Fifteen.

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PDV Konan

Je prend sa queue entre mes mains, la caresse un peu tout en me baissant de plus en plus. Clayton me dit de me dépêcher de commencer d'une voix plaignante, une fois ma bouche à quelques millimètre de son gland, j'hésite à le prendre en bouche.

- Konan, putain...Grogne André. Fais-le...

Je fronce les sourcils. Je n'aime pas que l'on me force la main, ou encore que l'on me force à me dépêcher. Je me redresse, sous le regard désapprobateur d'André.

- Je ne peux pas. Affirmai-je.

- Mais qu'est-ce que tu racontes, tu l'as déjà fait  ! Konan, me fais pas ça. Ne me fais pas ça, s'il te plaît. Si tu ne prend pas ma queue dans ta bouche maintenant, Konan, je te jure que pendant une semaine, on va être en froid...

Son visage est sérieux. Mais c'est vrai quoi, pourquoi je suis si réticent ? Je l'ai déjà fait, et de mon plein gré en plus !

Je prend une profonde inspiration, et m'abaisse de nouveau. Cette fois, je m'apprête à le prendre en bouche, mais au même moment, mon portable, posé à côté du lit, se met à sonner. Je veux me redresser, mais André fait pression sur ma tête.

- Konan, je peux plus attendre.

Malgré les paroles d'André, j'essaie une deuxième fois de me redresser, mais sans succès. Au contraire, André met encore plus de pression sur ma tête.

Bon, mon portable attendra.

J'enroule -du mieux que je peux- ma langue autour de sa queue, puis, toujours avec ma langue, je la caresse, arrachant au passage quelques râles à André, et enfin, je commence à faire d'abord des vas et viens lents. Peu à peu, j'impose un rythme plutôt moyen, jusqu'à ce qu'André agrippe mes cheveux plus ou moins sèchement, et m'impose sa propre cadence, qui devient de plus en plus rapide; je gémis quand les mouvements imposés par André deviennent trop rapides, et dépose mes deux mains de chaque côté de ses cuisses en appuyant pour essayer de me dégager, mais encore une fois, tout cela est vain.

Mon téléphone se met à sonner de nouveau, j'essaie vraiment de me dégager, c'est peu être important, mais André tire mes cheveux encore plus sèchement, il grogne de plus en plus fort, la cadence devient de plus en plus insupportable, puis finalement, enfin, il vient dans ma bouche. Mais il ne me lâche pas pour autant. Il continue à appuyer sur ma tête, et je vais ce que ça veut dire. J'avale sa semence un peu à contre coeur, je n'aime pas avaler.

Enfin, il me lâche et je me redresse immédiatement pour prendre un grand bol d'air. J'étais à bout de souffle...et j'ai raté mon appel. Je lance un regard noir à André.

- C'est pour ça que j'aime pas te sucer. Crachai-je méchamment.

Il soupire et me sourit. Un sourire à la fois désolé et moqueur.

- Oui, mais moi j'aime bien ça.

- Tu m'as même fait avaler ! M'indignai-je en levant les bras en l'air.

- Je suis ton meilleur ami, c'est important de connaître le goût que j'ai !

Je lui lance un regard blasé.

- Et c'est nécessaire d'avaler pour connaître le goût de quelque chose...?

- Non, ça j'avoue, c'était juste pour le plaisir de savoir que t'as avalé mon sperme. Ricane t-il.

- Non mais moi ça me fait pas rire.

- Roh, c'est bon...Il se redresse et me donne un petit smack sur la bouche. Je t'aime. Chuchote t-il.

Le seul, l'unique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant