Au matin, comme d'habitude, Lucas était réveillé avant moi et me jouait dans le cheveux en regardant son téléphone.
-Tu texte à qui? dis-je avec ma voix du matin.
-Personne je survolte mon Facebook. Ça va?
-Ouais.
Je referma la yeux.
-T'es sûr? Tu t'es couché à quelle heure?
-C'est compliqué...
-Mal tu t'es couché à quelle heure?
-En fait je sais pas! Je me souviens que tu t'es endormi sur Jupiter Ascending, un film qui est impossible de s'endormir dessus en passant! Mais bon, en tout cas, dans le fond je me suis dis que je pouvais retourner chez moi, mais là ton frère m'a péter une coche. Je sens qu'on est mal partie... En tout cas, là, Dérek nous a dis de la fermer et je suis partie. En entrant dans le garage, je me suis remis à penser sur ce que ton frère m'avait dit et j'ai mis mon égo de côté et je suis revenue me coucher à côté de toi!
Je repris mon souffle.
-Content? dis-je après avoir pris une grande inspiration.
-Très! dit-il en me donnant un bisou sur la joue et en se levant pour partir dans la douche.
-Hum! Lucas! Je vais devoir retourner chez moi, je n'ai pas de vêtements ici!
-Attend-moi, on ira ensemble je ne te laisse pas y aller seul! Non, attend, demande à Calleb, moi j'ai des trucs à faire! Mais ne part pas seul, s'il ne veut pas tu m'attendras, mais ne sort surtout pas de cette maison seul!
Il avait une pointe de colère dans sa dernière phrase je choisis de lui obéir et cogna à la chambre de Calleb. Torse nu et en joggins, il ouvrit la porte. Je dois avoué que je n'en reviens toujours pas de son corps. Il ressemble tellement à celui de Lucas... merde je rêvasses encore!
-Attention! cria-t-il.
Je sursauta.
-Tu baves... répondit-il en riant.
Je baissa la tête autant rose parce que je suis gênée, mais plus rouge écarlate parce que j'étais en colère. Je me retourna et descendis les escaliers. Ce qui avait dehors ne devait surement pas être si terrible. En embarquant sur ma moto quelqu'un mit une main sur mon épaule.
-Je crois que ce n'est pas une bonne idée de désobéir à mon frère...
-À oui! et pourquoi?
-Parce que fâché, il est plus dangereux que moi et tu ne m'as jamais vu en colère.
-Oui un peu et la démonstration, n'était pas si terrible!
Il ria, sincère. Il est épeurant ce mec.
-Tu n'as rien vu, là j'étais gentil.
Je ravala durement ma salive. Si à ce moment là, il était gentil et que son frère est pire que lui... Je n'ose même pas imaginer mon espérance de vie... À moins qu'il essaye juste de me faire peur!
-Tu blagues, depuis le début tu essais de me faire chier au maximum, alors pour quelle raison j'aurais confiance en ce que tu dis?
-Au moins, tu n'as pas dis "en toi", merci, mais je ne te mens pas, vaut mieux ne pas le mettre en colère.
Je n'osais pas essayé, juste, juste par prudence... Je lui tandis mon casque, ce qui le fit rire. Il le prit, lui au moins, il tenait à sa... Je n'eu pas le temps de finir ma phrase dans ma conscience que je me retrouva avec un casque sur la tête.
-Pourtant une fille avec une si belle moto devrait savoir mettre son casque!
Lui ça le faisait marrer et bien pas moi! Je l'enleva et le remit comme il le faut. En sortant du garage, je me suis dis que j'allais lui montrer de quoi je me chauffe! J'accéléra jusqu'à 120 km/h.
-Relaxe! Mad Max! Tu vas nous tuer tout le deux!
Je fis lever le devant de ma moto pour que nous roulions sur une roue.
-Remets-nous au sol!
Monsieur était vraiment, vraiment en colère. Je nous remis au sol pour faire lever ma roue arrière à peine 30 secondes. C'était à mon tour de bien me marrer de lui. Une voiture se dirigea vers nous. J'alla me placer dans la même voie qu'elle et lui fit fasse.
-Colle toi à droite! Elle va nous rentrer dedans!
Je continua de rouler de plus en plus vite.
-MALI COLLE TOI À DROITE TU VAS NOUS TUÉ TOUT LES DEUX.
À deux mètre à peine de la voiture, je retourna dans ma voix respective sous les claxons du camion Honda CRv. Je retourna à une vitesse respectable de 60 km/h. J'avais ses mains sur mes hanches qui me serrait tellement fort que j'étais sûr que j'allais avoir des bleus. En arrivant chez moi, je mis ma moto dans ma grange et rentra dans ma maison sans lui laisser un regard. Moi j'étais heureuse. Je ne m'étais jamais autant amusé avec ma moto. Je rentra sous la douche chaude qui détendit tout mes muscles. En sortant, je me regarda dans le miroir pour voir mes hanches qui me faisait terriblement mal. J'avais une grosse marque bleu de chaque côté. Chic! Mais pourtant, il ne m'avait pas serrer si fort et je ne pense pas qu'avec une seul pression trop forte on peut avoir un bleu, même pas celle d'un garçon. Je sortis furieuse après m'avoir mis de la crème pour que j'ai moins mal. Je m'étendu sur mon lit et regarda la télé après m'être habillé en vêtement, pyjama. Donc leggins, chandail long et polo de Lucas. Un moment donné, j'entendis ma machine à café s'allumé. Je sursauta vu que depuis 1 ans j'habitais seul, partout où je vivais. Calleb était supposé m'attendre dehors, donc je me vois mal pourquoi il serait rentré. Je ferma ma télé et descendit avec ma bat de base ball. En descendant, je le vis avec un café dans les mains acôtées au comptoir. Trop sexy... Non, non, il ne fallait pas oublié que j'étais fru contre lui.
-Je sais que tu m'observe avec ta bat de base ball!
Comment il savait ça lui! Je regarda autour de moi... Et oui je suis la parano qui à mis un miroir dans la cuisine qui donnait sur les escaliers. Wow brillante la fille...
Tant qu'à faire je descendis et me fis un café. Je m'assis sur le comptoir et le regarda.
-Tu sais que je suis très en colère... dit-il.
-Oui, je sais! dis-je avec un magnifique sourire. C'était pour te faire ressentir ce que je ressentais quand tu me gossais!
Il ria et me fixa. Je soutiens son regard sans broncher, cela dirait que je lui suis inférieur. Il commença à s'approcher dangereusement de mon visage...
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The secret is the secret for a reason
WerwolfSon secret est un secret pour une raison, mais qui n'a pas envie de savoir les secret des autres. Les gens mystérieux sont ceux que nous avons le plus envie à apprendre à les connaître. Pour mon cas Mali 16 ans, je veux savoir ce qu'il cache, mais l...