Haizaki Shogo x reader (Kuroko no Basket)

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Anime : Kuroko no basket


Haizaki x short!reader 


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Haizaki avait juré que s'il tombait amoureux, il ne ferait aucun mal à son élue. Étonnant, hein ? Après tout, Haizaki Shogo n'était peut-être pas si mauvais que cela ? Il s'était fait cette promesse tout seul, parce que, secrètement, il voulait une vie amoureuse sans réels problèmes. Mais, il redoutait les moqueries de ses camarades. Oui, Haizaki, était capable de redouter quelque chose. Après tout, il était comme tout le monde, non ? Il avait le droit de redouter la honte !


Le lycéen soupira en repensant à son auto-promesse. Parfois, il se moquait de son absurdité sans nom. Mais, il se disait toujours qu'il allait, malgré tout, la tenir. L'amour était quelque chose d'important, pour lui. Même si des rumeurs parlaient de lui, ce n'était que des rumeurs. Donc, des paroles venant d'ignorants qui ne connaissaient pas Haizaki.


-Haizaki ! l'appela-t-on.


Soudainement, il sentit plusieurs paires d'yeux posés fixement sur lui. Il releva la tête et remarqua que ses amis le regardaient avec insistance. Il grogna.


-Quoi ? Arrêtez de me fixer comme ça, c'est gênant.

-On te parlait, tu sais.

-Et ? Qu'est-ce que vous vouliez ?

-On allait sauter l'heure de maths, tu viens avec nous ?


Il allait dire oui. Et puis, il réfléchit. Un silence dans le groupe s'invita.


-Je ne viens pas.


Cette réponse en surpris plus d'un. Haizaki refusait de sécher un cours.Quelle première ! Un de ses amis, inquiet, presque paniqué, se jeta sur lui et posa sa main immédiatement sur son front.


-Tu...Haizaki, tu vas bien ? Tu n'es pas malade ?


Haizaki grogna et repoussa brusquement son ami.


-Tch. Foutez-moi la paix.


Personne ne put dire quoique ce soit d'autre, le professeur arriva et demanda à tout le monde de s'asseoir à sa place.


**



Alors qu'il sortait de sa salle de classe, il vit une belle silhouette dans le couloir, illuminée par les derniers rayons du soleil. Ce qu'elle faisait ? Elle peignait. Sur quoi ? Sur les murs du lycée. Et bien sûr, Haizaki pensa immédiatement à la « Légende du Fantôme qui peint sur les murs ». Il se retint de rire, voyait que l'objet de cette légende était une petite lycéenne, haute comme trois pommes,obligée d'utiliser une échelle pour atteindre les pans de murs.


Il s'adossa contre le mur, attendant que la lycéenne termine. Une fois le résultat obtenu, la jeune fille s'essuya le front, mettant par la même occasion de la peinture sur son visage. Puis, elle descendit de l'échelle et admira son travail en souriant, les mains contre ses hanches.

Haizaki, sans aucun bruit, se rapprocha de la jeune fille. Puis, il souffla dans son oreille, la faisant frémir et sursauter.


-Aah !


Elle perdit l'équilibre mais Haizaki la retint. Il n'avait pas encore vu son visage et il était vraiment curieux. Ils restèrent un long moment l'un contre l'autre, sans bouger. Puis, réalisant la proximité, (Nom) se décala immédiatement et, se courba, en signe d'excuse.


-Je suis désolée ! Pardon !


Même en entendant les pas se rapprocher d'elle, elle ne se redressa pas.Mais, elle sentit deux doigts lui soulever le visage et lui forcer à lever la tête. Ses yeux s'écarquillèrent de surprise en voyant la personne en face d'elle. Ses joues rougirent brutalement, sans vraiment comprendre pourquoi.


-Alors... commença-t-il de sa voix taquine, es-tu celle que terrifie tout le lycée avec tes graffitis ?


Elle n'osa rien répondre, tétanisée comme jamais. Haizaki, toujours un sourire narquois aux lèvres, réduisit la distance.


-Que crois-tu faire ? s'indigna la jeune fille en fronçant les sourcils tout à coup.

-Je pense que tu es facile d'accès, physiquement.

-C'est impossible.


Il se rapprocha, pas à pas, dangereusement, de la jeune fille puis de ses lèvres avant de les emprisonner. Ce baiser lui parut long et(Nom) sursauta en sentant sa langue titiller sa lèvre. Elle essaya de refuser mais Haizaki la força et trouva sa jumelle. Puis, il se détacha d'elle et s'éloigna légèrement. Sans qu'elle ne le vit venir, il frappa ses fesses en souriant et lui dit :


-Tu vois, ma belle, la nargua-t-il. Tu es très accessible physiquement !


Il se détourna et commença à repartir. Mais, Haizaki s'arrêta et tourna la tête vers elle, un grand sourire fière sur les lèvres.


-Pour information, ce baiser était un French Kiss.



 Ce n'est qu'après cette phrase qu'elle se mit à rougir violemment. 


-A très bientôt, Miss.

OS x reader - Tome 1 [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant