Chapitre 19 : De nouveau dans ses bras.

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# Point de vue, Adam #

         Plus nous nous rapprochions de l'endroit où elle était, plus le stresse monte en moi. J'ai peur, ça n'arrive pas souvent mais pour une des rares fois dans ma vie, j'ai peur. La peur me noue le ventre mais il est impossible pour moi de faire demi-tour. Je tiens à cette fille plus que ma propre vie et si il devait lui arriver malheur, je ne me le pardonnerais jamais. Je culpabilise déjà sur le fait qu'elle se soit fait enlevée par ma faute. Elle a été mêlée à toute cette histoire alors qu'elle n'y est pour rien du tout. Nous sommes garés à quelques mètres seulement de l'entrepôt où elle est retenue. J'ai maintenant la rage qui monte en moi avec force, c'est la seule chose qui me fait tenir sur le moment. Je vais retrouver Katerina et je lui ferrais la peau comme j'ai tuer son frère sans aucuns remords. Mais par la même occasion je vais retrouver Callum puis le tuer de mes propres mains. Emilie s'approche de moi puis pose sa main sur mon avant bras. Ce geste anodin à pour effet de me calmer. Elle prend la parole par la suite toute à fait sérieuse. 

Emilie : Surtout, tu gardes la tête froide. La priorité c'est elle, ne l'oublie pas, tu règles tes comptes après. 

Moi : Tu me connais vraiment trop, tu me fais gravement flipper là. 

Tous les membres du gang partent dans une hilarités générale mais reprennent aussitôt leur sérieux. La mission commence. C'est partie. 

Tous nos sens sont en alertes. Nous essayons de faire le moins de bruit possible pour ne pas attirer l'attention. Cet endroit est immense comment allons-nous faire pour la retrouver dans ce bordel. Ont avancent encore plus loin, personnes n'est dans les parages aucuns bruits. Alors qu'ont tournent dans un couloir Annabelle en première j'entends des voix venir vers nous. Je la retiens par le bras assez fortement tellement fort qu'elle finie calée contre mon torse. Je m'excuse et la relâche. Les hommes du gang des Stills Demon passent devant nous sans prendre conscience qu'ont est à peine à cinq centimètres d'eux. Je fais signe de ne pas faire de bruit. Les gars du gang me fixent en attendant le moindres signes de moi qui leurs permettraient de passer à l'action. Je baisse ma main. Trente secondes plus tard, les deux hommes adverses sont mort étendus par terre et je dois dire que je prends un malin plaisir à les voir comme ça. Un cri de femme m'alarme, je reconnaîtrais cette voix entre mille. Hanna. 

# Point de vue, Hanna #

Je pourrais prendre le couteau avec lequel on me torture depuis au moins vingt minutes et me le planter dans la carotide et mourir sans aucuns regrets. Après tout, je ne vais manquer à personnes puisque ma mère s'en balance totalement de moi, Adam ne me cherche même pas. Si, peut être Eden mais je suis sur quelle trouve ça normal que je m'absente pendant quatre jours et surtout sans donner de nouvelles. Je vois finalement que ma meilleure amie ne me connait pas tant que ça. Katerina prend toujours plaisir à me voir souffrir comme ça. Sauf qu'elle n'a toujours pas comprit que Adam ne viendrait pas me chercher, elle est longue à la détente. 

Un homme que je ne connais pas fait son apparition. Ses yeux se posent sur moi, il semble peiné de se qu'il m'arrive. C'est bien le seul. Mais c'était le temps d'une fraction de seconde. Il reprend tout à fait son sérieux lorsqu'il s'adresse à Katerina. Il ressemble à un chien de garde, il me fait pitié. Il murmure une phrase à son oreille qui semble assez importante car elle me gifle d'une force qui ma presque arrachée la tête. 

Katerina : Tu m'as menti sale garce. Tu savais qu'il allait venir.

Moi : Je pourrais savoir au moins de qui tu parles, éclaire ma lanterne parce que je comprend rien de se que tu baragouines sale pétasse. 

Katerina : Adam est ici avec toute sa petite bande, ne me fait pas croire que tu n'en savais rien. 

Moi : Explique moi comment j'aurais pu le savoir vue que je suis retenue ici depuis quatre jours espèce d'abrutie. 

Le temps nous est compté. ( Terminé )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant