~•Chapitre 27•~

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[Je partis en courant, jusqu'au garage mais....]
Mais la porte du garage était fermé. Je ne voyais aucun bouton pour l'ouvrir. Je me tournai vers Antoine, il avait l'air aussi mal que moi.
Antoine: putain, comment on fait maintenant ?
Moi: comme j'ai fait la dernière fois.
Antoine: qu'est-ce que tu avais fait ?
Moi: j'ai pris une casserole et j'ai cassé la vitre de la cuisine.
Antoine: ils l'ont réparée ?
Moi: oui.
Antoine: ça va faire trop de bruit !
On ne trouve aucunes solutions.
Antoine: et les autres accès sont bloqués ?
Moi: oui, ça c'est sûr !
Antoine: bon viens, on va chercher des casseroles.
Moi: ah beh j'avais raison, tu n'étais pas d'accord avec mon idée.
Nous partons dans la cuisine, et nous sortons deux casseroles.
Moi: après, il faudra courir.
Antoine: je sais.
On allait s'apprêter à lancer nos casseroles mais une voix nous arrêta.
??: n'y penser même pas !
Nous nous retournons et apercevons deux hommes, nos kidnappeurs.
Antoine me lança un regard et je compris ce qu'il veut faire.
Il lance sa casserole au visage du mec le plus prêt de nous. L'homme tombe par terre, assommé. Je relève la tête et vois le deuxième homme placé plus loin. Je lui aurai bien lancé ma casserole au visage mais il est bien trop loin. Mais quand je vis un ballon de foot par terre, je n'hésite pas une seule seconde, et prends mon élan avant de frapper dedans en y mettant toutes mes forces. Le mec tombe lourdement au sol. Je me retourne et lance ma casserole dans la vitre qui elle, éclate en mille morceaux.
Je pars en courant suivie d'Antoine, qui n'arrive pas à me dépasser, malgré ce qu'il m'avait dit...
On escalade le grillage et nous courons encore jusqu'à s'en couper le souffle.
On s'arrête et on s'assoit par terre.
Antoine: comment as-tu fais pour viser aussi bien ?
Moi: on verra plus tard.
Antoine: il est pas assez tard là ?
Moi: si, et c'est pour ça que je vais dormir.
Je posa ma tête sur son épaule et m'endormis.
Je me réveille allongée sur les jambes d'Antoine.
Antoine: bien dormi ?
Moi: la nuit était un peu courte mais sinon oui.
Antoine: on ferait bien de rentrer, les autres doivent s'inquiéter.
Je me lève et lui tends la main. Je le tire et le lâche pour qu'il retombe mais il arrive à ne pas tomber.
Antoine: je me vangerai !
Je rigole, et on reprend notre marche direction le château.

Fin du chapitre 27😘😊
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