La Rage Folle [pause]

9.

  Point de vue de Evelyne:

    J'étais allée prendre une douche bien chaude, et avais enfilé mes nouveaux uniformes. A 20 heure j'avais commencée mon service, et je fus très étonnée de voir que le bar se remplissait de plus en plus. Bon appart le fait que toute ces personnes étaient des loups, j'étais très heureuse de pouvoir travailler dans ce bar.  Le service se passait bien, les clients avaient l'air ravies, et le chef aussi. Il était bientôt 2 heure du matin et d'autres clients arrivés. Essayant de faire le plus vite possible pour ne pas faire attendre les clients, je percutais quelqu'un dans l'entrée, lui renversant le café que je tenais, il y a quelques instants, dans mes mains. 

Evelyne: Oh mon dieu je suis sincèrement désolée monsieur, je vais vous chercher une serviette pour nettoyer tout ça, je fais vite.

    Je n'avais pas vu que l'homme et ceux qui le suivait étaient abasourdis et avant que je ne parte chercher de quoi nettoyer, l'homme sur qui j'avais renversé le café plutôt, m'attrapa le bras, me fit tourner, pour que je me retrouve face à lui.

 Evelyne: Oh non pas vous.

Point de vue de Conrad:

Nous étions épuisés, tout à l'heure nous nous étions rejoins devant la maison de Evelyne pour faire des groupes de recherches. Nous avions fait toute la forêt pour finir par la ville, mais toujours rien. Il était bientôt 2 heure du matin et je commençais à m'inquiéter. Mon groupe voulu faire une pose et nous nous dirigeâmes alors vers un petit bar illuminé. Nous attendions dans l'entrée derrière un humain assez grand, que la serveuse veuille bien nous accueillir.

Bold: Elle est tout proche, je la sens 

   Une pointe d'espoir naissait dons mon cœur, j'allais peut être la retrouvé dans ce bar, alors que je la cherchée depuis des heures. Toujours dans les nuages, une fille percuta l'humain devant nous, ce qui me remit les pieds sur terre. Si je comprends bien elle avait renversé du café sur l'homme.Mais quand, elle essaya de partir chercher une serviette pour nettoyer, l'homme la tira par la manche pour la mettre face à lui. Et là je reconnus...Mais c'est Evelyne!!!!!

Bold: Bonne déduction sherlock.

   Elle avait dit quelque chose mais je n'avais pas réussi à l'entendre. Puis, tout en le regardant dans les yeux elle dit.

Evelyne:   A six heure, devant le bar. 

L'homme hocha la tête et sortit du bar. Elle avait utilisé un ton tellement froid qu'il en donnait des frissons dans le dos. Elle souffla un grand cou avant de nous regarder et quand elle me vit, elle soupira.

Evelyne: Encore vous, c'est vraiment pas ma journée.

Puis elle repris son sourire, elle était difficile à suivre avec tout ces changements d'humeur.

Evelyne: Vous êtes combien  ?

Conrad: 3

Evelyne: bienvenue et suivez-moi s'il vous plaît

Nous tournions autour des tables quand elle s'arrêta et dit.

Evelyne: Je vous laisse vous asseoir je reviens.

Elle partit, nous laissant.

pisteur: Oh mon dieu, qu'est ce qu'elle est froide cette meuf.

Conrad:  C'est elle que nous cherchons.

pisteur: Désolé Alpha, je ne savais pas. Mais pourquoi elle vous intéresse tant?

Conrad: je ne suis pas sûre que se soit une humaine et si c'est une louve, elle est extrêmement puissante et peut être dangereuse.

pisteur: je comprends.

Evelyne vînt nous prendre les commandes et partit s'occuper d'autres clients. Ça m'énervé que les hommes la regardent comme de la nourriture mais je devais me contrôlais pour ne pas éveiller les soupçons. J'avais dis à mes pisteurs de partir, parce que tant qu'elle resterait je resterai, elle va bientôt finir par sortir pour dormir, non ?

   Les heures passaient et alors que je commençais à m'endormir, la porte du bar claqua et me fit sursauter par la même occasion. Je la cherchais mais elle n'était plus là. Et merde. Je sortis en vitesse du bar et me trouvai nez à nez avec l'homme avec qui elle avait rendez-vous. Il avait l'air très énervé.

homme: Où est elle?

Conrad: Je ne reçois pas d'ordre et je n'en sais strictement rien.

homme: Si tu sais, je t'ai vu la regarder quand elle m'a renversé le café dessus, sale chien.

S'en était trop, mais pour qui il se prend celui là, il l'aura voulu. Mais avant que mon poing s'arrête en plein dans sa figure. Une voix m'interrompit.

Evelyne: Je suis là, si tu veux parler c'est maintenant.