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4. Pop Corn!

Drake... (StaliaJackson )

Une fois arrivé dans l'appartement de Criquet et Le Barbu, j'avais immédiatement prit la meilleure chambre pour faire chier une fois de plus Ice Tea. Je lui avais tiré la langue et claqué la porte au nez en lui hurlant de ne pas oublier de défaire sa valise immonde et de la cacher par la suite pour le bien de l'humanité !

C'est inhumain d'avoir une telle valise, beurk.

J'avais pris une bonne douche en ayant assez de sentir la pisse de chien; tarée oui, malpropre non.
Affalée sur mon lit à réfléchir au sens de ma vie, j'entendis ma porte s'ouvrir mais ne pris pas la peine de regarder qui c'était. Je m'en fichais au fond.

-Ouaip ?
Dis-je d'un air interrogateur.

-On va se faire un ciné tu viens ?
Demanda mon amie, je fis non de la tête. Mais apparement ma réponse ne l'enchanta pas, elle saura littéralement sur mon lit, attrapa un coussin et se mit à m'agresser avec. Je me débattais en vain.

-Tu viens avec nous ou tu le regretteras amèrement !
Dit-elle d'une voix menaçante. Je hochais rapidement la tête, traumatisée.

-Oui d'accord Adolf ! J'arrive !
Je soufflais mais Hitler n'en avait pas décidé ainsi. Elle agrippa mon oreille et me sortit de la pièce sous mes protestations. Je me laissais faire tout de même pour que cette folle me lâche et une fois ceci fait je me massais l'oreille en grimaçant.

-Espèce de monstre qui boit de la merde.
Bafouillais-je en grognant.

-Pourquoi "qui boit de la merde ?"
Elle leva les yeux au ciel.

-Parce tu bois de la merde c'est tout. Tu bois de l'eau chaude bordel ! Tu sais quoi, éloigne toi de moi je vais être contaminée !

À ces mots, je m'écartais d'elle et enfila ma veste ainsi que mes chaussures. Les deux trous du cul me regardaient fixement pour me rendre mal à l'aise sûrement alors je leur fis une grimace enfantine. Criquet fronça les sourcils et le Barbu esquissa un sourire en coin auquel je ne prêta pas attention.

*

Les places étaient payées et Criquet Barbie ainsi que Barbu Bouffon et moi même avions décidé d'aller voir un film d'horreur. Bien sûr, l'autre Dictatrice avait opté pour un film d'amour mais elle n'avait pas le choix. Qu'elle se pisse dessus au pire !

Nous entrions dans la pièce, mes pop corns en mains que je dévorais. Dylan me regardait, mangeant calmement ses pop corns contrairement à moi. Je me tournais vers lui et souriait bêtement laissant ma bouffe tomber au sol non chaleureusement.

-Mais t'es une truie toi !
Il rigola.

Pardon ? Il avait osé dire ça ?
T'es mort O'Brien.

-Répètes un peu sac à merdes ?
Je m'avançais vers lui d'un air menaçant faisant redoubler son rire.
Sans pouvoir le contrôler, j'écrasais violemment mon paquet dans sa figure et lui jeta le contenue dans la figure sous les yeux ébaillit des autres personnes.
Quand je termina mon massacre, Sale Porc me regardait la bouche grande ouverte. Un sourire harmonieux se dessina sur mon visage et je partis me chercher une place alors qu'il partait dans les toilettes se nettoyer sûrement. Il l'avait cherché !

J'observais mon amie au loin et décida de m'approcher discrètement d'eux pour écouter leur conversation. Curieuse ? Pas du tout !

-Non Thomas je n'irais pas derrière avec toi. Je ne tiens pas à me faire violer merci.

-Mais allez ma puce ! C'est un film d'horreur tu pourras te blottir dans mes bras lorsque tu auras peur et on pourrait.. Tu sais.. Faire d'autres choses plus sensuelles ?

Je fronçais les sourcils lorsque j'entendis un bruit qui me fit glousser instantanément.

Giflé. Elle l'avait giflé !

Je t'aime ma British.

Énervée, mon amie prit place à mes côtés. Je faisais style que je m'en foutais mais pas du tout, je trouvais ça drôle.
Dylan arriva alors et je lui lançais un clin d'œil. Il prit place à côté de mon amie et Thomas du mien. Ils semblaient faire la gueule.

Enfin, Criquet était énervé sur Hitler et le Barbu sur moi, la parfaite Drake Clark.

Le film commençait et nous regardions le film avec attention. Pendant le film un acteur qui était assez sexy il fallait avouer passa complètement nu. Donnant une merveilleuse vu sur son postérieur.

-PUTAIN QUEL CUL !