jusqu'à ce que je couche en me tenant la tête. Je prend tout mes efforts en main et me lève pour aller prendre mon bain, quand je suis sortis j'ai allumé mon téléphone et j'ai remarqué qu'il fesait 12h.  Je suis même pas d'humeur aujourd'hui, j'ai des mots de tête et je ressens un chagrin inexplicable.

Alors je rentre dans notre chambre et l'arrange, après avoir finni avec tout les efforts du monde je part au salon.
Je trouve amina.

Moi: fofo.

Elle sursaute à ma vue.

Moi: ifono?

Elle : ni mouwey zey goune didjo ra gua di.

Alors je me reguarde dans le miroir, je vois mon visage recouvert de cerne, c'est juste affreux mais je vais pas y prêté attention.

Je commence alors de préparé le petit déjeuner aujourd'hui je suis même pas d'humeur a cuisiner donc je décide de commandé j'appelle une connaissance qui a un resto et je commande les plats de doukounou et des sandwichs.

Même pas dix minutes le livreur est déjà arrivé, je dit à amina de lui donné l'argent, elle le fait et je nous sert mais j'entend du boucan venir du bas.

Alors je descend je trouve mon beau père, sa femme, haly, mounir, marie, adama, son mari et d'autres personnes Adama était avec trois valises.

Mari d'Adama: beau papa y'a pas de solution mon oncle, Adama est trop insolente elle ne respecte même pas ma mère, en plus elle ne remplie aucun devoir d'épouse et récemment elle a insulté ma mère avant de la giflé trop c'est trop.

Mon beau père : t'as raison mon fils mais un mariage c'est sacré, maintenant part on vas essayer de lui faire entendre raison.

Lui: au cas contraire je crois qu'il serait mieux de divorcer une bonne fois pour toute.

Mon mariage arrangé avec HamzaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant