Chapitre Vingt-Quatre : « Pyjama Party »

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Je suis désolée du retard ! Mais comme je l'ai dit un ou deux chapitres plus tôt, je suis assez débordée par mes cours et donc mes publications ne seront pas toujours régulières. Aussi, je m'excuse de la longueur de ce chapitre, car oui, je sais, il est très petit .-. Mais je me rattraperai, promis ! Ce chapitre comporte aussi surtout des dialogues et peu de descriptions !

Bonne lecture :)

X x X



« -Celui qui s'endort avec le cul qui gratte se réveille avec les doigts qui puent. C'est quoi cette merde ?! »

01 Août, Mercredi, revenue depuis 9 jours    


-Quoi de neuf de ton côté ? demandai-je à Alexy, le téléphone reposant entre mon épaule et mon oreille tandis que je versais du lait dans mon bol de céréales.

-C'est la folie, ici ! Nous avons à peine le temps de respirer entre deux concerts ou interview...

-J'imagine la situation, commentai-je, me rappelant de tous ces journaux ou postes de TV qui ne parlaient que des D-Bags.

Je pris une bouchée de mon déjeuner avant de reprendre la parole:

-Où êtes-vous, en ce moment ?

-Tu ne lis pas les journaux ?

-Disons simplement que je préfère l'entendre de la bouche d'un d'entre vous. Je ne veux pas croire un mensonge.

-On part ce soir de Dubaï pour aller à Cape Town en Afrique. On ira ensuite à Johannesburg.

J'attendis qu'il reprenne la parole, mais ce fut le silence à l'autre bout de la ligne.

-Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? m'empressai-je de demander.

-On sera ensuite à Montréal.

Je faillis recracher mes céréales par mon nez.

-T-Tu peux répéter ?

-On y sera le 16 Août, Cassandra. Nous t'avons gardé deux passes VIP pour que tu puisses nous rejoindre ensuite dans le backstage.

-Mais c'est génial ! m'écriai-je tout en sautillant sur place. 

Je faillis renverser par la même occasion mon bol de céréales, mais le rattrapai de justesse. 

-J'ai tellement hâte de vous voir, repris-je avec enthousiasme.

-Nous aussi, Cassandra, me confia Alexy et j'entendis son sourire dans sa voix, surtout quelqu'un en particulier, même s'il ne veut pas se l'avouer.

Un nœud se forma dans ma gorge.

-Comment va-t-il ?

-Disons que votre conversation téléphonique d'il y a deux jours l'a assez bouleversé. S'il n'avait pas été sur un autre continent, je suis presque sûr qu'il aurait pris le premier vol qui se présentait pour venir vers toi.

Je ne pus empêcher une étincelle de joie se propager dans mon ventre avant d'atteindre mes yeux.

-Pourquoi ?

-Tu sais bien pourquoi... soupira Alexy.

Je restai silencieuse.

-Vous allez vous rendre fous, si vous continuez à agir ainsi, tu le sais bien, finit-il par marmonner

Sortir de l'OmbreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant