Mon mariage arrangé avec Hamza

CHAPITRE 43

๑Assalam Aleïkoum wa rahmatoulahi wa baraka tu'hou๑

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Nana Fatimata Zahra batoula

Nous sommes actuellement à moins trois jours du mariage, le mariage à été reporté pour le samedi, en temps normal c'était le samedi passé mais vue qu'ils ont eu un décès ils l'ont reporté au samedi prochain qui est déjà limite arrivé ! On est déjà le mercredi et les préparatifs sont toujours en marchent !
Chaque matin et soir on me fait des gommages et des souracthé, et quand on me le fait je crois même mourir, mais azy je me suis habitué à ça, ça me fait plus mal.

Je suis actuellement au salon avec mes sœurs et frères ils sont tous présents même Yasmina et nous sommes entrain de discuter de tout et de rien, les meufs elles préparent du lourd, et ma mère n'ont parlons même pas, à l'entendre parlé il y'aura du chaud ! Vraiment ma vielle mère vas me manqué ainsi que les employés qui m'ont toujour porté Campanie, et les autres. Mes autres frères et sœurs ne quitte pas la maison surtout que Mehdi, aziza et samir sont tous rentré au bercail, oui hein je suis pas n'importe qui hein ! Quand la dernière fille de la famille se marie là c'est un grand événement que personne ne doit raté la fratrie du village sont tous ici présent reparti dans les autres maisons.

Maman : djabar vient me conduire je vais allé rendre visite à ma mère !

Ma mère, la dame de classe d'un jour celle de toujour, elle s'est mise sur son 30 et 1, sur ces talons, dis donc elle perd pas la forme hein, même après 36 ans de mariage la vielle ne viellit pas, les sapes sont toujour au rendez-vous avec elle hein.

Djabar : maman c'est pas que je t'aime pas hein mais je suis vraiment occupé, n'oublie pas que j'étais au bureau quand tu m'as dit de vite venir, faire quoi ? Parceque t'as fait une éternité sans me voir alors qu'on c'est vue le matin, là je veux retourné j'ai du boulot !

Ma mère et djabar ? Une grande histoire d'amour, la façon dont ma mère l'aime il arrive même qu'on l'envie, parmis les garçons c'est son fils djabar d'abord et les filles c'est nous les deux petites, moi et achika évidemment mais il arrive qu'on doute même de son amour pour nous, djabar même refuse de l'admettre mais il aime sa mère plus que tout au monde, il est juste un enfant têtu et gâté surtout par sa mère et favoris de son père mdrr, c'est ce genre d'enfant là qu'on nomme fils à maman, mais desfois je suis heureuse du faite qu'il est volé notre place car dès que maman veut quelques chose c'est toujours djabar djabar par ci djabar par là, ça devient relou, le pauvre. Elle prend place en fixant djabar et apprêtant un mouchoir.

Maman : *avec une mine triste* je vois bien que maintenant t'es devenu un grand garçon*snif* tu n'as plus de temps pour passé un moment avec ta pauvre mère qui t'as mise au monde *snif*qui t'as nouri, habillé et qui c'est occupé de toi jusqu'à maintenant ! *Snif* si partir est ton choix alors qu'il en soit ainsi, part si tu veux, allé vas t'en*snif* mais sache que je suis celle qui t'as mise au monde et tu ne peux pas le changé*snif* après toute la grossesse*snif*,les nausées et l'accouchement tu me fais ça ?*snif* c'est comme ça la vie, pauvre de moi !

Et voilà le côté cinématique de ma chèr yemma, je me retiens difficilement d'explosé de rire, mes sœurs et frères sont dans le même cas, nous savons tous pourquoi ne pas rire dans ces moments, de un par respect pour elle car elle vas dire qu'on croit qu'elle est folle et de deux elle n'aime pas ça car si tu rie d'elle, c'est ta fin sur la terre des humains ! Quand elle te prend par les sentiments tu ne peux qu'accepter.

Le concerné lève les yeux au ciel, masse sa tête et soupire, le pauvre, Mdrr.

Mais bon bref moi et lui on se calcule plus hein, d'ailleur lui et aucun de mes frères et sœurs se calcule sauf aziza et Mehdi, mais le reste c'est une guerre froide, jamais djabar à été avec les gens, c'est lui qui avait tout fait coûte que coûte pour que j'épouse ce poltron de pute de pouffiasse de pétasse de tapineuse de traînée de roulure de salop de mes couilles là, c'est pour ça que mes frères et sœurs sont en froid, bref chez nous une sorte de tension existe vue que nous sommes nombreux il y'a presque trois groupes:
  
La première équipe se sont les éléments positifs qui on toujour été Hamida, Mehdi et moi. D'abord eux, ils sont toujour pour les bonnes idées.