Chapitre 41

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Tout d'abord je voulais vous remercier d'avoir répondu à mes questions dans le chapitre précèdent et de m'avoir donné des commentaires très positifs !! Merci beaucoup ! Bon allez la suite !!

Cela fait déjà dix minutes que je cours comme une dératé. Je sais qu'il aurait pû m'attraper depuis longtemps mais il préfère me rendre parano. Soudain je percute contre quelque chose. Ne me dîtes pas que...
Je lève la tête doucement pour m'attendre à voir Ayato, mais au contraire j'aperçois un visage familier.

Moi: Karma ?!

Je le regardais incrédule, presque les larmes aux yeux. Une douce chaleur se répandit au fond de moi.

Moi: Qu'est-ce que tu fais ici ? C'est dangereux !

Karma: Chuut !! Je suis venue te chercher !

Moi: Me chercher ?

Soudain il me prit dans ses bras et la seconde qui suivi, nous étions dans son salon. Il n'avait pas changé depuis que j'étais partis. C'était un grand appartement de luxe type américain. L'entrée donnait directement sur le salon spacieux. La cuisine se trouver à droite et c'était une cuisine ouverte avec un grand plan de travail. Les chambres se situait à gauche et elles étaient toutes aussi luxueuses. Pour la grande pièce centrale, un piano à queue se situé entre le salon et la cuisine. De plus, une grande baie- vitrée donné sur la ville, qui, quand le soir était venu, donner un spectacle magnifique. On pourrait se croire à New York. Il se détachait de moi.

Karma: J'arrive dans deux minutes, fais comme chez toi.

Il terminait sa phrase avec un sourire chaleureux. Je me dirigeais vers le piano à queue. Il me l'avait offert le jour de mon anniversaire. Je caressée du bout des doigts, les touches blanches et noires. Des souvenirs nostalgiques refaisaient surfaces. Je me dirigeais, naturellement, vers la chambre de Karma, qui, auparavant, était aussi devenu la mienne. Les couvertures des draps et de la housse de couette étaient en boule. Je m'approchais de ceux-ci et les pris dans mes mains. Ils étaient tous chaud et ils sentaient la lessive "coquelicot​ et fleur de cerisier". Je me mis pour objectif de faire le lit. Pendant que je dépliais les draps, je me posais certaines questions. Tout d'abord, quelles pensées traversaient l'esprit de Ayato ? Quelles idées obsènes Raito imaginer, quand il me retrouverai ? Des frissons me parcoururent le corps pendant un instant. Soudain, quelqu'un toussota pour signaler sa présence. Je me retournais vivement mais qui d'autre ça aurait pu être à part Karma ?

Moi: Tu m'as fait peur...

Karma: Je ne pense pas que ce soit moi qui te fasses peur en ce moment.

Il faisait allusion au vampire possessif. J'étais tellement perdu dans mes pensées que j'avais arrêté de faire le lit et Karma avait parfaitement compris à quoi je pensais.

Karma: Ne t'inquiète pas, il ne viendra pas te chercher. Il ne sais pas où j'habite, ni où tu te trouves en ce moment. De plus, il n'ira sûrement pas imaginer que tu es ici et avec moi en plus. Et puis, si ça peut ​te rassurer, mes familiers font en sorte que les Sakamaki ne savent pas où tu te trouves. Ils vont dissimulés ton odeur.

Moi: Tes familiers ?

Karma: Oui, se sont des petits esprits qui prennent l'apparence d'animaux. Ils sont un peu partout.

Moi: Je vois... Tu sais, j'ai cru que tu étais déçu de moi l'autre jour, pendant la course d'orientation...

Karma: Ne raconte pas n'importe quoi, je sais que Raito est capable de choses... dérangeante et puis, je sais que tu n'irais pas dans son sens et je sais aussi qu'il t'a posé un ultimatum pour que tu lui "appartienne" et je suppose aussi que les propositions qu'il t'as fait sont loin d'être saine, alors non je ne t'en veux pas.

Moi (sourire): Merci...

Karma: Mais de rien "mademoiselle problème" ~

Moi: Raah tu m'énerves !!

Je lui jettait la housse de couette en pleine figure et couru hors de la chambre pour me réfugier sur le canapé. Il arriva avec une panoplie de cousin. Quelques minutes après, je venais de subir un bombardement de cousin en tout genre : petit comme gros style pouffe ou bien encore des cousins avec des motifs enfantin.

L'ambiance était agréable et il faut dire que cela faisait longtemps que je n'avais pas souris et rigoler autant.

                            ...

Nous avions déjà mangé depuis longtemps et Karma eu la bonne idée de faire un petit feu dans le poêle à bois moderne. Le crépitement des flammes était le seul son qui résonnait dans le grand appartement. Je pouvais sentir la chaleur se dégageait du poêle à bois. Je me sentais un peu fatiguée alors tout les facteurs étaient présent​ pour un bon sommeil.

Karma: J'ai une idée...

Il ouvrit le poêle à bois et il prit mon bras. Je le regardais septique.

Moi: Qu'est-ce que tu as derrière la tête ?

Karma: Laisse toi faire d'accord ?

Il emmena mon bras vers le feu. Il comptait me brûler ? Avant que je ne puisse réagir, ma main était en contact avec le feu. Je fermais les yeux par réflexe, mais je sentis une énergie grandir au fond de moi. C'est comme si toutes la fatigue que j'avais accumulé ces derniers temps s'était dissipé à l'instant où ma main était entrée en contact avec le feu. Je me sentais bien. De plus, ma main ne brûler pas, au contraire elle regorgeait de vie.

Moi: Haha ! C'est... C'est....

Karma: C'est une des facultés du Talmers. Il se régénère à l'aide du feu.

Moi: Le feu par le feu hein ?

Karma: En effet... Sache que moi et Rosalya, nous serons tes seuls alliés.

Je le regardais pendant quelques secondes qui paraissait quelques minutes pour finalement déposer un baiser sur ses lèvres en lui chuchotant un " Merci" avant de mettre ma tête dans le creux de son cou et de fermer les yeux pour apprécier le moment.

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Et voilà le chapitre 41
Désolé pour les fautes d'orthographes
La suite demain ☺
Aller biz

[ Diabolik Lovers ] Tome 1✴ Sweetie Blood ✴ EN RéécritureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant