Partie 1

7K 492 34
                                    


Je m'avance vers lui , on se regardais il étais vraiment mal , il vomissait il toussait il crachait , j'avais les larmes aux yeux de le voir comme ça même si je ne le connaissais pas , je supporte pas de voir quelqu'un mal , je me suis acrcoupie à sa hauteur et j'ai mis ma main sur son épaule , il regarda ma main puis me regarda dans les yeux ,on se fixa un momment , un long moment puis je lui demanda

Moi:Salam euuuuh vous avez besoin d'aide?
Lui:*tousse*
Moi: Attendez j'apelle les pompiers
il m'attrape le bras me le sers fort fort fort
Lui-T'APELLES RIEN DU TOUT

il me lachait pas il respirait fort sans même voir venir le coup , je me retrouve dos au sol , lui sur moi , il baladait ses mains de partout , je pleurais , le suppliais d'arretais ,je criais , j'invocaisl'aide d'Allah , puis un momment je n'avais plus de voix ,plus de force , il me déchira mes vêtements , je faisais la chahada dans ma tête , sayait il m'avait enlever mon honneur , ma fierté , celle de ma famille , il avait fait basculé ma vie à partir de maintenant tout va changait , ca à surement durait moins d'une heure mais pour moi c'était une éternité , il se dégaga de moi , je vomis puis vis des taches jaune et blanche , je fis un malaise, une fois réveiller il faisait jour , j'était au même endroit , mais lui n'était plus là , j'étais déshabillé , mais vêtement déchirés , je ne trouvais pas mon portable , j'avais froid , je me suis accroupie dans un coin et j'ai pleurais , as starfallah je voulais mourir , je pouvais pas sortir de cette ruelle , je ne portais rien , je perdis toute espoir , j'avais mal partout , faim . Les heures passaient lentement , quand une femme arriva , elle habitait juste à côté d'ici ,je la voyais souvent , elle portait des courses et à ma vu les lacha et courra vers moi , elle me serra dans ses bras ,et pleurais , elle m'aida à me relevais mis un gilet autour de moi , et m'emmena chez elle , je lui demanda si je pouvais me douchais elle accepta elle me sorta des vetement appartenant à sa fille , et me fit assoeir dans son salon , elle me posa mille questions je ne répondais à rien elle voulu appellait la police , mais je devins hystèrique , je lui cria dessus et lui fit jurer de n'en parlais à personne , je la pris dans mes bras , et reparti en direction de chez moi , cette fois je ne pris pas la ruelle .... Arrivé chez moi , à peine la porte d'entrée passé , ma soeur me giffla , me secoua

Marjane: Put**n mais t'étais ou ? tout le monde te cherche !
Moi : Je euuuh je me suis perdu ...
Marjane : Ah ouais tu t'es perdu ?!Tu me prends pour une conne hahaha (rire nerveux)

Elle me regifla

Marjane : comment ca se fais t'es changer , c'est quoi c'est habille ? T'as passé la nuit ou?
Moi :
Marjane: Allah ya hdina ma soeur , les darons nous ont pas élevé comme ça ! Tfouu hlik tu me dégoute

Puis elle partit dans la cuisine , je courrus dans ma chambre et m'enferma à l'intèrieur , dire à ma soeur ce qui mettais arivais ? Hors de question , je sais pas ce qui me bloquais mais j'arrivais pas à lui dire . Je sortais de ma chambre seulement pour aller au toilette , me doucher et manger si on peut apellé ce que je faisais manger . Ma soeur , chaque fois que l'on se croisais elle m'ignorai , ou elle m'insultait moi je faisais avec , je galèrais beaucoup chez moi , je me remémorais mon viol , je restais des heures , sur mon tapis de prière à invoqué Allah de me pardonner , pour moi tout était de ma faute ...

1mois et demi passa , mais parents sont de retour avec Marwan mon frère , ils ont bronzer ils étaient tout beau souriant , ressourcés pour une année de Taff à se casser le dos . Moi et ma soeur , toujours la même et mes parents le remarquère , je boycottais souhir et raja . J'en voulais on monde entier sauf mes parents , mon frère et ma soeur . La dame qui m'avais "seccouru" le jour de mon viol prenais souvent de mes nouvelles , et posé toujours la même question "s'il te plais ,dis moi , qu'est ce qui t'es arrivé ?" Je répondais jamais à cette question personne ne savais je garderai se secret longtemps , très longtemps ... J'avais pas la tête au cours , le contact avec les gens de dehors , avec ceux qui riais , qui étais heureux , je ne le voulais pas !

mi octobre, je suis chez moi seul , ma mère et chez la voisine , mon père au travail , ma soeur chez sa copine et mon frère en cours , je regardais la télé quand j'ai eut des nosés , je tremblais . Puis je commencais à paniquer , c'est vraie que je n'avais pas eut mes règles , je paniquais , je pris mes chaussures et courrut jusqu'a la phamarcie achetais un test de grossese , j'en prends plusieurs finalement , je voulais être sur , ne pas me tromper . Rentrais chez moi , je les ranges dans mon armoir , j'avais besoin de quelqu'un pour m'aider , de ma soeur , je l'attendais , elle rentra en début de soirée

Moi: Euuh Marjane ?
Elle: Quoi toi ?
Moi : Tu peux venir vite fait
Elle : Foooooou !

elle rentre dans ma chambre , je sors de l'armoir les test de grossesse , elle me fis les gros yeux

Moi-Je euuuh je l'ai pas encore fais
Elle : Et comment tu vas faire ?
Moi: faut les faire déjà ...
Elle : Hmm bh qu'est ce que t'attend

Je vais dans la salle de bain , suivis d'elle , on fais les test et vous l'aurez compris ils étais tous positif , ma soeur elle eut une réaction qui me choqua , elle partit avec les test dans le salon voir mes parents , ils étaient hors d'eux , enfin surtout ma mère , mon père lui ne parlais pas . Après un "conseil de famille" ma mère et ma soeur prire la descision de me mettre dehors , pour eux je devais assumer ma connerie seul ,j'avais 18ans j'étais une adulte au selon la loie , mais une enfant encore au fond de moi . Je pris donc mes affaires , du moins le strict nécessaire et partis chez la seul personne en qui j'avais confiance : La dame quim'avais trouvé dans la ruelle qui au passage s'apelais Louisia c'étais une Espagnol Hamdoulilah on me l'a mise sur mon chemin . C'étais provisoire , je n'étais pas sans ressource j'avais un compte épargne depuis longtemps mes grands parents y mettais 100euro tous les mois , donc j'avais de quoi me debrouillé .

A partir de ce jour , mon combat pour l'avenir de moi et mon enfant commença .

Aujourd'hui mon fils, je me bats pour toi, pour nousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant