Jamais loin de vous

Tout est de ma faute

Coucou tout le monde ! Ça va ? Je suis enfin revenu de vacances ! J'ai plein de chose à dire ! La mer c'est cool mais c'est chiant parce que j'aime pas l'eau salé ! J'ai bronzé ! Il y avait plein à mangé et j'ai pris beaucoup (un peu...) de kilo en trop ... :(

Sinon à part ça, L'EPISODE 99 DE SLG EST ABSOLUMENT SUPER !!! Ouf ! Il y aura une saison 6 !

#Bordel

Vous en avez penser quoi ?

Antoine sort une vidéo sur des chaton trop mignon ! (Contenu aléatoire de la mezzanine oblige !) ;)

Deux longue semaines sans vous c'était trop dur ! :( Je vous aime tellement !!! *.*

Bon, j'ai pas eu le temps de corrigé mon chapitre et je n'avait pas le cœur à donné du travail à ma merveilleuse correctrice !

Alors bon, il y a un ÉNORME cliché entre le Patron et Mathieu... je pense que vous le remarquerez ! x)

À part ça, aujourd'hui c'est l'anniversaire de AliceAndyAngel et mae1608 ! Alors je vous souhaite un super anniversaire à vous deux !!! :) *.*

Bonne lecture !
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Chapitre 17 : Tout est de ma faute
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Son cœur ne battait plus. Son cerveau ne fonctionnait plus. Ses magnifiques yeux bleus étaient fermés. Son teint était pâle et cireux. Sa poitrine ne se soulevait plus au rythme de sa respiration. Il semblait dormir profondément et paisiblement.

Mais malheureusement, personne ne saurait dire si il allait se réveiller. Personne ne pouvait le prévoir.

C'est dans cet état que Mathieu était quand il se fit manipuler par les urgentistes. C'est toujours dans ce même état qu'il était quand ces même urgentistes dur user du défibrillateur.

Ça faisait mal au Patron de voir son créateur ainsi. Pour la première fois de sa vie, il se sentait impuissant. Faible.

Il ne pouvait rien faire.

Rien.

Le criminel n'avait jamais était aussi anxieux de sa vie. Il n'avait jamais eu aussi peur. Il n'avait jamais était aussi triste. En colères, abattu, décourager, haineux envers toute ces belles choses de la vie. Tout ses sentiments quasiment inconnue pour lui était trop fort.

La vision de son créateur, allongé sur le sol en train d'agonisait était tout simplement insupportable.

Après plusieurs minutes ou les médecins, urgentistes et ambulanciers avait tenté de réveiller Mathieu, l'un d'eux s'approcha du Patron et annonça :

« Désolé. Nous n'avons rien pu faire. »

« Je veux le voir. » répondit le Patron d'une voix froide.

« Faites. » dit le médecin en s'écartant pour laissez le criminel voir Mathieu.

Le Patron s'approchait du petit châtain quand il remarqua qu'il commençait déjà à disparaître. Merde. Bientôt, il n'existerait plus. Sa famille devait sûrement elle aussi être en train de disparaître, et tous devaient se demander ce qui se passait. Ils devait être mort d'inquiétude. Malheureusement, la Patron ne pouvait pas aller les prévenir. Maintenant, tout ce qui l'importait était Mathieu.

Il s'assit par terre et prit le schizophrène dans ses bras.

« Mathieu, pourquoi ? On t'aimait ! Tu aurais pu m'en parler, je t'aurais aider ! Et ensemble on s'en serait sortit ! Mais maintenant c'est trop tard, et on va tous crever avec toi ! » cracha le Patron.