Chapitre 22: Une mauvaise nouvelle

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★point de vue d'Hugo★

Levé à 7h15, je baille et vais dans la cuisine. J'embrasse ma mère rt prends mon paquet de céréales. Je mange mon bol et vais prendre une douche.
Je m'habille, pantalon noir et sweat bleu. Je passe ma main avec du gel dans mes cheveux. Quelques gouttes de parfum, un coup de déo et Let's go!

Je vais chez Clémence, maintenant on fait tous les chemins ensemble main dans la main. On s'embrasse et on part direction le lycée.
On rejoint ses potes devant la salle de son premier cour, moi je rejoins les gars. Ce matin je commence avec contrôle de mathématiques, je vais gérer, je suis confiant. Les maths j'aime ça. Je continue avec sport, badminton. Je suis hyper joueur, je veux tout éclater surtout contre mes potes.
Bon bah quand on rentre dans le vestiaire, j'ai gagné 5 matches sur 7 et j'ai perdu contre Quentin mon meilleur ami mais j'ai gagné contre Valentin mon autre pilier. J'étais plutôt content de cette séance de sport. Je me douche vite fait puis avec les gars on va à notre cour d'espagnol.

Ce midi, je mange avec ma chérie en tête à tête. Je sais que quand on mange que tous les deux, elle fait super attention à sa façon de manger. Elle a cette manie de s'essuyer la bouche avec sa serviette plier en quatre, après chaque bouchées. Je trouve cela très mignon.
On se raconte notre matinée, des potins, des bruits de couloirs... il y a toujours quelque chose à dire.
Ensuite on sort tous les deux main dans la main et dans un coin du lycée, on s'isole pour se faire des câlins et des bisous.

-On se voit se week - end? Me demande Clémence.

-Bien sûr! Mais moi je ne peux que dimanche.

-On se voit chez moi ?

-Comme tu veux. Lui repondis - je

-Alors sa sera chez moi parce que c'était déjà chez toi le week-end dernier, celui d'avant et encore celui d'avant.

-D'accord ça me va. Il faut que J'enfile le costard ?
Elle me donne une petite tape sur le bras.

-Mais nan, tu viens normalement, c'est pas la première fois que tu viens.

-Ce n'est que la quatrième fois alors je préfère faire bonne figure au pré de mes beaux parents.
Nous rigolons. Je lui embrasse la nuque, le cou, les joues, et je finis par sa bouche. Elle se colle contre mon torse, j'entoure sa taille de mes bras et j'enlace nos doigts. Le silence n'est pas pesant au contraire, l'amour n'as pas besoin de mots.
On reste collé serrer jusqu'à ce que la sonnerie retentit pour la reprise des cours. On s'embrasse une dernière fois avant de se revoir qu'à 17h45, à la fin des cours.

Je retrouve mon potes devant la salle de chimie, après être allé chercher ma blouse. Car aujourd'hui c'est TP!
Le prof arrive, et annonce la couleur dès le début: "Ceux qui n'ont pas de blouse, dégagent." Ce sont ses propres mots.

-Je crois qu'il est vénère le prof, me dit Maxence, mon binôme de TP.

-Oui je crois aussi. Faut pas trop le chercher sinon il va nous aspergé d'acide.
On pouffe de rire en s'installent à la deuxième paillasse.
Au lieu d'être seize nous sommes quatorze car évident les deux "racailles" de la classe, n'ont pas pris leurs blouses et la vie scolaire n'en prête plus.
Le prof se radoucit pendant le cour et il est même plutôt drôle. Je pense même que ce fut le meilleur TP de chimie de l'année.
On a manipulé plusieurs produits dangereux pour la santé. Ça n'a pas empêché le prof de nous faire rire mais tout en disant et surveillant les formes de sécurité.

Dans le vestiaires de la salle de chimie Maxence m'appele. Je vais le voir et il me dit:

-Vas chercher des lunettes, on va faire un selfi en tenu de chimie.
Discrètement, je vais chercher deux paires de lunettes de protection dans le bac et prends en plus un gants en plastique.
Je le rejoins, ferme la porte, gonfle le gant, on met nos lunettes, on sourit et Maxence prends la photo.
On ricanne et sort un par un, une feuille de classeur comme alibi pour être allé dans le vestiaire alors que cela est interdit pendant le TP.
Notre mission est accompli avec succès car on a été tellement discret que le professeur ne s'est aperçu de rien.
La fin du cours sonne, on range nos blouses aux casiers et direction le cour de français.
Etude du texte de Moliere, le Bourgeois gentilhomme.
Pffff, c'est vraiment nul, en plus moi je l'ai déjà étudié en quatrième.
Du coup je copie son cour bêtement et quand elle parle, je dessine sur une feuille à part.
Mon portable vibre dans ma poche, je regarde discrètement, expéditeur: "Ma princesse♥♥"
Je souris, je lis son message qui me dit qu'elle finit à 16h15 et qu'elle attendra 17h45 que moi je sorte de cours et qu'on rentrera ensemble.
Je souris comme un nier et lui répond vite fait qu'elle est trop mignonne ♥♥♥♥♥♥

Je t'attendsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant