OS x reader - Tome 1 [TERMINÉ]

Masrur x reader (Magi)

Demande de @-Aizawawa -

Anime : Magi : The labyrinth of Magic

Masrur x bookseller!Reader 

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« Masrur, je te donnes un jour de congé ! »

Ce fut avec cette simple phrase que tout commença. Sans elle, rien n'aurait pu se faire.

C'était donc, le jour de congé de Masrur. Sinbad avait annoncé, par on-ne-sait quelle motivation, que son général taciturne avait un jour de repos. Il lui avait même conseillé d'aller dans une boutique assez particulière. Le roi de Sindria n'en n'avait pas dit grand chose, pour garder le mystère et attiser le peu de curiosité dont faisait preuve Masrur.

Prenant le plan de la ville, indiquant l'emplacement de la boutique, un peu mal fait, Masrur s'en alla sans dire plus d'un seul mot.

-Merci.

A présent, il se trouvait dans les rues les plus fréquentées de la ville. Mais, à sa taille et sa carrure, il n'avait aucun problème de passage et de bousculade.

Il arriva à l'entrée d'un marché. Masrur regarda le plan et sembla perturbé par les traits pas assez précis. Sur le plan, aucun marché n'y figurait. Puis, il haussa les épaules et se dit que cela lui ferait une ballade avant d'aller dans cette boutique.

Beaucoup de femmes étaient aux étalages, quand Masrur arriva en plein milieu du marché. Beaucoup de femmes aussi, faisaient leurs courses.Ensemble, elles discutaient. Le général pouvait entendre quelques bribes de conversation typiquement féminine.

-...et ton enfant ? Quel âge il a, maintenant ? Il doit avoir grandi !

-Le dernier, il a trois ans ! Et c'est un vrai petit diable !

Ou bien :

-C'est pour quand, le petit nouveau ?

-Bientôt, bientôt !

Sans oublier les petits inconvénients féminins :

-Mon mari a fait tellement du bon boulot, hier soir, que j'ai du mal à tenir debout, depuis ce matin !

Puis, des ricanements étaient entendus, à la suite de ce genre de commentaires. Masrur passa devant les petits groupes de femmes, faisant croire qu'il n'entendait absolument rien des conversations. Bien que ce soit faux et qu'il se surprenait parfois à volontairement écouté.

Après vingt minutes de parcours entre les femmes, leurs enfants, les étalages et leurs marchandises, le Fanalis soupira de soulagement. Il était enfin sorti de cet enfer ! La chaleur humaine – avec la chaleur naturelle –, les conversations venant de partout et les enfants impossibles à gérer, c'était très désagréable.

Mais, le voilà sorti de ce brouhaha. Alors, il se remit en marche, les yeux plantés sur la carte de la ville.