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Point de vue de Evelyne:

Evelyne: Je suis là, si tu veux parler c'est maintenant.

     J'avançais,suivie de cet homme et de l'autre débile vers une ruelle silencieuse. L'homme, je le connais en effet. Le père de ma meilleure amie, Cassie, que j'ai tué il y a 2 ans en tuant son âme-sœur. Et je sais que trop bien qu'il veut ma tête sur un plateau d'argent, d'ailleurs cette idée n'est pas mauvaise en soi. J'ai tué entre 30 et 40 personnes d'un seul coup, puis, je peux encore le faire. Je devrais mérité de mourir tellement de fois, mais Eve m'en empêche en me torturant l'esprit, pour moi, c'est comme si je prenais 30 coups de fouets. Je m'arrêtai dans une ruelle sombre et me tournai pour leur faire face. Je regardai d'abord l'autre imbécile puis le père de ma meilleure amie.

Evelyne: Peux tu s'il te plaît nous laisser ? demandai-je à l'intention de mon camarade de classe, même si c'était plus un ordre.

L'imbécile partit, me laissant seule avec cet homme,  que mon regard ne quittait pas des yeux. Plusieurs minutes passèrent, puis il dit.

homme: Tu sais pourquoi je suis ici, n'est ce pas ?

j'hocha la tête silencieusement.

homme: Mais avant je vais te torturer, comme tu m'a torturée par le passé.

Liant son geste à la parole il lança à mes pieds un gros collier en argent avec trois anneaux, comme ceci;

Liant son geste à la parole il lança à mes pieds un gros collier en argent avec trois anneaux, comme ceci;

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   Evelyne: Tu sais que si je mets ça, il risque de se passer la même chose qu'il y a deux ans.

homme: Je me fous des autres, tue les, ça t'en feras d'autres sur la conscience. Tu m'as pris ma fille, le seule chose qu'il me restait. Alors Met Le !!!!

Je m'approchai lentement du collier mais quand j'essayai de mettre ma main dessus, quelque chose d'invisible me bloqua.

homme: laisse ! Je vais le faire.

    Il s'approcha, pris le collier et me le mit autour du coup. D'un coup j'hurlais, le sensation de l'argent sur moi était tels des flammes qui ne veulent que s'agrandirent. C'est le gros effet néfaste de l'argent sur les loups. Alors que j'hurlais toujours, cet homme s'était mis derrière moi et m'avait attachée une laisse, toujours en argent, à mon collier.A cause des mes cris, des fenêtres s'étaient allumées et des gens sortaient, nous entourant. Il ne fallait surtout pas que je lâche sinon j'allais tous les tués.  J'étais maintenant à quatre pattes, hurlant la mort de m'emporter mais alors que je me sentais de plus en plus faible, un loup noir balança l'homme qui m'avait mis le collier. Je sentis le loup se rapprochait et m'enlevait le collier.  Aussitôt le collier loin de moi, je me donnais une claque. Il faut que je reste éveillais,il faut que je reste éveillais, non il ne faut pas que je m'endormes. Le loup noir était devant moi assis et surpris, on voyait plus loin le corps de l'homme. Je me relevai lentement, mais à cause de l'argent, mes jambes me lâchèrent et je retombais à genoux. Le loup s'était mis sous mon bras de façon à me faire une canne. Je dis:

Evelyne: Merci pour votre aide, mais puis-je vous demandai un dernier service ?

Le loup hocha la tête et je continuai me séparant de sa fourrure ébène.

Evelyne: Pouvais-vous porter cet homme, et le ramener chez moi s'il vous plaît ?

Il me regarda de nouveau surpris. J'avais l'impression de lui en faire voir de toute les couleurs, quand on regardai sa tête. Je me retournai vers l'homme évanoui au sol et m'accroupie près de lui. Le loup ne bougea pas, j'avais compris qu'il ne m'aiderait pas sur ce coup là, en même tant je viens de lui demander de m'aider à soigner mon agresseur. Il doit sûrement me prendre pour une folle. 

Evelyne: Alors pouvez-vous aller me cueillir une tulipe ? tentais-je.

Il me regarda l'air de dire, c'est une blague, mais je gardais tout mon sérieux, et le vit partir vers la forêt. J'espère qu'il va revenir. Puis n'ayant pas quitté l'endroit de la forêt par où il avait disparu, des yeux, je ne sentis pas tout de suite l'odeur du loup derrière moi. Et quand je lui fis face et il me lécha sur toute la longueur du visage.

Evelyne: Ça c'est vraiment pas coule.

Même si j'étais maintenant toute poisseuse, je souriais, enfin un moment sans que je pense Eve. Mais je revins vite à la réalité quand je vis la tulipe et l'homme évanoui devant moi. Je commençais à manger les pétales de la tulipes sous le regard ahuris du loup. Après avoir fini, le poids de Eve sur mes épaules s'enleva et une nouvelle force naissait en moi. Je pris l'homme sur mon dos, me levai et fis un bref "merci" avant de courir en direction de chez moi, à l'intérieur de la forêt. Et oui, à chaque fois que je mange les pétale d'une tulipe, mon côté loup dors pendant que mon côté démon prend le dessus. Après quelques minutes de course à éviter les arbres, j'arrivai devant mon nouveau chez moi, très peu essoufflée. Même si je réussissais toujours à porter l'homme je sentais que l'effet de la tulipe devenait de plus en plus faible. Vite il faut que je l'allonge dans ma chambre. Alors que je montais les escaliers, je faillis loupé une marche ce qui m'aurait valu une grosse chute. Arrivée à ma chambre, je le fis rouler su le lit et commençai à panser  ses griffures et sa tête, mais le loup de tout à l'heure arriva. Je me levai, devinant sa requête, lui mis un peignoir sur le dos. Il se transforma et il avait l'air sérieusement énervé. 

Conrad: Il va falloir que j'ai une discussion avec toi.


#bonne rentrée#




La Rage Folle [pause] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant