Chapitre 24 : Union

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*Lorsque le récit est en italique , c'est qu'il s'agit d'un flash-back ou bien d'un moment qui ne se passe pas dans le présent.

Les membres des Wraths partent en mission en duo. Ramzi termine sa tâche, et YuCo est opérationnelle. Pendant ce temps, le prisonnier et Abdallah réussissent à s'évader. Doppio les poursuit, et une intense confrontation s'ensuit entre le prisonnier et Abdallah contre Maskey, Doppio, Ramzi, et YuCo. Dans un endroit éloigné, Azedine et l'homme masqué, qui étaient supposés morts, réapparaissent mystérieusement, introduisant de nouvelles intrigues.

Trois semaines auparavant. Le lendemain de l'arrivée du boss. À l'aube, l'homme masqué se réveilla brusquement.

En se redressant, il constata que toutes ses blessures avaient disparu. Pas la moindre cicatrice. Cela ne le surprit pas vraiment, comme s'il avait déjà vécu cette situation auparavant. Un souvenir soudain lui revint en tête : Azedine. Contrairement à lui, Azedine n'avait pas eu cette chance. Il était bel et bien mort.

En repensant à leurs dernières conversations, une phrase qu'Azedine lui avait dite s'imposa à son esprit. Sans hésiter, l'homme masqué attacha le corps inerte d'Azedine sur son dos et se mit en route.

Après plusieurs jours de marche, il arriva enfin dans un village caché au cœur de la forêt, un lieu mystérieux connu sous le nom de « Village des Loups de la Branche Ouest ».

Ce village était un mélange de simplicité et de nature sauvage. Les maisons étaient faites de bois épais et de pierres, avec des toits de chaume. Tout autour, des loups errants, calmes et silencieux, semblaient cohabiter en harmonie avec les villageois mi-homme, mi-loup. L'atmosphère était à la fois paisible et étrangement oppressante, comme si une force ancienne veillait sur ces lieux.

À son arrivée, l'homme masqué fut rapidement accueilli par un villageois, un homme robuste qui reconnut immédiatement le corps d'Azedine. Sans un mot, il conduisit l'homme masqué jusqu'à la plus grande hutte du village, celle du chef.

À l'intérieur, dans une ambiance tamisée par la lumière vacillante des torches, un homme était assis, entouré de plusieurs autres villageois.

Son visage était marqué par le temps, mais ses yeux perçants trahissaient une sagesse et une force intérieure redoutables. L'homme masqué déposa doucement le corps d'Azedine à côté du chef.

D'une voix grave et posée, il raconta toute l'histoire. Les événements qui les avaient menés jusqu'ici, les combats, les blessures, et la mort tragique d'Azedine. L'homme écoutait attentivement, sans interrompre, ses yeux fixés tantôt sur le visage du conteur, tantôt sur le corps inanimé.

Ses yeux trahissaient une certaine tristesse en voyant l'état du corps d'Azedine

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Ses yeux trahissaient une certaine tristesse en voyant l'état du corps d'Azedine.

Le silence s'installa dans la hutte à la fin du récit, seulement troublé par le crépitement du feu.

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