Entre Âmes - Terminer (En correction)

13. Rendez-vous avant un combat

Quand j'ai su que je pouvais entendre dans les penser de ma bien-aimé, j'ai su tout de suite que je réussirais à lui faire plaisir savant ce qu'elle pense et ses envie.

Elle me souri.

Mais j'entendu ses penser.

C'est le premier.

Mon premier baiser.

C'est à lui que je devais le donner.

Et c'est lui qui l'as reçut.

Whaou, super heureux d'être le premier à avoir capturer les lèvre de mon Âme-Sœur, je ne put m'empêcher de sourire tellement j'étais heureux.

Elle du s'en rendre compte car elle rougit, je suis sûr qu'elle pense que j'ai lu dans ses penser et avec ce qu'elle à penser je ne peut encore moins m'empêcher de la prendre dans mes bras où sa tête alla instinctivement dans mon cou.

En ce moment, je croit bien que personne ne peut être plus heureux que moi, rien que l'avoir près de moi me rend heureux alors quand elle ma embrasser ou lorsque elle me touche pour me faire un câlin, là je suis au septième ciel. La sensation de ses lèvre était toujours sur les mienne, me donnant envie d'y poser de nouveau mes lèvres sur les sienne. De les capturer de nouveau.

Ses bras me serraient contre elle, rien que savoir que j'ai une place dans son cœur me fait du bien. Je me décida comme même de me détacher d'elle et de faire ce que j'avais envie de faire mais je lui fit un chaste baiser qui ne dura quelque seconde, trente seconde au maximum.

Je lui souri, sourire qu'elle me rend en rougissant.

Mon Âme-Sœur est tellement mignonne. Je lui prit la main et nous descendîmes ensemble en nous dirigeant ensuite vers la cuisine. Je la regarda.

-Tu veux qu'on fasse quoi aujourd'hui? lui demandais-je.

Elle fit les gros yeux et rougis ensuite.

-Je sais pas.

Elle regarda ailleurs, ses yeux en direction de la fenêtre. Je ne comprend pas vraiment.

-Tu... Tu veux savoir quoi?

Ses yeux rentrèrent en contact avec mes yeux, le lien s'intensifiaient de plus en plus, ne sachant pas trop quoi faire, je continua de la regarder.

-Pour tout te dire, je ne suis... ne suis jamais sortie avec un gars donc je ne sais pas vraiment quoi faire, rigola-t-elle faussement.

Je lui souri.

-Donc aujourd'hui, c'est moi qui dirige, yes.

Elle rigola de mon "yes". Je lui souri.

-Bon, let's go, dit-elle en me prenant la main et m'emmenant vers la voiture.

Elle monta dans le côté passager et je prit la place du conducteur.

Je démarra et elle rigole, impatiente, je ne pût m'empêcher de sourire face sa tête si mignonne.

J'avais décider de l'emmener au cinéma et ensuite, si elle le veux, au resto puis une promenade comme c'est une première pour elle, sa sera un début. J'espère qu'il n'y aura rien pour gâcher notre tout premier, ont va dire rendez-vous. Même si je ne sais pas si elle e considère comme tel, c'est comme une sortie entre amie qu'elle à en tête. Je souris.

Quand nous arrivions, elle tourna la tête vers moi et me fit le plus beau des sourire puis sortie de la voiture une fois celle-ci garer. Je lui prit la main et nous nous dirigions vers l'entrer puis nous choisîmes un film, celui qu'elle voulait " La Terre brulé", elle m'avait dit qu'elle avait voulu le voir mais n'as jamais réussi à le voir.

Nous rentrâmes dans la salle et nous installâmes ensuite au fond pour être seule. Une fois assis, nous attendîmes le début sans parler mais je voyais bien Emora, toute exciter par le film. Je souris, j'étais heureux de la voir sourire, si elle sourit, c'est qu'elle est bien avec moi et...

Les lumière s'éteignirent et le film commença.

*Ellipse du film*

Nous nous dirigeâmes ensuite au restaurant mais, à peine arriver que je vu une personne que je ne voulais plus voir.

Lucas.

Je resta dans la voiture et Emora ne bougeait plus, elle tremblais sur place, je me décida à sortir, lui disant de rester à l'intérieur, ce qu'elle fit. Je m'avança près de lui et lui prit le col. Il avait du être libéré par ma mère car je ne suis pas aller le sortir de la cave.

Je le fixa d'un regard noir tandis que lui me regardais en souriant. J'avais envie de lui donner un coup de poing dans la figure, je me demande bien ce qui m'en empêche à part le fait que se soit mon frère, rien d'autre ne m'en empêche.

Rien.

-Qu'est-ce que tu fait là, Lucas? finit-je par lui demander.

Il me sourit, d'un regard fière, d'un regard heureux. Allez comprendre le cerveau de cet imbécile qui me sert de frère.

-Rien, je n'est pas le droit de rendre visite à mon chère frère adoré, me dit-il avec un sourire à la colgate.

Son sourire commence à m'exaspérer, avant la mésaventure avec Emora, je lui aurais rendu son sourire mais pas maintenant, pas après qu'il lui est fait sa, non.

-Tu n'est pas le bienvenu ici Lucas, lui dit-je énervé.

Il rigola.

-Mais je ne t'est pas demandé ton avis, que suis-je bête, tu aurais surement accepter enfin, avant parce que maintenant, je ne te demande plus rien, je veux ce qui m'appartient et Emora est à moi, rigola-t-il.

Je me retourna pour voir Emora mais ce que je vu me glaça le sang, un gars avait placé quelque chose sur sa bouche, elle essayait de lui échapper, bougeait de partout. Je me précipita vers eux mais je fus propulser contre un mur, je me releva de suite mais Lucas s'approcha de moi et me mis aussi quelque chose sur ma bouche, un tissus imprégné d'argent et d'autre chose que je ne reconnais pas. Je sens ma vu s'affaiblir, la seule chose que je continue à voir est Emora, mon âme, entrain de se faire porter par un loup qui m'est inconnue. Ce fumier, quand je me réveillerais de nouveau, il va voir passer mon poing dans sa figure de jeune louveteau.

Ma vue se brouilla et je ne vue rien mais entendait un petit moment des cris puis plus rien.

Je regrette d'avoir faillit à ma tâche qu'est de la protéger contre tout, je ne la mérite pas, je ne suis qu'un faible, elle à jusqu'à qu'elle ne puisse plus tenir, combattu.

Un faible.

Voilà ce que je suis.

Un fois que je me réveillerais, je la sauverais, je le jure sur ce que j'ai de plus cher, elle.

Je la sauverais coûte que coûte.

"Le mal n'est jamais dans l'amour." de André Gide.

"L'amour est cette merveilleuse chance qu'un autre vous aime encore quand vous ne pouvez plus vous aimer vous-même." de Jean Guéhenno.

Bon, j'espère que ce chapitre vous à plus, si c'est le cas voter et commenter, je vous invite à regarder mes autres histoires, sur ce, kiss, les petit loup.