Chapitre 16

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Justement la pleine lune était bientôt et tout ce qui venait avec... Tout le monde partie se préparé un a un et il ne resta que moi et Calleb dans la cuisine. J'étais assis sur la table et lui à côté au comptoir en me fixant. Malaise... non simplement je ne sais pas... je crois que ça s'appelle l'amour dans l'air. Il s'avança et m'embrassant. Je mis mes jambes autour de ses hanches et il me prit comme une enfant et m'emmena dans la pièce où nous faisions la cuisine. Mes fesses hurtèrent le comptoir. Nous continuâmes de nous embrassé langoureusement jusqu'à ce que quelqu'un se racle la gorge. Je ria un petit moment, Calleb était un peu contrarié. Je leva les yeux et je vis Lucas devant nous. Là ce n'est pas l'amour dans l'air mes l'amour du malaise dans l'air! Magique, mais pas de la même façon. Je lui sauta dans les bras. Il me serra du plus fort qu'il le pouvait comme si nous ne nous étions pas vue depuis des siècles. Ses bras musclés me soulevèrent de terre pour me faire tournoyer. 

-Tu m'as manqué Mali...

-Moi aussi...

Je crois que la chicane venait de tombée. C'était inutile de se détester, nous savions qu'il était mieux qu'il reste mon frère de coeur. Il me laissa à Calleb et allait repartir, mais Calleb le retint par le bras.

-J'ai à te parler. 

Il m'embrassa une dernière fois et sorti avec Lucas. Je décida de monter m'habiller. Je finis par jouer avec son téléphone le temps qu'il revienne. Soudain, il se mit à sonner. Répond, répond pas, répond, répond pas, répond, répond pa, répond, répond p, répond, non juste répond.

-Allo?

-Salut! Calleb?

-Non, il est pas là pour le moment je peux prendre le message?

-Depuis quand ce petit con laisse une de ses blondes avoir accès à son cell. Dit lui pas que tu as répondue, il va t'en vouloir à mort.

-T'inquiète pour ma survie. Je peux prendre le message ou tu comptes me parler jusqu'à ce qu'il revienne?

-S'il est dans la douche je vais attendre, mais s'il est partie faire je ne sais quoi en dehors la maison, il ne sera pas revenue tant que tu ne seras pas partie, c'est sa règle désolé de te l'apprendre.

Il était vraiment méchant mon amour avec ses exs. Sauf que là, je ne sais pas comment dire à ce gars que je vis avec son cher ami qu'il aime tant depuis presque deux mois.

-Bon alors dit lui de rappeler Sam, il saura je suis qui.

-Parfait! Bonne fin de journée!

-Merci toi aussi ciao!

Je raccrocha, bizarre ce mec. Calleb rentra dans la chambre à la seconde où je raccrochais.

-Tu parlais à qui?

-Sam.

Je n'avais aucune idée de qui c'était.

-D'où tu connais Sam?

-Ton téléphone. Il fait demandé que tu le rappel.

-Et bien ce ne sera pas pour tout de suite!

Il me prit par les hanches pour me rabattre sur le lit et commença à me chatouiller.

-C'est injuste! criais-je. 

Il était tellement mort de rire qu'il se retourna sur le dos pour rire. J'en avais mal au ventre. Juste à rire on peut de créer des abdos. J'embarqua sur lui et accôta ma tête sur sa poitrine toute chaude. Son téléphone se mit à vibrer sur le lit. Je le pris et répondis sans que Calleb ne bronche.

-Allo?

-Encore toi!?

-Oui encore moi! Tu veux quoi bordel!?

-Je veux parler à Calleb. 

Je donna le téléphone à Calleb qui répondit à la suite d'un long soupir. Je me recoucha sur son torax pour pouvoir entendre la conversation en étant confortable. 

-Qu'est-ce que tu veux? demanda mon amour.

-T'es où ça fait des semaines que tu viens pas en cours!? C'est ta nouvelle blonde qui te fait ça!? Mon vieux c'est mieux le célibat!

-Je suis pris avec elle pour l'éternité, donc faut bien faire avec!

Le vieux comique se trouvait drôle! Je lui asséna un grand coup de point dans la poitrine en guise de vengeance, mais je crois que je me cassa le petit doigt au passage. Lui riait bien et moi aussi, je trouva ça moins drôle lorsque je sentis que ce n'était pas seulement le petit doigt que je m'étais cassé. 

-Qu'est-ce qui se passe mec? demanda Sam rendu sur haut-parleur.

-Ma belle amour ici présente vient de se casser la main en me frappant!

Ça y était Sam n'était plus parmis nous. Comme le dit l'expression "mort de rire". Calleb prit ma main entre les siennes et m'enleva la douleur. Moi je riais avec un mélange de larmes. Lui, il était passé en mode protecteur. En un rien de temps ma guérison personnelle prit le dessus et je retrouva ma main. Il me prit mes mains et les embrassa en me regardant dans les yeux.

-Tu ne fais plus ça, ok?

-Oui, promis...

Il m'embrassa sur le front avec un sourire.

-Wow mec tu as trouvé la femme parfaite! Tu lui fais du mal je te jure, je vais t'étriper! 

-Ouais continue de manger tes croûtes. 

-Mon vieux je suis plus fort que toi!

-Personne n'est plus fort que moi! Appart Dérek et Lucas quand il est en colère. Bon c'est bien beau tout ça, mais tu veux quoi!?

-Juste te dire que les suckers sont revenue au collège.

-C'est une blague j'espère!

-Non, mon gars! Les morts recommencent, il doit avoir eu  3 disparitions et quelque chose comme 6 carnages de sang. 

-Combien ils sont?

-6 je crois, mais peut-être plus. Tout ce que je sais c'est que ce sont des rescapé de la meute des Whiteson.

Lorsque j'entendis ce nom, mon sang se glaça. Calleb me serra dans ses bras et commença à me bercer. Ce que ce gars m'avait fait... 

-La meute des Whiteson est morte.

-Des rescapé comme je dis!

-Tu as qui avec toi pour t'en occuper?

-Les gars du collèges.

-Qui

-Jayke, Niliam, Joe, Jay, Naïme.

-Tu vas être capable de t'en sortir avec ça?

-Tu pense que je t'appelle pourquoi?

-Ouais désolé... Tu veux qui d'autres appart moi?

-Prend Lucas, Liam, Dan et Leo.

-La meute du chalet dans le fond?

-Non laisse Dérek et Tressis en dehors de ça. Ils ont d'autres chats à foutés.

-Tressis ne laissera pas son frère aller à la guerre tout seul t'es malade!

-J'avais pas penser...

-Je vais venir avec la meute au complet. Je leur en parle pendant ce temps prends des infos sur eux. Nous allons leur tendre un piège...

-C'est bon! Attention à ta bien-aimée chérie!

-Tagueule! 

-Ciao le vieux couple!

-Ouais c'est ça ciao!

On raccrocha. 

-Alors...? demandais-je.

-Alors là...

Il me retira mon chandail en m'embrassant le coup, la clavicule, l'épaule. C'est là que je pensa que j'avais vraiment l'homme parfait... 


The secret is the secret for a reasonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant