She's In The Rain

33.

Chapitre 33.

Jamais j'aurais penser que la personne qui aurait été le plus présente pour moi pourrait être Amber, ma soeur. C'est encore étrange à dire mais c'est cool.

Un mois que je reste à passer mes journées avec elle, mes parents ( surtout mon père ) sont heureux à propos de ça. Pendant ce mois j'ai parler à aucun des garçons même pas Michael, et ça va. Je me sens à peu près bien. J'ai rencontré les amis de Amber et ils sont plutôt sympa, je les ai mal jugés. Ça m'apprendra il ne faut jamais jugé sans connaître. En peu de temps j'ai tiré pas mal de leçon. Je m'en plaint pas la vie est faite ainsi. C'est un ramassé de merde mais c'est une épreuve et on doit y arriver.
-Ali', on y va. Crie Amber depuis la salle de bain, elle me dit qu'on y va alors qu'elle est même pas prête.
-J'arrive. Dis-je à mon tour.
Cette après-midi je la passait avec Amber (comme toutes les autres) , on allait au centre commercial car selon elle on devait se faire une nouvelle garde robe pour l'Université et pour tout recommencer à zéros c'était la meilleure façon.

Elle pris les clés sur le bord de la table, c'était celle de nôtre père.
-Viens, grouille. Dit-elle en riant. On avait pas le droit de prendre sa voiture, on allait vraiment se faire engueuler en rentrant ce soir. Une fois dans la voiture, elle démarra et nous voilà partie pour créer une nouvelle garde robe.
-C'est partie! Elle appuya sur l'accélérateur et alluma la radio et haussa le son.

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15h30.

-Essayé celle la. Dit-elle en me montrant une robe fleurie pas du tout à mon goût. Je fis une moue montrant mon dégoût pour cette robe. Elle ria puis dit
-Ok donc pas celle la. Et ce haut la?
- Oui, celui la oui.

Après avoir choisi plusieurs vêtement nous passions à la caisse.
-Maintenant coiffeur.
- Non! M'exclamais-je. Hors de question qu'on touche à mes cheveux.
- Pas la longueur, juste les desepessir.
Elle me prit la main et me tira jusqu'au coiffeur qui était à côté du magasin ou nous étions.

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15h58.

J'aimais le résultats, mes cheveux était moins épais, je me sentais plus légère.
-Qui c'est qui avait raison de t'emmener au coiffeur?
- Toi.
- Qui?
- Amber Fray. Criais- je dans le centre commercial attirant plusieurs regards au passage. On commença à marcher en direction de je ne sais où.
-Alec'! Dit Amber en direction d'un ami à elle. Il se dirigea vers nous avec un sourire.
-Salut les filles. Vous faites quoi ce soir? demanda-t-il directement.
Amber me regarda, se tourna de nouveau vers Alec.
- Rien de prévu.
- T'en mieux, y a une fête chez un pote. Passez.
- Ok, ta l'adresse? Demanda Amber joyeuse à l'idée d'aller à une fête universitaire.
- Je t'envoie tout par message. A ce soir. Il fit un clin d'oeil à Amber qui se tourna vers moi avec la bouche ouverte.
- On y va? Demanda Amber.
-T'es déjà aller à une fête universitaire? Demandais-je
- Non.
-Alors on y va. Je suis pas vraiment éxité à l'idée d'aller à cette fête mais pourquoi pas après je vais probablement les côtoyée plus que je ne le pense à Melbourne.

On continua à marcher, en parlant de ce soir. Je vais prévenir ma mère que je dors chez papa et puis on sortira par la fenêtre une fois qu'ils seront couché car après qu'on est pris sa voiture je ne pense pas qu'on est le droit de sortir. Enfin il faut d'abord qu'on arrive a sortir par la.

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16h30

Une fois hors de ce centre Commercial on commença a marchée vers la voiture garé quelques rues plus loin. ( On voulait pas que Papa trouve la voiture.)
-Prête pour ce soir?
- Je m'en fou un peu. Dis-je avec un aire las, les fêtes je pense pas que ce soit mon truc. Rajoutais-je.
- Tout le monde a un truc. Dit-elle en me faisant un clin d'oeil.
Je ria légèrement et releva la tête. Oh non mon dieu, non s'il vous plaît. Luke marchait sur le même trottoir que moi et avançait dans la direction inverse. Dieu, c'est pas possible. Mon coeur se serra dans ma cage thoraciques, il était la tenant la main de cette fille. Souris Ali' montre que tu vas mieux et que tu t'en fou de lui. Amber se tourna légèrement vers moi et me fis de gros yeux, je lui souris. J'eu l'impression que chaque seconde était une minute et que tous se passait au ralentit. Il se foutais réelement de ma gueule quand il m'embrassait, il en avait rien à foutre de ce que je pouvais ressentir. Tant d'espoir pour un tas de poussière. Il ne prêtat aucune attention à moi, même pas un regard. Rien. Une fois qu'il était derrière moi je tourna la tête dans sa direction, il ne s'est même pas tourné. Je m'en fiche, je m'en fiche, je m'en fiche c'est un idiot. Je baissa la tête, Amber passa sa main dans mon dos.
- Ça va? Questionna t-elle
-J'ai jamais été aussi bien. Dis- je avec un sourire.

Ce soir, je sors et je vais en profiter.