◀ Pdv Dean▶
Quand je rentre dans la chambre d'Eve, je ne peux empêcher mes yeux de se balader sur son corps... Elle était juste vêtue d'un débardeur blanc et d'une culotte noire, ses cheveux toujours aussi courts, étaient en désordres et cela l'a rendait encore plus attirante.
Je me rapproche d'elle tout en l'a fixant dans les yeux. On pouvait apercevoir dans son regard qu'elle se sentait perdue, elle ne savait pas ce que je lui préserver...
Je pose mes mains sur ses hanches délicates et l'a plaqua contre moi. Surprise par ce geste, elle entrouve sa bouche et là je l'embrasse. Ses lèvres m'avaient manqué toute la journée ainsi que son corps avec ses formes ...
Nos langues se rencontrèrent et ses bras s'enroulèrent derrière ma nuque. Je pris sa jambe d'une main et l'a lui leva pour qu'elle soit encore plus proche de moi. La deuxième me manquais donc je l'ai pris aussi. Désormais elle n'avait plus d'appuis sur le sol mais sur moi. Je l'a pris dans mes bras et l'a reposa sur son lit frais. Elle en dessous, moi au dessus, je lui enlevai doucement son haut , elle retira le miens ainsi que mon jeans. Je lui pris les poignets avec une main et je baladai mes lèvres sur les siennes, sur sa mâchoire, en dessous de son oreille puis je descendus plus bas jusqu'à ses seins... Je l'entendais , petit à petit, gémir de plaisir. Elle voulait enlever ses mains de mon emprise mais en vain, jusqu'à ce qu'elle me supplie de l'a lâcher .Ève :" Dean... Je veux te toucher ...s'il te plaît ..."
Moi faisant l'enfant, je lui souris sur sa poitrine et lui mordis la chair . Elle cria mais silencieusement pour ne pas réveiller son paternel et je poursuivis mon chemin. Arrivé à la "barrière" je l'a regardai , avec mon regard interrogateur et elle prit la parole.
Ève :" À toi de souffrir un peu mon beau"
Elle me retourna d'une traite et fit le même parcours que je lui avais fait subir quelques secondes auparavant . Elle s'arrêta à la "frontière", hésitante, elle me fixa de nouveau et d'un coup retira le seul tissu qui me restait. En revoyant mon Pau- Paul un sourire apparu sur son magnifique visage. Et elle se fit plaisir avec...
Pdv Eve :
Je le retournai d'un seul coup et lui fis subir ce qu'il m'avait fait subir il y a moins d'une minute. Arrivé vers son boxer, je le vis une dernière fois avant de le retirer sauvagement. Dean avait l'air surpris et moi heureuse de revoir son oiseau rare ...
Avant que je ne lui fasse quoi que ce soit, il pris mes cheveux et me les tira jusqu'à ce que ma bouche vienne sur la sienne. Je l'embrassai et il me souleva une dernière fois avant de me chuchoter à mon oreille :Lui:" Je suis prêt à parier tout ce que tu veux que tu ne me fera pas atteindre l'orgasme avec ce que tu penses faire..."
Moi:" Vois tu moi je n'en suis pas si sur..."
Et je vais directement à l'acte... Je me baisse vers son engin, un tant soit peu méfiante et non sereine. Je le prends en pleines mains et fit des allés/retours...
C'était la première fois que je faisais ça et franchement c'était excitant mais aussi un peu mal aisant. Dean commençait à trop s'agiter à mon goût donc pour mon plaisir personnel, je terminai mon mouvement alors qu'il était presque à l'orgasme...Lui:" Tu es quand même pas sérieuse ?"
Moi:" Oh si je le suis mon grand ..." dis je avec fierté
Lui:" Ok alors à ton tour maintenant de souffrir de plaisir princesse... " me répondu t il d'une voix sensuelle et terriblement sexy...
Je ne pu reprendre ma respiration qu'il me chevaucha. Il prit place sur moi et commença à glisser ses mains le long de mon corps commençant par mes seins...
◀Pdv Dean ▶:
Je place mes mains sur ses seins qui se raidisserènt à mon contact. Ève se cambra quand je mis mes lèvres sur ses précieux bourgeons rosés.
Je ne l'avais jamais vu comme ça . On aura dit qu'elle me donner le droit de tout lui faire subir... Et malheureusement pour elle cela m'excitait encore plus...Mes doigts frôlaient sa peau jusqu'à ce que je lui retire , tout comme elle me l'avait fait, sa culotte. Je me penchai alors sur sa fleur et l'embrassai. Ève se mise soudain à gémir doucement en m'arrachant les cheveux.
Elle avait les jambes ouvertes, elle était nue sur le lit, cambrée. Rien quand imaginant son visage, je me relevai d'un coup sec afin de l'embrassai de plus belle ses lèvres qui me criaient famine...
Ève encercla mes hanches à l'aide de ses grandes et sublimes jambes, tirant toujours sur mes cheveux pour que je puisse plonger ma tête dans sa poitrine.Elle:" Dean s'il te plaît , ne me fais plus attendre... "
Sur ce, je relève la tête et guidai Pau-Paul vers ma fleur bien garnit qui m'attendait...
Une fois de dans, je fis jouir Ève avec mes coups de reins que je lui imposais.🔗Pdv Eve🔗:
Quand il pénétra dans mon jardin secret, je ne pouvait plus me retenir de jouir. C'était si bon ... Ce n'était pas la première fois qu'il rentrait en moi , mais cette fois ci , c'était différent comme si il ne m'avait pas touché depuis des siècles ou comme si il avait été un valeureux soldat de guerre et qu'il était revenu me voir pour me sauter car pendant des années il n'avait pu subvenir à ses plaisirs intimes car il ne pouvait pas m'atteindre depuis là où il se trouvait...
Il prit mes fesses pour m'ajuster correctement à lui et en profita pour les toucher. Mes mains, baladeuses, s'accrochaient à son beau fessier puis montèrent allant jusqu'à son dos. Je m'étais mise à le griffer sans vraiment m'en rendre compte mais lui, il n'était pas dupe et face à mes mouvements, il se mis à gémir...
********
Une heure après ce pur spectacle, Dean se posa, tendrement, sur ma poitrine. Nous étions recouvert tout deux de transpiration mais on se fichait de cela, ce qui nous importait était qu'on soit ensemble.
Exténués de ces événements, nous nous mîmes à endormir, dans les bras de l'un de l'autre, les jambes s'entremêlant avec les draps, nos respirations irrégulières mais rythmées par notre amour profond et sincère...
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Survivante
Novela JuvenilJe n'avais que 11 ans quand je perdis ma mère. Toute ma vie s'était effondrée et pour le bien de mes proches, je faisais semblant d'aller bien. Toutes les nuits je faisais des cauchemars jusqu'à ce fameux jour de rentrée... Depuis plus rien est c...