Diabolik Lovers : tome 1 : Samantha

Chapitre 12 : Laito le pervers.

Suite du chapitre 11 :

Pdv de Küka :

Je me réveille doucement et constate que je suis en chemise de nuit, sur le dos, menottée à un lit !
AUX SECOURS ! C'EST QUOI CT'E MAISON DE FOUS !
J'entends la porte grincer et voit Laito qui entre dans la chambre.
Oh non, pas lui, pas le pervers !

Laito (air sadique et pervers) : Pourquoi trembles-tu autant ? Il n'y a pas de raison de s'inquiéter, je ne te ferais aucun mal ! Non, je vais t'offrir du plaisir !

Küka : Non, pitié, je ne l'ai jamais fait, je suis trop jeune ! Je n'ai que 15 ans !

Il semble ne pas vouloir m'écouter et s'approche dangereusement de moi.
Il s'assoie à côté de moi sur le lit. Je tente de le repousser, mais rien à faire.
Lorsqu'il commence à caresser mes pieds nus et à me faire des chatouilles, puis à me caresser les demies-jambes, je m'inquiète.

Küka : Arrête, tu me chatouille !

Laito : Oh, il suffisait de le dire ! Puisque tu veux directement passer à l'étape supérieure, allons-y !

Küka : Non non non ! Ce n'était pas ce que je voulais dire !

Laito : Et bien c'est trop tard !

Là, il se lève et se met face à mes pieds.
Puis il se couche sur moi et m'embrasse de force.
Je tente de résister, mais je ne peux rien.
Il commence à m'étouffer, je n'ai plus d'air !
Heureusement, il arrête enfin.
Mais malheureusement, il plante ses crocs dans mon cou et m'aspire mon sang.
Je gémit, je crit, je tente de le repousser, mais il ne veut rien savoir.
Au bout d'un moment, il retire ses crocs et les replante encore plus fort dans mon sein.
Là, je ne peux retenir un cri déchirant.
Laito retire assez vite ses crocs et se tortille sur moi.
Il pose ses mains sur ma poitrine et pose des baisers sur mon ventre.
Au bout d'un moment, j'en peux plus, et je lui dégueule dessus.
Il me repousse aussitôt et va se changer sans me détacher.
Lorsqu'il revient, il s'apprête à recommencer ce qu'il était en train de faire, mais, heureusement, Ayato entre.

Ayato : Arrête Laito, ça suffit maintenant ! Tu vois pas qu'elle a assez bouffé de tes trucs pervers ?

Laito (déçu) : Bon, d'accord.

Ayato me détache et ils s'en vont, me laissant là, en larmes.
Quelle horrible expérience...
Je suis tant choquée que je n'arrive plus à m'arrêter de pleurer.
Au bout d'un moment, j'arrive quand-même à me lever et je me rue dans une chambre d'amis, qui est pour l'instant ma chambre.
J'aimerai m'enfermer, et crever de faim et de soif dans cette pièce plutôt que crever de morsure et de torture, mais il n'y a pas de clefs sur la porte.
Ces monstres ont pensé à tout.
Comment sortir de cet enfer ?

À suivre...

Coucou tout le monde !
Voilà un chapitre qui ressemble à un lemon, mais qui est tout de même largement correct !
Dites-moi ce que vous en pensez !
PS : faites pas attention si sur le gif (la photo qui bouge) c'est Yui Komori.
À bientôt pour un nouveau chapitre !