Chapter two.

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Je déglutis et prend la poignet. C'est inévitable cette fois...je vais me faire vraiment tabasser.

A peine entré, je suis très vite tiré dans le salon par Jaden.
- J'vais t'apprendre à baiser des mecs derrière mon dos, tu vas voir !

Quoi ?! J'ai rien fait ! Il claque la porte derrière lui et s'approche de moi à grands pas. Je panique et cours dans la cuisine, espérant y trouver un refuge, mais rien ! Vite ! La table ! Je me rue dessous et met mes mains sur mes yeux. Genre ça va me cacher un jour ! J'entend ses pas, je le sens approcher. Pitié, faites qu'il ne me voit pas, comme si j'avais 5 ans ! Enfin, je rêve trop. Il me prend pas les cheveux et m'envoie percuter les placards de l'évier d'un coup. Je m'étale au sol, mais oreille bourdonnent, j'essaie tant bien que mal de percevoir ce qu'il se passe autour de moi, mais tout se brouille dans ma tête. Je me recroqueville sur moi-même, espérant que ça m'aide, mais rien ! Et je suis toujours au sol, sonné. Mes idées me reviennent, et au moment même où je reprend pleine conscience, le pied de Jaden vient percuter violemment mon nez, me faisant bondir de douleur, et me faisant tenir mon nez, qui se met déjà à saigner. La douleur est atroce, insupportable, inimaginable, tout ce que vous voulez, mais ça fait mal !

Le nez en sang, et totalement paniqué, je cours à l'extérieur de la cuisine, traverse le salon et pars me cacher à l'étage aussi vite que je peux. Là, j'ai des cachettes ! D'ailleurs, j'en ai une qu'il n'a jamais trouvé : derrière le placard qui est dans le coin de ma chambre ! Je m'y recroqueville donc, et ne bouge plus. Au secours. J'entend ses pas dans l'escalier, ils sont irréguliers, on sent qu'il les monte deux par deux ! Je me recroqueville encore plus sur moi même à cette pensée, tremblant comme une feuille.
Au même moment, la porte de ma chambre claque le mur tellement fort qu'on dirait qu'elle explose. Je sursaute un peu, mais me reprend vite afin de ne pas attirer l'attention sur ma petite cachette.
- Hey, Konnie...arrête de te cacher. Je ne vais pas te faire de mal, tu veux bien me dire où tu es ?

Pas question. Il croit que je suis idiot à ce point ou quoi ? J'aime la vie hein. Enfin...je crois. En tout cas j'ai pas envie de mourir entre ses mains ! Il me ferait trop mal.
Quand je me rend contre qu'il est dans la direction opposé à la table, je décide de me glisser jusqu'à la porte le plus vite que je peux. J'avance à quatre pattes, lentement mais sûrement, espérant qu'il ne me voit pas.

Apparemment faut que j'arrête d'espérer parce que ça me porte malheur. Je sens une main tirer le col de mon t-shirt vers le haut, comme on pourrait tirer le collier d'un chien qui aboie trop. Je pousse un cris strident et lève les yeux vers Jaden qui lui porte un sourire malicieux sur ses lèvres. Ce sourire...
- Tiens tiens tiens...je t'ai retrouvé, mon petit chien.
A ces mots, il défait sa braguette, et fait sortir son sexe de son caleçon. Je fronce les sourcils quand il lâche mon col et qu'il se met devant moi. Oula...je le sens mal ce coup là.
- Tu connais ton job.
Je déteste faire ça, et il le sait très bien. Et même si il me bat, il reste mon grand frère ! J'essaie de glisser entre ses jambes pour fuir, mais sans succès. Je suis trop large pour passer. Et merde. Un peu plus maigre et je m'enfuyais.
- Suce moi !
Arf, je l'ai énervé. Sans même que j'ai eu le temps de dire ouf, il tire mes cheveux vers le haut -mes pauvres cheveux- et me remet en face de sa bite. Alors que je l'empêche tant bien que mal -j'essaie de l'empecher- de faire entrer son engin dans ma bouche, je me prend un énorme coup de poing de sa part et vacille malgré mes cheveux entre ses mains. Je grimace de douleur. Je lève les yeux tant bien que mal et essaie de lui inspirer un peu de pitié.
- Jaden, s'il te plaît..juste pour cette fois, je te promet, je ne lui reparlerais plus à ce garçon, pitié.
Il se met à ricaner comme les sorcières de Disney et sans plus un mot, il profite du fait que ma bouche soit toujours ouverte pour enfoncer son engin. Je me débat comme je peux, le poussant, frappant sur sa cuisse, mais rien n'y fais. Je n'arrive pas à me défaire. Il enfonce son engin jusqu'au fond de ma gorge, puis commence alors à faire des vas et viens, m'étouffant par la même occasion. Des larmes dues à l'étouffement se mettent à couler sur mes joues tandis qu'il accélère le mouvement. A chaque vas et vient, une phrase.
- Aujourd'hui, je vais te faire passer l'envie de me la mettre à l'envers, tu vas voir.
Je ne peux évidemment pas lui répondre, et il continue à m'étouffer avec les vas et viens de plus en plus rapides de son engin dans ma gorge.
Après quelques minutes de calvaire, il vient dans ma gorge puis retire son engin de ma bouche.
A ce moment, je m'écroule au sol, et, quand je commence à tousser, il me met sur le dos et met sa main sur ma bouche.
- Si tu craches, je te tue de la pire manière qui sois.
Tu es déjà entrain de me tuer. Pensai-je. Mais je me contentais de lui obéir et d'avaler, une grimace de dégoût sur le visage. Il se mit alors à rire, à rire très fort. Avant de se lever, il se penche à mon oreille, toujours avec un sourire malicieux aux lèvres.
- Si tu veux vraiment que je te pardonne, rejoins moi à l'étage, je vais t'apprendre à faire du cheval.

Le seul, l'unique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant