Chapitre 15
A la porte de la mort
Je cligne plusieurs fois des yeux. Ce qui ce passe devant moi est impossible. Improbable. Les larmes me piquent les yeux et je reste paralyser devant l'horrible scène qui se produit devant mes yeux. L'épée que je tiens fermement dans mes mains est profondément plantée dans l'abdomen de ma moitié. Mon amour. Seul le bruit des gouttes de sang glissant sur le métal et souillant le sol du précieux parquet retenti. Le temps c'est comme arrêté une nouvelle fois. Je ne contrôle pas mon corps. Orphée, tout sourire, nous regarde, amuser. Les yeux de Cold sont perdus dans le vide et il pose un genou à terre. Suffoquant, il crache du sang. Mes mains tremblent, mais je ne parviens toujours pas à bougé. Par je ne sais qu'elle moyen, Orphée me contrôle comme une marionnette, et m'a fais transpercer la poitrine de mon camarade. Celui-ci se laisse une fois pour toute tomber au sol, sans vie. La reine lève son sort et je tombe à mon tour à genou. Elle s'approche doucement de moi et s'accroupis à mes côtés.
-Que dirais de faire un tour dans ma salle de torture ? Me susurre-t-elle en jouant avec mes cheveux.
Mon sang se glace. Puis, elle me frappe brusquement dans l'estomac et je m'écroule en gémissant. Avant de fermer les yeux, je peux sentir le sang chaud de Cold glisser entre mes doigts. Puis, c'est le trou noir.
Mes paupières s'ouvrent doucement. L'endroit dans lequel je me trouve est incroyablement sombre. Un cachot. Mes poignets et chevilles sont attachés à une croix. Mes vêtements sont déchirés et souillés de sang. Je me mors la lèvre. Cold. Où est-il ? Est t'il toujours vivant ? Qu'ai-je fais ? Mais, une voix m'interrompt dans mes sombres pensées.
-Je ne pensais pas te revoir ici, Clémence.
Ma respiration se bloque et mon cœur cesse de battre. Cette voix. Douce et taquine. Je l'ai tellement entendu. Elle m'a tant manqué que j'en ai des frissons. C'est impossible. Je ne peux pas le croire. Je lève la tête et mon regard se plante alors dans ses yeux azur semblables aux miens. Elle aussi est accrochée à une croix, dans le cachot en face du mien. Seul des barreaux et un couloir nous séparent. Son corps est couvert d'ecchymoses et de bleus et ses cheveux sont en bataillent. Son visage est épuisé et ses yeux gonflés. Elle semble avoir souffert dix fois plus que moi. Pourtant, elle me sourit tendrement. Ma gorge se serre et les larmes inondent mon visage pâle.
-Ca faisait longtemps, grande sœur, murmure t'elle.
-Andréa...
Pendant ce temps...
Point de vu de Cold.
Une fois de plus, je crache du sang. Recroquevillé sur moi-même, ma respiration se fait sifflante et difficile. Ma gorge me brule et mes yeux me diffusent une image flouté de ce qui est autour de moi. Je suis allongé dans le lit d'Orphée. Elle est partit un peu plus tôt pour emmener Clémence je ne sais où. Et moi. Je ne peux même pas l'aider. Je suis trop faible. Je tente de me relever, en vain. Mon corps semble paralyser et mes forces m'abandonnent. Non. Je ne peux pas partir. Pas déjà. Clémence m'attend. Elle a besoin de moi. Et j'ai besoin d'elle. Je serre les dents quand la porte s'ouvre de nouveau. La reine s'approche doucement, et s'allonge près de moi. Elle caresse mon visage, un sourire en coin. Je n'arrive pas à l'en empêcher et elle se met en califourchon sur moi. Puis, elle se penche et commence à poser des baisers mouillé dans mon cou.
-Aller...dis moi que je te fais de l'effet, me susurre t'elle.
-Pas plus qu'un chien à un chat, je gémis.
Elle fronce les sourcilles et m'attrape par la nuque.
-T'as copine n'est pas prête de revenir vivante, et toi tu veux jouer au malin avec moi ? J'aurais pus t'envoyer en salle de torture !
-Et bien faite le, d'une voix froide que j'ai pris l'habitude d'utiliser.
Son visage se ferme et ses yeux virent au noir.
-Cesse de me parler sur ce ton jeune homme. Je pourrais mettre fin à t'as vie en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.
Je déglutis et tourne la tête.
-Je préfère ça. Maintenant, excuse-toi.
-Pardon ?
-Excuse toi, répète t'elle. De ton insolence envers la nouvelle reine que je suis.
-Vous pouvez toujours courir, je lui crache.
Soudain, elle appuie fortement sa main contre mon abdomen, exactement là où se trouve ma blessure. Je suis pris d'un haut les cœurs et j'ai la tête qui tourne. Je peux sentir le sang mouiller les draps blancs du lit et un sourire diabolique se dessine sur ses lèvres. Ma mâchoire se contracte et je recommence à avoir du mal à respirer.
-Alors ? Demande-t-elle, heureuse d'avoir le dessus.
-Je suis désolé, je murmure d'une voix à peine audible.
-Je préfère ça. Mais... ça t'apprendras à me manquer de respect.
Peut-être que l'état de choque dans lequel je suis plongé m'a empêcher quelques instants de ressentir la douleur. Mais maintenant, je peux sentir l'épée de glace qu'elle vient de me planter dans la cuisse. Puis, celle qui a transpercé mon bras. Et enfin, celle qui a pénétré mon épaule. Une larme glisse sur ma joue. Je peux entendre le rire de celle qui est en train de prendre ma vie. Mes yeux se ferment doucement. Les sons deviennent plus graves, presque inaudibles. Une incroyable lumière envahie la salle tandis que je sombre peu à peu dans un profond sommeille. Je perçois des cris. Une lutte. Des pleurs. Mais soudain, je peux sentir une personne me serré dans ses bras, et pleurer contre ma joue. Je reconnaitrais cette odeur entre mille. Clémence. Elle me serre plus fort mais je ne comprends pas ce qu'elle me dit. J'arrive à décoché une sourire, et je ne sais qu'elle force me permet de poser ma main sur sa joue. Puis, je ferme les yeux.
Clémence, je suis désolé...
Venges moi, et relance le temps.
Et surtout, n'oublis pas. Non. N'oublis jamais, que je t'aime.
.
.
.NDA
Coucou tout le monde!
À partir de maintenant je publirai 1 (voir 2) chapitre(s) le mercredi et le samedi.
Je vous souhaite une bonne rentrée scolaire! (Perso moi j'entre en 2nd je STRESSE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)
Bisous!!!<3
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It's time (TRILOGIE)
RomanceATTENTION Cette histoire va être supprimée, corrigée et publiée sur un autre compte : 7DreamUniverse Certains disent que quand le temps s'arrête, c'est l'apocalypse, la mort, la destruction. Mais pour moi, ça a été une renaissance. Je me nomm...