-Beth-
C'était le sixième mois de mon mariage.
Les six mois les plus froids de ma vie.
Des mois frustrants, agaçants et tout ce qu'il y' avait de péjoratif.
Les filles sont sensées être plus heureuses pendant leurs mariages, alors que moi, je suis largement plus triste que je ne l'étais chez mes parents.
C'est vrai que l'ambiance dans notre maison était chaleureuse et simple, mais bien évidemment chacun avait des problèmes, on ne le montrait pas pour ne pas gâcher nos bons moments.
Ce mois-ci, j'avais le bac, j'avais tellement étudié pour le réussir, je ne sortais plus, je ne dormais quasiment plus, et je comptais bien le réussir.
On était samedi, alors pas de cours, Léna (ma belle mère) nous avaient dit hier qu'aujourd'hui, il y'avait une réunion entre famille, parce que cela fait longtemps qu'ils se sont pas vus. Je comptais me lever mais un bras me fit tomber en arrière, Harry, oui parce que durant ces mois, sa mère nous a grillés, elle a su qu'on ne dormait pas dans le même lit, et donc on est en quelques sortes obligés de dormir ensemble.
Et je dois avouer que dans son sommeil, Harry est vraiment un monstre, je me couche bien, en me levant je ressemble à moins que rien.
Je levai doucement le bras d'Harry, et le posa sur le lit.
Je m'apprêtai à me relever quand quelque chose de dure me bloqua le chemin, je me retournai et vis le pieds de Monsieur sur le mien, je l'enlevai aussi doucement et m'apprêter à me relever, mais quelque chose me re-bloqua, je me re-retournai et revis la main d'Harry sur mon torse, je m'apprêtai à la re-relever mais quelque chose me fis retomber sur le lit...l'autre main d'Harry.Après quelques secondes, son autre pieds vint sur moi, de manière à ce que Monsieur s'allonge sur moi complètement.
Je suis dans la merde.
Son souffle se mélange avec le mien, je levai ma tête doucement, comme pour ne pas le réveiller, vu que sa tête était dans le creux entre mon épaule et mon cou.
Je vis sa tête angélique, sa bouche entrouverte, ses yeux clos, et ses sourcils légèrement froncés, son petit nez retroussé... Mais qu'est ce que je raconte moi, j'étais sensée le détester après tout ce qu'il m'avait fait non ?si.
Je me levai et partis en direction de la salle de bain, je pris une petite douche, mais avant de sortir, je me rendis compte que je n'avais pas de vêtements de rechange.
Je suis dans la merde.
Je pris mon courage à deux mains et sortis.
Heureusement Harry dort encore, je ne veux surtout pas qu'il me voit avec une petite serviette atour de mon corps.
Je me précipitai de mettre mes sous vêtements mais avant que je ferme mes soutiens gorge, la serviette tomba. Je me retournai pour l'attraper mais aucune trace de serviette sur le sol.Pitié, faites que ce que j'avais dans la tête ne soit qu'une allusion.
Je me retournai, et tombai nez à nez avec Harry.
Moi : Bien sûr. Dis-je avec un ton plus qu'ironique.
Il me regarda de haut en bas en se mordant la lèvre inférieure, je mis mes mains sur mes hanches.
Moi : je te dérange? Dis-je peu énervée.
Il regarda au niveau de ma poitrine avec un regard que je ne saurais déchiffrer, entre le désir et la fascination, je n'en savais rien.
Je regardai à mon tour et vis que ma poitrine est quasiment nue face à lui.
Je suis dans la merde.
Je mis mes mains sur mes seins, à toute vitesse, de façon à ce je les cache, je sentis mes joues chauffer, j'étais sûre que je n'ai jamais rougi de telle façon.
Je filai à toute vitesse vers la salle de bain, et m'enfermai dedans.
Harry : hey, ne fais pas cela, ce n'est pas la première fois que je vois une fille presque nue. Dit-il en riant. Sûrement de moi.
Je me rappelle la façon dont il me regardait et dis.
Moi : pourtant ça en avait l'air.
Après quelques moments je n'entendis plus ses pas dans la chambre, je devinai donc qu'il était sort , je me levai du bord de la baignoire, et fis quelques pas vers la porte, je l'ouvris doucement pour voir s'il était vraiment sorti, et je sors.
J'enfilai un tee-shirt blanc, un jean moulant noir et mes converses blanches.
Je descendis les escaliers, saluai ma belle mère et mon beau père, lançai un regard plus que noir à Harry qui souriait comme un idiot et je m'assois.
Léna : et Harry tu ne le salues pas?
Je te hais.
Moi : Je...
Harry : on s'est salué en haut. Me devança-t-il avec un sourire espiègle.
Léna : ah je comprends mieux maintenant. Dit-elle avec un grand et sincère sourire.
Je te hais.
Harry : A quelle heure aura lieu cette réunion? Demanda t-il.
Léna : dix huit heures. Répondit-elle en haussant les épaules.
Moi : quoi ?
Léna : pourquoi tu as prévu quelque chose ?
Moi : non, non, tout va bien.
Bien sûr que j'avais prévu quelque chose, je devrais partir voir mon appartement, oui , parce que je comptais pas rester dans la maison de mes beaux parents quand même.
Moi : Harry, tu peux venir deux minutes?
Il soupira.
Harry : ok.
Je me lève, et montai en haut.
J'attendis patiemment dans la chambre, il arriva enfin.
Harry : quoi?
Moi : quoi?
Harry : tu veux quoi ?
Moi : Ah, je voulais te proposer un truc.
Harry : oui?
Moi : on pourrait chercher un appartement ?
Harry : quoi?
Moi : j-je veux dire, notre mariage n'a pas réussi et je crains que tes parents le découvrent, on devrait chercher un appartement pour qu'ont soit plus à l'aise, et puis on ne va pas rester chez tes parents pour l'éternité. Qu'est ce que tu en penses ?
Harry : Je suis d'accord.
Moi : merci. Et sans m'en rendre compte , je me jeta sur son cou, et me retrouvai en train de le câliner.
Je suis dans la merde.
Je me précipitai à me redresser et baissa la tête.
Moi : d-désolée. Dis-je en essayant de sortir de la chambre.
Avant que je mis un pas dehors, il me retient, me retourna, ferma la porte et me mis dos à ce dernier en une fraction de seconde.
Il était très proche de moi.
Ses lèvres étaient très proches des miennes.
Je suis dans la merde.********
Salut saluuuut :D
Vous allez bien ? toujours à me prendre des vents mskn x))
Vous en pensez quoi ? Bisous bisous :*
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-B E T H»
Teen FictionElisabeth Parker & Harry Styles. Deux mondes plus ou moins opposés. Mais plus pour longtemps. Beth va être obligée de se marier avec Harry. Leur histoire est bien différente de celles de tous les mariages forcés. Peut-être parce qu'il n'était pas t...