Je vais bien

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Coucou tout le monde ça va ? Moi super !



Alors, je n'ai pas vraiment envi de parler des attentats qui ont eu lieux à Paris, mais je vais juste dire ça que certaine personne devrait avoir honte de tuer et de vouloir détruire la vie en prétextant le faire pour une religion, ce qui est totalement faux ! Il ne faut bien sur, pas confondre l'islam et l'islamiste ! Ces gens là n'avait rien à voir avec la religion ! Et bien sur, j'espère que des événement comme ça n'auront plus jamais lieux !



Bref ! Pour changer de sujet et parler de chose plus joyeuse, je vais vous demandez si vous avez vu le taeser du wtc 37 ?


Comment vous l'avez trouvez ? Moi je l'ai aimé, et j'ai hâte de voir l'épisode ! *^*


Et l'épisode101 de slg ? Je l'ai adoré*^* vous préférez la voix de Jeanne avant ou maintenant ? Moi je la préfère maintenant !



Et encore un grand merci à ma merveilleuse correctrice Nahira Unsho pour prendre le temps de corriger mes chapitre ! :)



enfin bon, passons au chapitre ! J'j'espère qu'il va vous plaire !



Je rappelle que je répond au reviews à la fin du chapitre !



Bonne lecture !


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Chapitre 28 : Je vais bien.


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Le Prof, le Panda et le Hippie étaient dans la cuisine. Il devait être à présent 9 heure du soir.


Mathieu était sous la douche, et le scientifique avait envoyé le Geek au lit. Le Patron n'était toujours pas rentré et personne ne savait où était la Fille.



Le chercheur était assit à la table, pianotant sur son ordinateur. Le Hippie était quant à lui, assit sur la chaise en face et il mangeait un sandwich. Enfin, le Panda, était adossé contre le plan de travail et buvait une tisane.



« Je commence à m'inquiéter, ça fait deux jours que le Patron est parti ! » s'exclama le scientifique au bout de plusieurs minutes.



« Je sais, moi aussi. » avoua le Panda.



Le Maître marqua une pause.



« Je... je me sens coupable. J'aurais du l'en empêcher.



-Dis pas de conneries ! C'était pas à toi de l'en dissuader. C'était son choix, on ne pouvait pas décider à sa place.



-Ouai je sais... » soupira l'ursidé.



Le camé soupira. Il ne disait rien mais il écoutait, attentif à la discussion de ses frères, au moins autant inquiet qu'eux.



La peur et l'inquiétude lui rongeait les tripes. C'était très désagréable, douloureux.


Sans lever le regard il dit :



« Je propose qu'on aille à sa recherche si il ne réapparaît pas demain. »



Les deux autres acquiescèrent d'un hochement de tête. Le Maître soupira.



« Il est sûrement mort à l'heure qu'il est ! »



À l'entente de cette phrase, le visage du camé devint impassible.



Il ne dit rien.

Jamais loin de vousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant