Reality 41

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Je braque subitement mon skate pour m'éloigner d'eux et part dans une rue où les mecs commencent à me poursuivre

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Je braque subitement mon skate pour m'éloigner d'eux et part dans une rue où les mecs commencent à me poursuivre.

PDV DE BRAD :

Je m'inquiète pour elle. Ça fait 1 heure qu'on est arrivé dans la chambre de la mère d'Evie et elle n'est toujours pas arrivé.

Elle avait tellement de colère sur son visage, que j'ai peur qu'elle fasse une bêtise.

Soudain, on entend quelqu'un s'arrêter devant la porte, essoufflé. Je relève la tête et la vois qui sourit malgré son essoufflement.

- Désolé d'être en retard, sourit-elle en prenant Léa, la mère d'Evie, dans ses bras.

- Ce n'est rien, voyons, rigole Léa. Tu es là et je te remercie infiniment pour ce que tu as fait pour Evie. Jamais ne je pourrais te remercier correctement.

- Moi je sais, rétablissez-vous vite pour que vous sortiez d'ici et être auprès d'elle, s'exclame Lilou. Elle a besoin de vous. Hein, Evie ?

- Voui ! s'écrit cette dernière en prenant sa mère dans ses bras.

Quelques minutes passent avant que Lilou décide d'aller chercher à boire pour tout le monde. Je la laisse partir avant moi et la rejoint en courant.

- Lilou, l'appelai-je en arrivant dans le couloir où elle marche.

Mais elle ne se retourne pas. Je cours pour la rattraper et attrape son poignet pour la retourner et qu'elle me regarde.

- Lilou, soufflai-je doucement en caressant sa joue. Qu'est-ce que je t'ai dit ? Il ne faut pas que tu te caches.

Je vois ses yeux s'embourber de larmes et elles commencent à rouler sur ses joues. Je la prends dans mes bras et lui chuchote des mots doux pour la consolée, tout en lui caressant le dos. Elle arrête de pleurer au bout de 5 minutes. Je m'écarte et pose mes mains sur ses joues pour enlever le reste des larmes.

- Tu vois, ça fait du bien de craquer avec quelqu'un, lui souris-je.

- Je suis désolée, je ne voulais pas gâcher les retrouvailles, dit-elle faiblement.

Je la reprends dans mes bras et la colle contre moi.

- Pourquoi tu étais autant en colère contre les mecs, tout à l'heure ? demandai-je avec prudence.

- Ils sont dans mon bahut et... ils ont violer une fille de ma classe, souffle-t-elle et j'ouvre de grands yeux. Elle se laisse mourir à petit feu et je n'arrive pas à la faire sourire. Je n'arrive pas à l'aider, alors que j'essaye toujours. Je me suis même mit à la suivre pendant les pauses pour pas la laissée faire des conneries dans le dos des gens. Mais c'est tout ce que j'arrive à faire.

Je contracte ma mâchoire, voulant les démolir. Comment peut-on s'en prendre à une fille, putain ?!

- Te connaissant, ils ont dû recevoir une bonne raclé de ta part, dis-je doucement. S'ils recommencent, c'est que c'est vraiment des bâtards sans cœur.

Je sens ses bras entourer ma taille pour la serrer fortement et je dépose un baisé protecteur sur son front.

- Aller, vient, soufflai-je. On va chercher les boissons.

Elle hoche la tête et on part à la machine qui se trouve dans le hall de l'hôpital. On prend des plateaux pour tout transporter et on remonte. Mais, quand on entre, on voit un massacre total...

Tristan et James sont en train de faire les dinosaures et tout le monde tournent la tête vers nous, attendant notre réaction.

- Je vais appeler un médecin, s'exclame Lilou en faisant demi-tour.

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Salut, salut, les gens ! :) Voilà un chapitre pour vous

SMS [The Vamps]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant