partie 13

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Partie 13 :

6 jours plus tard on signe ma feuille de sorti. Je m laissais porter sans parlais vue que j'étais en fauteuil roulant j'avais vla les rendez vous pour ma rééducation mais je voulais aller a aucun d'entre eux la seul chose que je voulais c'était ma famille ! Isma Hakim et Moussa essayaient tant bien que mal de me parlais mais rien j'étais devenu un vrai cadavre mon âmes ainsi que tout mon être avaient péri dans cette accident ma famille avaient clairement emporter mon cœur avec elle. Et sa Isma sa le rendais fou wlh je déjà que sa a tjr étais le plus nerveu de nous tous, celui que ta peur de croiser quand ta fais une bêtise ou autre .. Isma il blague pas wlh Lhadim se mec c'est un baiser il est pas net dans sa tête la patience il connais pas .. Il sais que criée et cogner !

Hassol Isma roulais la voiture moi je savais même pas ou on allais et sincèrement je m'en contre fichais .. Après avoir rouler plus de 30 min il s'arrêta devant la porte du bâtiment a notre grand mère Hmdl pcq je ne voulais en aucun cas rentrer chez moi c'est mur renfermais trop de souvenir à mon goût .. Il sorti de la voiture et m porta jusqu'a la chambre de mon oncle Said est m déposa sur le lit, Hakim rentra avec mon fauteuil

Hakim : tu va nhess ?

Je ne prend même pas la peine de lui répondre et fini par fermée les yeux pour m'en dormir. Chaque jour des gens qui connaissais ma mère mon père et encore Dina ou mes frères passais chez ma grand mère mais a aucun moment je n'est étais les voir .. Cela faisais déjà qlq jours que le ramadan avais commençais mais je ne le faisais pas, j'avais arrêter de croire en mon créateur j'ai toujours étais la fille réglo je faisais toujours en sorte de prier a l'heure et Lui m'avais abandonner le jour ou je Lui implorais son aide alors je voyais pas l'intérêt de jeûner. ( Starfullah ) Plus les jours passais plus mes crises d'hystérie augmentaient, être sur se fauteuil m bousillais le moral encore pire j'en devenait presque folle je dessinais sur les murs écrivais tout et n'importe quoi au feutre .. Après avoir tentais de m raisonné plus d'une fois mon oncle avais geh bouger de la Dar il pouvais plus supportais de m voir comme sa ; ma grand mère elle ne disais rien elle me laissais faire jusqu'au jour ou j'ai fallis commettre l'impardonnable pour une Musulmane

c'était 2 semaine après ma sorti d'hôpital, j'étais dans un coin de la chambre je jouais avec un cuter j'étais tellement loin wlh je ne serais vous expliquer le mal être qui m rongeais a petit feu, j'avais toujours cette impression que ma tête allais exploser a tout moment.

Pq suis je encore la ? Voilà la question qui ne cesser de tournée dans ma tête. Pq j suis encore la et pas eux ?! Pq hein je pleurais de rage marachais les cheveux tapais ma tête contre le mur jusqu'à sang et même comme sa je sentais rien alors j'ai pris le cuter et j'ai commencée a m'ouvrir les veines ouai moi Manel la dur a cuir, la Hayawan celle qui en regardant des filles faire sa les aurais zbeul ( insultée ) et Bah j'étais entrain de faire la même, je fesais vla les vas et vient jusqu'à m'en écrouler au sol. C'est quand j'ai vue la petite flaque de sang que j'ai repris mes esprit Y'a Rebbi Keske j'étais entrain de faire au lieu de m'en remettre a toi je m taillais les veines comme une vulgaire Kafra ( mécréante ) je n'est même pas eu le temps de penser plus que sa que Hakim rentra dans la chambre en fesant les gros yeux

Lui : PUTAIN MAIS TA PÉTER LES PLOMB ; Y'A REBBI MANEEL KESTA FAIS ?!! ISMAAAA

Il sorti son tel et appela l'ambulance entre temps toute la baraque avais étais alerter par ses cries .. Mes tantes et ma grand mère pleuraient. Soraya et Lina criaient tout en pleurant, Moussa lui étais assi a terre la tete dans les mains, Isma tapais sur les mur comme un fou et Hakim étais assi près de mois entrain de compresser son t-shirt sur mes plaies

HAKIM : Y'A REBBI .. NOUS LA PREND PAS .. Y'A REBBI ..

Soraya : MANEEEEEEEEEEEEEEEL .. BOUHOUHOU .. AHHHHH MANEEEEL JE T'EN SUPPLI MAAAAAAANEL NAAAAAA .. MAAAAAAAAAAAANEL !

De Bruxelles à Paname: J'ai choisis de faire façe aux préjugerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant