"Lâche moi merde ! Qu'est ce que tu me veux ? Je te préviens si il leur arrive quoi que soit tu le payera !
-Oui oui bien sur, tu ne l'a ferme donc jamais ?"
Pour une fois je suis d'accord, si je tiens un temps soit peu à ma vie je devrais la fermer. Une balle dans le crâne est si vite arrivé.
"Pourquoi tu fais ça Matt ?
-Oh mais c'est très simple, pour punir l'incompétence de ton père Stiles. Beacon Hills à assez payé pour ses erreurs, certains même plus que d'autre.
-Comment ça ?
-J'ai faillis y passer l'année dernière, et qu'est ce que ton père à fait ? Tu veux le savoir ? Rien du tout, il a passé l'éponge sur cette histoire, comme si rien ne s'était passé, comme si cette abruti de Matt n'avait pas faillit se noyer !
-Matt c'était un accident, ils étaient bourrés, ils ne savaient pas se qu'ils faisaient. Si ils avaient su que tu ne savaient pas nagé, jamais ils ne t'auraient jeté dans la piscine. Ces pauvres jeunes ne méritent pas se que tu leur fait subir, ils ne méritent pas de mourir, ET ENCORE MOINS MON PERE !
-Pourquoi t'inquiète tu tant pour lui Stiles, a se que j'ai compris, les choses ne sont pas roses entre vous en ce moment ...
-Il reste mon père, je ne le déteste pas au point qu'il meurt ! Je suis pas un monstre sans sentiment comme toi !"
Après cette phrase j'eu droit au regard qui voulait clairement dire que j'aurais du fermer ma bouche pour une fois. Il me poussa avec violence dans une cellule, ou se trouvait déjà quelqu'un par terre. En fait deux personnes étaient là, Mélissa et ... MON PERE !
"Petite réunion de famille, vous allez avoir le temps de vous expliquez avant de mourir."
Mon père me lança un regard timide, et moi je ne pu m'empêcher de lui demander s'il allait bien. Il répondit d'un simpe hochement de tête, mais je compris vite que se n'était pas le cas pour Mélissa. La main droite de mon père faisait pression sur une énorme tâche rouge sur la jambes de Mélissa.
Mon premier reflex fut donc d'arracher la manche de ma chemise pour faire un pansement sur la jambe de Mélissa.
"Matt, elle a besoin d'aller à l'hôpital, il faut la laisser sortir s'il te plait !
-Comme c'est marrant Stiles, l'humain arrogant qui m'a traité de monstre il y a quelques secondes me supplie à présent d'épargner une pauvre vie insignifiante à mes yeux. Si tu savais à quel point je me fou royalement d'elle.
-Très bien, alors si tu t'en fiche laisse la s'en aller, laisse la aller voir un médecin. C'est moi que tu voulais non ? Je suis là, laisse les allez à l'hôpital.
-Stiles non !"
J'entendis mon père contester, mais ni Matt, ni moi, nous sommes arrêté pour autant.
"Je vais appelé les pompiers, et l'amener moi même dehors, mais vous deux vous restez là.
-D'accord ça me va."
Comme promis il appela les pompiers et nous affirma qu'ils seraient là d'ici 10 minutes, avant de savoir juste en face de la cellule, toujours en pointant le revolver vers moi.
J'étais agrippé aux barreaux, cherchant un de mes amis du regard, qui arriverait en m'affirmant que tout le monde est sain et sauf, et qu'ils viennent nous sortir de là. Mais là seule chose qui arriva, fût ce cri, ce cri épouvantable de la personne que je connaissais si bien.
"DEREK !"
Mes larmes coulèrent immédiatement, je tirais sur les barreaux comme si par magie une force surpuissante aller m'aider à les briser. Je voulais le voir en face de moi, qu'il me dise que tout irait bien, qu'il allait bien et surtout qu'il me prenne dans ses bras. Mais bizarrement le cri que je venais d'entendre ne me rassurait pas du tout.
"Derek ! "
Je continuais à crier son nom en vain, aucune réponse n'arrivait jusqu'à moi, et la torture que cela m'infligeait avait l'air de bien faire rire Matt sur le banc en face de nous. Il se leva, regardant sa montre, et avança vers la cellule.
"Recule Stiles, les pompiers doivent être arrivé pour cette pauvre Melissa.
-Tu me le payeras très chère si jamais il a quoi que se soit Matt !
-J'ai comme une impression de déjà vu. Recule ou je te promet que je la laisse crever ici."
Je m'exécuta, ne voulant pas laisser Melissa dans cet état. Matt entra, l'attrapa par le bras l'aidant à marcher, et déjà il fut dehors, refermant la grille de la cellule.
"Vous deux, vous restez ici !"
Il s'éloigna et moi, je sanglotais dans un coin, en pleur ne pouvant retirer le bruit insupportable du hurlement de Derek, quand je sentis une main sur mon épaule.
"Ca va fiston ?
-Ca c'est bien toi, tu attend qu'on soit enfermé dans une cellule aux portes de la mort pour me parler ! Tu ne m'as jamais rappelé, pas un seul message rien du tout ! Et tu crois que juste maintenant ça va changer ?
-Ca va aller fiston, calme toi."
Je poussa un long et douloureux cri, et balança mon poing dans le mur, me brisant au passage quelques os dans un bruit de fracas.
"NON CA NE VA PAS MERDE ! Mon petit ami est peut être mort là bas, et tout ça par ma faute putain ! Si je l'avais écouté, si je n'étais pas venu peut être que jamais il ne serait là bas mort ou presque. Mais surtout, jamais on ne se serait disputé avant ... Si jamais il est mort je ne pourrais jamais me le pardonner ..."
Ma colère venait maintenant de faire place à de la profonde tristesse, je me laissa glisser, le dos contre le mur, maintenant ma main douloureuse avec l'autre, et pleura toutes les larmes de mon corps.
"Stiles, je ... Je suis sur qu'il va bien ...
-Non, et tout est à cause de moi...
-Je suis sur que ça n'est pas de ta faute Stiles, et je sais qu'il est là bas en train de se battre, et qu'il ne t'abandonnera pas tant qu'il ne t'aura pas retrouvé en vie."
Cette déclaration eu comme l'effet d'une décharge dans mon esprit, mon père avait raison, on n'arrête pas de se battre tant qu'on a pas retrouvé l'être qu'on aime. Je relevais sous le regard interrogateur de mon père, me mis tout au fond de la cellule, et couru jusqu'à la porte pour la défoncer. Première tentative échouée, et douloureux, mais pas au point de me faire abandonner.
"Stiles arrête tu vas te faire mal !"
Je n'écoutais pas la remarque de mon père et recommençais, cette fois ci je réussi.
Enfin, Réussi est un mot un peu fort ...
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Dangerous Relationship
Fanfiction" Tu crois que sa existe encore à notre époque, un amour si fort que rien ni personne ne peut le détruire ? -Je sais pas ... Mais se dont je suis sur c'est que chaque jour je t'aime davantage, aujourd'hui plus qu'hier, et bien moins que demain ..." ...