Chapitre 18 : Incomprehension.

84 12 1
                                    

-PDV JENKINS TAYLOR
-MARDI 18 SEPTEMBRE 2015
-17:42

Tut tut tut... Ce bruit incessant m'abassourdit. La tête énorme, les yeux lourds mais pourtant "normal" aux regards des autres, la respirastion lente, tout va bien d'après les medecins. Je suis dans une chambre d'hopital, sur un lit, seule, je viens de me réveiller suite à ce bruit perçant de  l'éléctrocardiogramme, que j'ai littéralement envie de détruire à coup de bate de baseball... Une chambre très moderne et ssez sympa, plutôt conviviale l les personnes qui peuvent rendre visite, les murs d'un blanc lisse et éclantant, un plafond rugueux blanc ayant un aspect flambant neuf en papier de verre, probablement. Le sol en parquet stratifié gris foncé donne du contraste avec les murs. Une télévision en suspension. Une table et quelques chaises sont aussi au rendez-vous, avec le fauteuil de cuire qui est aussi présent. La litterie, blanche, ayant une bonne odeur de lessive, donne envie de s'enmitouffler àl'interrieur, puis une grande fenêtre, avec un rebord où l'on peut s'assoire sûrement... Que s'est-il passé et qu'est ce que je fais ici dans cette chambre. Je me redresse légèrement, afin de mieux réfléchire.

(Toc)

-Moi : Oui ?

L'infirmière souriante entre dans la pièce.

-Infirmière : Vous avez de la visite.
-Moi : Ah.. Euh.. Oui, qui est-ce ?

Elle repart me laissant sans aucune réponse. Puis quelques personnes entrent à leur tour.

-Eux : Èèèèyy !
-Moi : Harry, Arthur, Alfredo, Neil ! Quel bonne surprise !
-Harry : Ça va ? (Pose un bouquet de fleure)
-Moi : Harry, merci beaucoup, t'es un chou.
-Neil : Tu ma manquée Taylor !
-Alfredo : Comment tu vas ?
-Moi : Je vais.. Hum... Je sais pas, je sais pas comment je vais..
-Arthur : Eh, Tay, dis moi comment tu vas, c'est vraiment important.
-Moi : A.. Arthur, je ne pourrais pas te décrire mon ressenti..
-Neil : Ne t'inquiète pas pour ça, tu vas te remetre sur pied très bientôt.
-Harry : Mais que s'est-il vraiment passé ?
-Moi : J'en sais trop rien.. Je me rappel que j'étais dehors dans un endroit qui m'étais inconnu, et..
-Alfredo : Attend, Attend, où !?
-Moi : (embarassée) Hum.. Tout ce que je peux te dire, c'est que c'était vraiment terrifiant, on aurai cru que personne y vivait et que c'était abandonné depuis longtemps.
-Harry : Alfredo, tu connais ce patelin ?
-Alfredo : Hum, un peu, à vrai dire, je me suis déjà aventuré là-bas, et pour tout vous dire j'ai été servis, hein.
-Neil : C'est à dire ?
-Alfredo : J'étais à deux doigts de me faire laminer par un grand baraqué, j'explorais les territoires et il m'a dit que je devais déguerpir d'ici au plus vite.
-Moi : (réfléxion) Ah ! Maintenant je me souviens !
-Neil : C'est vrai ?
-Harry : Alors raconte nous pourquoi tu as atterris ici.
-Moi : C'est vraiment long...
-Neil : Taylor, on a besoin de savoir.

Ils veulent tout savoir de A à Z, du vestiaire jusqu'à maintenant.. J'ai pas envie de leur dire, d'une part pour ne pas les effrayer et d'autre part car, ça me fait tellement de mal que je ne parviendrai pas à aboutir à mes fins. C'est tellement dur d'en parler, comme si il y avait quelque chose qui me retennais.. Il faut que je trouve un moyen pour détourner ce sujet..

Je m'apprêtais à répondre quand la porte s'ouvre, subitement.

-... : Salut, j'me trompe de chambre ?
-Moi : Takayuki !
-Taky : Salut, Taylor, ça va ?
-Moi : Ça peut aller merci.

Il pose une peluche sur la table.

-Moi : Merci énormément Takayuki !
-Taky : (sourit) Salut vous autres !
-Alfredo : Ça va le chinois ?
-Taky : (tchèke Harry) Japonnais petit.

On rit, à cette petite drôlerie... Dieu soit loué, Taky m'a empêché de répondre à leur satanée question.

-Taky : Mais, qu'est ce qui c'est passé, raconte alors.

Juste Un Regard (RÉÉCRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant