A une époque, j'avais un journal intime, avec plein de bêtises écrites dedans, que personne n'a pu lire. Aujourd'hui, j'ai un journal publié sur wattpad.
Aucune différence, toujours autant de bêtises !
*** Droits d'au...
Je n'imagine pas une seule personne écrivant une histoire me dire, la bouche en cœur "je n'ai aucun soucis avec le Temps" ! Surtout s'il s'évertue à maintenir une parution régulière (ici ou ailleurs) !
Je cours personnellement après le Temps, tout comme la motivation, d'ailleurs. Mais ceci n'ayant rien à voir avec ce que j'écris, mais plus de mon environnement, cela n'a pas sa place ici.
Parlons du Temps. Non, ne fuyez pas, je ne partirai pas dans un discours philosophique !
Un roman, en terme de temps, qu'est-ce que c'est ? + l'idée de base(1s à 10 ans) + la trame scénaristique(totalement aléatoire) + les personnages(assez rapide, moins d'une heure en tout) + les lieux(moins rapide, au moins 2h, jusqu'à 10/15h) + les objets(très aléatoire, mettons 1h minimum) + les noms(long, toujours très long, facilement 1h par tête) + l'axe (ou les axes) temporel(s)(aléatoire, de 1h à plus de 1j) + la cohérence(toujours approfondi, donc mettons 3/4j) + le réalisme(de long à immonde soit des mois) + les détails/contre-temps imprévus(des années parfois...) + l'écriture d'un chapitre(entre 1h à 1 mois environ)
Bien évidemment, je parle essentiellement pour moi, il se peut que vous ayez des points supplémentaires. Mais sur cette base, en admettant que je trouve rapidement les éléments, j'en ai pour environ 12h de mise en place préparatoire.
Par exemple, le Passeur, qui a été très rapide à mettre en place, puisque "la base" ne demandait pas grand chose (univers connu, endroit connu...etc.), mais qui commence à se rallonger dans la préparation des chapitres, puisque l'univers commence doucement à s'étendre. Le plus compliqué "de base" fut d'établir la théorie "Hard SF" expliquée dans les deux premiers chapitres.
Autre exemple, l'Histoire Sans Nom (qui finira définitivement nommée ainsi à ce rythme), est déjà à plusieurs années préparatoires, au vue des kilos de feuilles scribouillées et cela continu à s'étendre.
Alors quand vous rajoutez la recherche d'images à tout ce schmilblick...
Car oui, cela m'arrive de mettre en image certains passages de mes romans, soit en trouvant des images évocatrices sur le net, soit en les créant moi-même, quand je ne trouve rien qui me plaise !
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Pour Xanes, j'avais récupéré un fatras d'images diverses dans les magazines (dans ma jeunesse, pas d'internet), griffonné plusieurs dizaines de papiers de dessins plus symboliques que réellement bien fait, afin d'illustrer certaines scènes. Chaque début de chapitre possédait son image - j'adore ce principe.
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