"-Cleo, s'il te plaît.
-Faut vraiment que tu te trouves un travail et que tu arrêtes de picoler.Je fouille dans le courrier. Sarah n'a pas ouvert la boîte aux lettres depuis un mois. Je trouve enfin l'enveloppe que je cherche. L'angoisse monte.
-J'ai vraiment besoin de fric. Toutes les factures sont en retard, je n'ai plus de quoi bouffer.
-Et ton copain ? Je demande en lèvent les yeux sur elle.
-On n'est plus ensemble... Je suis vraiment dans la merde.
-Pour ne pas changer.
-Oh arrête ! Lucien ne t'aurait pas fait ce chantage, tu serais dans la même merde que moi et pas dans un manteau chanel et une paire de chaussures à trois cents euros ! Quand il en aura marre de te baiser, tu reviendras ici.
-Non, je reviendrai pas.Elle rigole jaune en se tirant les cheveux.
-Tu crois que le grand méchant loup s'est épris de l'agneau ?! Tu n'ai que sa salope, rien d'autre !
-A cause de qui, hein ? Dis moi qui nous met dans la panade s'en arrêt ? Dit nous en allant chercher qui a une fête encore trop arrosée nos parents sont morts ?! TU ES LE PROBLÈME !Elle baisse les yeux et je lève les miens avant de partir en fermant la porte. Les teneurs de murs baissent une nouvelle fois la tête quand je passe et je file mon précieux dans les mains. Je m'attendais à un mail, je pensais avoir raté l'a soutenance. L'examen est dans un mois. La réponse est dans cette foutue lettre. Je me déchausse rapidement. Mon cœur et mon corps me font mal. J'attrape un couteau et ouvre soigneusement la lettre. Je cherche seulement un mot que je ne trouve pas tellement que mes doigts tremblent sur le papier. Putain.
"-C'est quoi ?
Je sursaute la main sur le coeur au bord des larmes.
-J'ai raté... J'ai tout foiré...
Il fronce des sourcils. Je délaisse le document, je me retourne la main contre ma bouche pour essayer de cacher le bruit de mon sanglot. Je l'entends arriver et prendre le papier.
-Tresor...
Ça fait si longtemps qu'il ne m'a pas appelé ainsi. Je me retourne pour me cacher dans ses bras priant pour ne pas qu'il me rejette. Mais ses bras m'encerclent immédiatement. Je pleure toutes les larmes de mon corps, mouille son vêtement. J'essaie de reprendre ma respiration mais je ne suis qu'une merde. Je viens de foirée 5 ans de ma vie à étudier un métier que je ne pourrai pas faire. Une fois calmer, je pars comme une voleuse en direction de la chambre.
-Tu devrais t'acheter des lunettes.
Sa voix est moqueuse. Je m'arrête ne comprennent pas.
-Oh mon amour ! Tu as réussi ! Tu dois te présenter à l'écrit !
Je me retourne complément sous le choque. Son grand sourire et ses yeux qui brillent m'indique qu'il ne blague pas. Je saute sur place tapant dans mes mains avant de m'élancer vers lui pour sauter dans ses bras, entoure ses hanches de mes jambes. Je l'embrasse à pleine bouche, il accepte. Je suis remplis de tellement d'émotions. Mais je crois que c'est son sourire quand il m'embrasse qui fait chavirer mon cœur. Lucien marche et se laisse tomber sur le canapé. Je recale mes jambes le chevauchent. La douleur de mes cuisses se réveille mais sa douceur dans ses gestes en vaux la peine. Ce Lucien là me manque énormément et je compte bien en profiter. Je déshabille mon buste sous son regard fiévreux, lui offre ma poitrine nue. Il soupire, cale sa tête en arrière sur le haut du canapé. Le diable est magnifique. Je ne sais pas combien de temps, on reste à s'observer mais j'ai l'impression que mes sentiments simplifies et que je me le prend littéralement en pleine gueule.
"-Lucien...
Il déglutit avant de plonger sa tête dans ma poitrine. J'en profite pour enlever les boutons de sa chemise. On finis rapidement nue. Je me glisse lentement autour de sa verge. Pas besoin de préliminaire, mon corps répond à un simple touché de sa part c'est affolant. Je profite, savoure chaque mouvement de nos corps ensemble qui ne se lâche plus. J'ondule , sa bouche contre la mienne nous transmettent tous nos moindres bruits, nos soupires.
-Je suis à toi...
-Completement à moi.
-Totalement Cleophé..."Je jouis si fort que mes ongles se plantes dans ses épaules. Il me serre contre lui, s'enfonce jusqu'à la garde. Son pénis gonfle, éjacule d'un liquide chaud et doux.
Je redescends sur terre avec du mal. Sa bouche a un de mes mamelons en otage et sa langue joue avec. Je bouge langoureusement les hanches sur son sexe qui est devenu mou dans le mien mais peu importe. J'aime le sentir en moi. Il s'attaque à l'autre et je sent qu'il redevient dure. Je ne me fais pas prier et cette fois-ci je suis beaucoup plus rapide et brutale me faisant mal aux cuisses. Je n'arrive pas à retenir les cries de plaisir. Ses mains aggripent mes fesses pour s'enfoncer encore plus en moi. Nos corps sont couverts de sueurs.
-Oh putain Cléo !
Il n'en faut pas plus pour venir une deuxième fois dans ses bras. Il me serre contre lui, accueille mon corps qui tremble de plaisir. J'ai la tête qui tourne et du mal à revenir sur terre.
Ce peau à peau est devenue mon moment préféré sur terre. Ses doigts survole mon dos.-Je t'excuse.
Il pouffe de rire.
-De quoi au juste ?
-D'avoir était le plus gros des connards pendant plusieurs semaines.Le diable attrape mon visage pour le forcer à le regarder.
-Je le serais à nouveau toute à l'heure.
-Alors autant profiter.Il fronce des sourcils mais sourire quand je m'agenouille devant lui son sexe est toujours lève vers le ciel. Je le lèche de toute sa longueur, le regarde droit dans les yeux avant de l'engloutir. Il soupire d'extase, s'affaisse dans le canapé. Sa peau est douce contre ma langue. Je l'abandonne quelques instants pour m'occuper de ses bourses. C'est son petit faible. Il chuchote mon prénom quand je le reprends en bouche, Lucien carresse mon visage. Je prend le rythme qu'il souhaite avec plaisir me mettent les larmes aux yeux. Je sent son sexe gonflé, il se retire juste à temps pour éjaculer sur la poitrine. Il sourit quand je passe ma main dessus pour l'étaler jusqu'à ma bouche et le lécher.
-Touche toi avec."
Je me lève et lui offre le spectacle qu'il désire, glisse ma main pleine de sa semence jusqu'à mon entre-jambe.

VOUS LISEZ
Lucifer
Romance"Soit à moi pendant six mois. Ça se trouve je me serai lassé de toi bien avant."