Lundi 6 août
J'ai passée l'après midi chez ma cousine, je viens tout juste de partir pour rentrer chez moi. Il doit être dans les 21h15. Le soleil commence à ce cacher. Je marche en direction de ma maison.
<<Hey June, comment va tu ?>> Entendis je une voix derrière moi.
Je me retourna en soufflant.
<<Alexis, que veux tu ?>>
Il commença à s'approcher de moi. Je commença à trembler. Alexis rigola.
<<Je ne veux pas te faire de mal. Juste entrer en toi et prouver à Horan que tu es à moi. Au faite en parlant de lui où est ton petit irlandais, je ne le vois plus en ce moment. J'aimerais bien qu'il assiste à notre petite scène coquine.>>
Il s'apprêta à parler mais je lui mis un coup de genoux bien placer. Il tomba au sol. Je couru sans regarder derrière moi.
Je remarqua que courrais dans le sens opposé de chez moi. Pas grave pour l'instant tant que je lui échappe. J'arriva dans un petit parc, je m'asseya sur un banc. J'étais épuiser de ma course, je soufflais.
Quelqu'un me souleva et me plaqua parterrre. Un cris de douleur sorti de ma bouche, mes yeux se fermèrent à contact du sol. Quand je led rouvris, je découvris Alexis au dessus de moi.
<<Alors babe on a essayer de m'échapper.>> Dit Alexis en enfouant sa tête dans mon cou avant de mis déposer quelques baiser.
La nuit était là je ne voyais rien. Seul le bruit de nos respirations se fessait entendre. Puis il y eu un blanc, il avait enlevait sa tête de mon cou mais se trouvait toujours sur moi. J'entendis un bruit que je ne reconnue toute suite et peu reconnaître le bruit d'une fermeture, celle de son pantalon.
Il balada ses mains sous mon tee shirt puis descenda de plus en plus vers mon pantalon. Il le déboutonna. Je cria comme je pouvais mais il mettait une de ses mains sur ma bouche.
<<Chut Babe, ça va allait.>>Me dit il en rigoler.
Il descendis mon pantalon. Sa main était toujours sur ma bouche, j'essaya de nouveau de crier à nouveau mais rien. Il enleva le seul morceau de tissue qu'il restait sur mon intimité.
Puis il me pénétra sauvagement, je pleurais de douleur. Je me fessais dévierger en me fessant violer, le pire cauchemar.
Les larmes couler le long de mes joues telle une rivière.
Il se retira de moi après de longues minutes. Puis je le vis sortir une lame de sa poche. Il me la passa sur mon ventre. Je cria de douleur.
<<Voilà comme ça Horan serra que je suis passer.>> Rigola t il avant de disparaître dans le noir.
J'étais seule, parterre, recroqueviller sur moi même. J'avais mal un bas de mon ventre et au milieu de mon ventre.
Après 10 minutes, je pense je réussi à sortir mon téléphone de ma poche. Et chercha son numéro.
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<<Allô.>> Dit il. <<June, t'es là ?>>
<<J'ai besoin de toi.>>
<<T'es où ?>>
<<Parc près de la maison.>>
<<J'arrive.>> Dit il avant de raccrocher.
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Je resta à terre à pleurer tout ce qui était en moi. J'avais mal sur tout mon ventre, je glissa ma main sous mon tee shirt et toucha la coupure, elle parcourait tout mon ventre de droite à gauche en plein milieu. Mon entre jambe me fessait plus mal que mon ventre.
<< Voilà comme ça Horan serra que je suis passer.>>
Cette phrase me tournait en boucle dans ma tête.
Je sentis qu'on s'essaya de me relever. Je cria peur que se soit de nouveau lui.
<<Lovely c'est moi.>> Dit Niall en me prenant dans ses bras. <<Qu'est ce qui s'est passé ?>>
Je ne réussi pas à lui répondre.
<<June ? Je suis là maintenant ça va aller.>>
Voyant que je ne répondais pas il se plaça juste en face de moi et plongea ses yeux dans les miens.
<<Emmène moi avec toi.>> Réussi je à lui dire.
Il me porta telle une princesse puis m'emmena jusqu'à sa voiture et mis déposa sur le siège passager.
Pendant qu'il fessa le tour de la voiture, je releva mon tee shirt, histoire de voir ma blessure.
<<PUTAIN MAIS QU'EST CE QUE TU AS FAIS ?>> Me fis sursauter Niall puis il regarda mieux la coupure <<NE ME DIT PAS QUE C'EST... LE CON.>>
Puis il démarra et roula à toute vitesse chez lui.
Il se garra et me porta de nouveau avant de monter le plus rapidement possible jusqu'à son appartement. On entra et il me posa sur le petit meuble de la salle de bain.
Aucun émotion était en moi. Le vide.
Je vis Niall fouillait dans un placard et en sorti une petite trousse.
<<Qu'est ce qu'il ta fait ?>> Me demanda t il.
<<Rien.>> Dis je en regardant parterre.
<<JUNE IL TA COUPER PUTAIN. ET TU DIS QUE C'EST RIEN.>> Dit il en haussant le ton.
Je sursauta mais garda le regard au sol. Il s'approcha de moi.
<<Dis moi ce qu'il t'a fait, s'il te plaît.>> Sa voix était devenu calme.
Les larmes coulèrent mais je trouva le courage de lui expliquer.
<<Je rentrais de chez ma cousine et quelqu'un m'a appeler, je me suis retournais et c'était Alexis. Il s'est rapprocher de moi, trop près. Je lui ai mis un coup où il fallait et je suis parti en courant. Il m'a rattraper, puis m'a fait la pire des choses, il m'a fait cette marque pour que tu sache qu'il était passer.>>
Après ça le vide en moi revenu. Le regard de Niall était à présent noir et ses poings serraient.
Il sorti de la pièce. Je descendis difficilement du meuble et je le suivis, sachant ce qu'il allait faire. Il commença à jetait les objets qui était autour de lui.
<<NIALL!>> Criais je une première fois mais rien il ne m'écouta pas.
Je lui pris le bras. Je pleurais. Il se tourna vers moi et ses yeux revenu à nouveau bleu quand il me vu pleurait, il me pris dans ses bras.
<<Excuse moi.>> Dit il.
Il me pris la main et me ramena sur le petit meuble. Il commença à soulevait mon tee shirt, tout en me rassurant.
Après m'avoir soigner, il me metta une bande autour du ventre avant de me donner un de ses tee shirt et me porta et m'emmena dans son lit. Il me fit un bisou sur front et commença à partir.
<<Niall tu peux dormir avec moi.>>
<<Si tu veux princesse.>>
Il ne se fessa pas prier. Il enleva son tee shirt ainsi que son pantalon et venu dans le lit. Il me pris dans ses bras. Je posa ma tête sur son torse.
<<Bonne nuit Lovely.>>
<<Bonne nuit.>>
Merci Niall...
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Bad.
FanfictionLui est dealer, il fait parti d'un gang. Caractère fort et possesif. Elle, petite fille parfaite dont les parents on rien à dire. Mais un jour ces 2 personnes se sont croisés, et c'est là que tout va changer.