49.

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CHAPITRE 49.

Le lendemain matin je me réveillai et vu que j'avais un message de Romain.

« Romain: On va au lycée ensemble ?

Moi: Avec plaisir! »

J'allai me doucher, m'habiller et me maquillai puis descendis.

Nico: El, y a la voiture de Benj devant la maison je crois.

Moi: Oh mais il va jamais me foutre la paix lui ?!

Nico: Je vais lui dire que t'es déjà partie si tu veux.

Moi: Nan, ça va, j'y vais.

Je mis mes chaussures, pris ma veste en jeans et sortis.

Benjamin était appuyé sur le capot de sa voiture.

Benjamin: Je t'attendais.

Moi: Sans blague.

Benjamin: Faut vraiment qu'on parle, monte s'il te plait Elena.

Moi: Je vais déjà au lycée avec quelqu'un.

Benjamin: C'est Romain c'est ça ?

Moi: Ouais.

Benjamin: Vraiment je comprend pas ce que tu lui trouves.

Moi: Je te demande pas de comprendre en fait.

Benjamin: Elena, s'il te plaît, monte.

Moi: Non.

Benjamin: Bon ok, j'ai essayé la manière douce, ça marche pas donc : Elena monte dans cette putain de voiture avant que je t'y mette de force.

J'allais répondre non quand je vis sa mâchoire se contracter très très fort et qu'il serrait ses poings.

Moi: Vas y c'est bon.

Benjamin: Merci. Enfin.

On monta dans la voiture et il démarra.

Benjamin: Elena..

Moi: Attends j'appelle Romain pour le prévenir.

Je termine mon appel et direct Benjamin reprend.

Benjamin: Mais vas y tu lui trouves quoi à ce pelo franchement ?

Moi: Et toi tu lui trouves quoi à ta nouvelle bombasse?

Benjamin: Vas y ça a aucun rapport.

Moi: C'est exactement la même chose Benj.

Benjamin: Répond. Tu lui trouves quoi ?

Moi: Il est gentil avec moi, lui.

Benjamin: Ah ouais je le suis pas moi peut être ?

Moi: Mais mdr.

Benjamin: Azy je t'ai fais quoi ?

Moi: Je te l'ai déjà dit, tu m'as prise pour une conne Benjamin, encore et encore et moi à chaque fois je reviens je comprend même pas moi même.

Benjamin: Mais combien de fois je vais devoir m'excuser ? J'étais bourré Elena je savais pas ce que je faisais.

Moi: Ah oui, encore et encore la bonne vieille excuse de l'alcool, facile Benjamin, facile. T'as rien d'autre pour ta défense ?

Benjamin: C'est la stricte vérité Elena, j'ai jamais voulu te blesser comme ça.

Moi: Tu l'as fait pourtant.

Benjamin: Je te demande juste qu'on passe à autre chose El.

Moi: Mais t'inquiète pas, je suis déjà passé à autre chose, t'es avec quelqu'un et moi aussi donc on en parle plus.

Chronique d'Elena.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant