Jamais loin de vous

Tout va s'arranger

Coucou tout le monde ! Ça va ? Moi super ! Désolé du léger retard !

Alors, comment vous l'avez trouvé le trailler de slg ? Moi je le love !!! *^*

Et surtout...

COMMENT AVEZ-VOUS TROUVEZ CE PUT*IN D'EPISODE 100 ?!!

MOI JE L'AI ADORÉ !!! *Q*

j'adore Jeanne ! Je la love ! Je veux me marier avec elle ! (Je rigole !)

J'aime le nouveau cadrage !

J'aime le nouveau générique !

J'ai adoré quand Mathieu a du chercher ses personnalités un peu partout ! xD

J'ai adoré l'instant Panda !

Bref ! Je le trouve super ! On peut dire que Mathieu et Alex on fait du super boulot !

Bien, on va commencer la lecture et encore un grand merci à nahira pour la correction du chapitre ! Plein de gros poutou *^*

Bonne lecture !

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Chapitre 25 : Tout va s'arranger.

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Il était 11h30. Précisément.

Le Patron observait John et Didier depuis un petit bout de temps.

Ces monstres, sans scrupules, ces connards.

Les deux hommes venaient de finir de départager le maigre contenu du sac à main quand le rouquin se leva et dit :

« J'ai faim. Pas toi ?

-Si, un peu. »

Ils allaient partir pour se diriger vers le mini frigo qui se trouvait dans la pièce d'à côté quand le Patron sortit de sa cachette.

« Stop mes mignons, vous n'irez nulle part. » susurra-t-il avec un sourire carnassier.

Les agresseurs se turent. C'était qui ce type ? Ils n'avait pas peur, ils étaient juste surprit. Menaçant, Didier demanda :

« T'es qui toi ?! Dégage si tu veux pas qu'on te défonce !

-Tu nous veux quoi ?! »

Le silence retomba, il fût brisé par un rire froid. Un rire, qui n'avait pas une onces de bonheur et d'humour, un rire méprisant.

« Ma tronche vous dit rien ? Vous voulez que je vous rafraîchisse la mémoire ? » demanda le criminel, toujours hilare.

John, qui était plus posé, et surtout plus perspicace, examina le Patron de haut en bas. Au bout de quelques secondes, son regard s'illumina :

« Bordel, Didier ! C'est le Gars qu'on à butté !

-Quand ? Lequel ?

-À ton avis ?! On en a pas butté des dizaines non plus !

-Mais ouai ! T'as raison ! C'est lui ! »

Le sourire du Patron s'agrandit.

« Pffff... même pas foutu de reconnaître les gens à qui vous faites du mal... pathétique. »