Reality 37

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Au bout d'une heure, rien à changer. Ils me suivent toujours, soit avec leurs camions ou soit à pieds. Je décide de monter en haut d'un immeuble, espérant pourvoir les semer. Je grimpe les étages, jusqu'à arriver en haut et d'être sur le toit.

PDV DE BRAD :

On est tous dans le salon, ayant fermé les volets pour que personne ne puisse prendre des photos. On regarde les infos, où on voit tout le parcours que Lilou prend pour essayer de semer les journalistes. Elle monte en haut d'un immeuble pour déboucher sur le toit, mais les journalistes la suivent toujours. Mais je remarque qu'elle est presque à bout de souffle. Elle monte sur le rebord de l'immeuble et regardes-en bas avant de se retourner et regarder autour, certainement en train de chercher une solution pour partir.

J'ai tellement peur pour elle. Depuis ce matin, je vois bien que quelque chose la fait rager et qu'elle essaye de lutté contre ce sentiment. Mais... Qu'est-ce qui la met dans cet état ?

PDV DE LILOU :

Je suis bloqué. Je ne peux plus faire machine arrière pour les semer. Je penser pouvoir sauter sur l'autre toit, mais j'ai presque plus de force pour pouvoir me propulser aussi loin.

Soudain, une forte douleur s'élance dans ma poitrine et je porte ma main sur mon cœur en grimaçant de douleur en lâchant un râle. Malheureusement, mon pied glisse et je tombe en arrière pour commencer à tomber le long de l'immeuble. Je refais une crise et en plus je tombe d'un immeuble... Je vais certainement mourir.

Mes cheveux volent en me fouettant le visage et mes vêtements vont au gré du vent qui se produit à cause de ma chute qui va vraiment vite. Je ne fais rien pour lutté. Si les journalistes partent loin de chez moi, ils ne verront pas The Vamps et ils pourront ainsi rester en paix. Si je meurs... Personne ne me regrettera à part ma mère de toute façon...

Je ferme les yeux et mon dos claque violement contre quelque chose de dure qui se casse, pour me laisser encore tomber jusqu'au sol. Des planches s'abat sur mon corps, ma respiration me manque et ma tête tape violement contre une caisse qui est remplis de fruit et qui se déverse partout sur moi. J'entends des cris de peur et d'autre qui appelle de l'aide. J'essaye de trouver de l'air pour pouvoir respirer, mais je commence à suffoquer. Ma crise est vraiment plus violente que d'habitude. La douleur dans ma poitrine me lance plus fortement et une autre me lance dans le ventre. Quelques secondes plus tard, je trouve un peu d'air à force de forcer pour en trouver. Je me redresse lentement alors que mon corps me fait un mal de chien. Des planches tombent en même temps que des fruits sous mes gestes et je vois du coin de l'œil que les journalistes film toujours et qu'ils me regardent. J'ai du mal à ouvrir les yeux, mais je me redresse en tanguant beaucoup. Je me tiens le bras et, la tête basse, cacher par mes cheveux, j'entends des gens s'étonner :

- Mon dieu, elle est toujours en vie, s'exclame une voix de femme.

- Comment elle peut avoir survécu à une tel chute ? s'étonne un homme.

Mes mains tremblent sous l'effet de ma crise, mais j'essaye de marcher pour essayer de fuir encore les journalistes. Je récupère mon skate qui est intacte, heureusement, et essaye de monter dessus pour continuer à fuir, mais je me rétame à terre en toussant et en grimaçant de douleur. Plusieurs personnes cris de peur ou pour avoir de l'aide. J'essaye de me relever, mais les journalistes m'entourent, m'empêchant de me mettre debout. Plusieurs d'entre eux cri des questions qui me donnent mal à la tête et qui me font voir trouble. Je crois sentir un liquide couler le long de ma bouche, ainsi qu'un goût de fer dans la gorge et essaye de cacher ma tête avec ma capuche.

Il ne faut pas que je craque et qu'ils voient The Vamps. Si ça arrive, tout sera fichu. Plus jamais ils reviendront me voir ou me reparler. Ils comptent tellement à mes yeux...

J'entends quelqu'un crier mon prénom, mais je n'ai plus la force de bouger. La terre commence à bouger, comme-ci on était dans un manège qui tourne à toute vitesse, et je m'écroule encore plus contre le béton dur et rugueux.

Plus le temps passe, plus mes yeux se ferment seuls. J'entends des sirènes et essaye de toucher mon skate, espérant pourvoir me tirer hors de cette troupe de gens, mais ma vue commence à devenir double. Ma main tremble, mais mon bras tombe à terre en même temps que ma tête.

- Je vous aime, mes amis, dis-je inaudiblement.

Mes yeux se ferment, les bruits se transforment en font et je plonge dans l'inconscience. Au revoir le monde...

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Et voilà les gens, c'est la fin de SMS {the vamps}. Je suis triste, mais c'est ainsi. J'espère que cela vous aura plus... Dites moi vos avis !

SMS [The Vamps]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant