Je rentre et l'emmène dans la chambre tout en la gardant dans mes bras je l'assois sur le lit, je vais a la salle de bain et attrape une serviette que j'humidifie, les mains sur le lavabo, je fixe un instant le miroir ,la femme que j'aime m'attend a coté, se soupçon de normalité m'arrache le quart d'une l'arme, je me sourie et retourne au prés de ma belle , je la débarbouille ,doucement sans la brusquer, je la déshabille et me couche a ses coté, elle nue dans les drap, moi encor habillé sur le lit, je la regarde tendrement, je passe ma main sur son visage, elle glisse le long de sa nuque jusqu'à son épaule . Elle est gelée, alors sans un mot je me lève , hôte mes vêtements et doucement me glisse dans les draps , mon corps fais office de radiateur, il va a la recherche de sa peau et l'empreins, nos jambes tel des lianes se lient, se nouent , elle se blottie tout contre moi , je l'enlace , elle s'enroule dans mes bras et se tourne mon ventre sur son dos mon nez dans son cou ,fais pour être emboité comme deux cuillère nos corps s'endorme dans cette paix, cette unité retrouvée .
La porte claque et me réveille, il ne me faut qu'un seul instant pour comprendre qu'elle n'est plus là, je tend l'oreille et j'entends ses talons dévaler a toute vitesse les escaliers, ou vas t'elle encor, elle ne peut pas me laisser ainsi, je me lève d'un bon, je n'attrape que le drap et part a la poursuite de la fugueuse, dans le plus simple appareil, pied nu drapé du mieux que je peux, je bat les marches maladroitement entre douleur et peur de me prendre dans le morceau de tissus qui me fait office de robe . L'oreille attentive je suie le bruit régulier de ses pas qui me précède, d'abor dans les escaliers puis plus froid sur les dalles du hall, je voie la fin de la décente, j'y suis, elle n'est plus qu'a quelque mètre de moi, pourtant trop loin pour que mes bras la saisisse, alors ma voix fais le reste du chemin.
« Ne part pas...je t'en supplie ne part pas... »
Ratant la dernière marche je trébuche, et m'écroule a genoux sur les dalles de l'entrée, je regarde mes mains au sol, prostré attendant le claquement de la porte signifiant son départ, mais il ne vient pas, je relève doucement la tête, elle est la tenant la poigné, a peine caressé par un rayon de soleil chassant difficilement la nuit encor bien présente. Une larme sur sa joue et un sourire sur ses lèvres, doucement elle recule frôlant de tous son être le mur, elle fuit la lumière et tout en gardant son regard dans le mien, elle disparait dans un angle du hall noyé dans la pénombre. Ayant suivis ses yeux et fixant leurs emplacement présumé je ne distingue plus rien de cette silhouette que j'espère à m'en rompre les rétines. Des sanglots me reprennent je ne sais pourquoi, se n'est pas du tout maitrisé, c'est l'amalgame de toute ses émotions qui m'arrivent par bus entier, resquillant se bousculant au portillon de ma vie, de mes yeux, brisant l'image que je crois me donner, vandale de se cosmos que je m'étais battis ne laissant derrière eux que du «vrais » sans défense. ca y est, je ne vois plus rien, tout est flou, c'est ca de chialer, pas assez de drap pour essorer la vie que j'étale au devant de la scène, pourtant j'entends un bruit, il faut réagir et contrôler se stimuli a l'approche, je m'essuie, inspire, serre ma toge et expire calmement, mon cœur s'apaise et ma vue revient. Dans la pénombre je crois discerner une nouvelle forme un petit corps sombre au milieu de la nuit sur le quel deux petit yeux vert s'allument, la le carrelage froid se rappelle a moi, car mon corps se glace de concert, la frayeur me prenant par vague successives jusqu'à remplir mon être, seul mon cœur chaud, palpitant, distillant l'adrénaline dans mes veines me rappelle a la vie. Peur de comprendre, peur d'être fou, je ne sais la quel choisir, j'avale une gorgé de salive glacé et dans un instant d'oublie, je tends les bras en direction de l'abîme et sans même hésiter le chat en sort. Il fait quelque pas a la lumière du jour qui force les portes du hall, puis s'arrête me contemplant les yeux presque humide , alors je ferme les yeux et tend la main , quelque seconde s'écoule, j'apaise mes penses, et doucement je sens le chat blottir sa tête dans le creux de ma main , puis me frôlant venir se coucher sur mes genoux, que dire de plus, est ce que j'ai envie de me poser toutes ses questions de suite, non, de plus j'entend des pas arpentant les marches qui mènent jusqu'a moi , alors je saisi mon drap, je saisi mon chat et remonte les escaliers comme si de rien n'était, de toute façon je n'en suis pas a la première bizarrerie dans cet immeuble , bingo, c'est ma voisine du dessus toute embourgeoisée qui repiquant son chignon m'aperçoit et ho miséricorde, lève les yeux au ciel tout en expirant des tonne oxygène , pendant que ses yeux y sont ils feraient mieux d'y chercher un peut de compassion et de gentillesse et a trop souffler elle va finir par asphyxier son pauvre cerveau déjà peu alerte ... a cette pensée mes yeux croise ceux du félin qui m'accompagne, se tournant il contemple ma voisine et feule âpres cette dernière .
« Mr sachez que les bêtes sauvage ne sont pas admise dans l'immeuble. »
« Je sais, tout le contraire de vous. »
Sur ses mots la duchesse écarquille les yeux et part battant les dalles comme on creuse avec une pioche, la démarche masculine et l'air furibond, l'élégance ne tien vraiment qu'a un fil.
Je regagne ma porte resté entrebâillée, heureusement, je ne me voyais pas aller chez le gardien dans cette tenu, c'est qu'il est dur de trouver un logement de nos jours, je rentre, pousse la porte et vais jusqu'à la cuisine ou je m'assois posant mon chat sur la table et jetant mon drap par-dessus mon épaule tel une toge.
« Alors qu'est ce qu'on fait maintenant ...»
Pas de réponse
« On se fait un café au lait
Pour moi le café et toi le lait »
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L'angélus
RomansaC'était aujourd'hui, il y a cent ans. Je n'ai plus grands souvenirs de cette époque Mais nous étions jeunes Et l'amour que nous avions l'un pour l'autre Faisait fleurir le printemps autour de nous. Âme sœur nous étions Âme sœur nous le savions...