Chapitre 24
Une nuit qui frôle le parfait et un réveil rêvé dans les bras de l'homme de ma vie. C'est la peinture parfaite de ma vie, c'est mon rêve qui se voit réalisé.
Les " je t'aime " pleuvent à l'unisson, cet ambiance est tellement romantique que demander de plus. Si ce n'est toujours plus d'amour, plus de bonheur, plus de douceur et cela pour l'infini.
Un amour sincère est souvent une misère. Il demande plus d'amour donc plus d'efforts. Il demande tout et veux tout, il n'a ni retour ni mesure. Un amour sincère est dés fois plus un fardeau qu'un flambeau.
Alejandro est sur son tapis de prière, je l'observe et suis tellement fière d'être sa femme, sa dulcinée et lui mon roi, ma drogue.
-amour !
-Humm ! Je réponds.
-Tu veux bien prendre ton bain et venir prier !
Ah mon cher mari, il est tellement exigeant sur la prière !
Cela me rappelle le jour où il a découvert que je ne priais pas, il a pété les plombs. Il voulait plus me parler, m'ignorait. À bout de souffle, je me suis excusé et a promis de respecter mes prières. Il est revenu à de meilleurs sentiments et depuis lors je n'ose même pas ne pas le faire.
-j'y vais ! Je lance en me dirigeant nue vers les toilettes.
Après une bonne douche bien méritée, je m'habille en jellaba blanc et une grand-voile qui me couvre correctement. Je finis de prier et reste sur la natte pour faire mes wird. Lorsque j'en ai fini, j'enfile une combinaison-short fleuri et retrouve mon homme au balcon. Il est de dos et regarde au loin, totalement absent. Je l'enlace par la taille, de derrière et glisse mes mains sous son t-shirt. Je le sens frissonner, cela m'arrache un petit sourire coquin.
-tu as faim ? Demande-t-il.
-oui ! De toi. Je murmure dans son oreille en me mettant sur la pointe des pieds.
-très intéressant ! On en reparle après le petit déjeuner. Parce-que moi j'ai trop faim. Dit-il avec un sourire au coin.
On prit place sur la terrasse ou le petit déjeuner est déjà déposé. Ah vrai dire, je n'ai pas trop faim. Par contre Alejandro se sert comme un porc, on aurait qu'il a passé un an sans manger. Je le regarde tout dévorer, amusée. Il ne me prête même pas attention je décide d'aller mettre quelque chose de plus sexy histoire de le rendre fou. Je me mis nue et enfile une lingerie fine très courte à peine dessous des fesses et très transparente de couleur jaune.
-chérie.
-oui.
-tu viens stp.
-j'arrive.
Je me mis confortablement sur le lis et me mis à me caresser sensuellement.
-Seyda. Dit-il avec une moue qui me fait éclater de rire.
-approche.
-tu sais j'ai envié de suivre le match.
-tu ne veux pas prendre ton dessert donc ? Dis-je sourire aux lèvres.
Je me lève du lit et lui dit d'aller se détendre, je le laisse en paix. S'il y croit c'est qu'il ne me connaît pas.
-merci chérie. Dit-il en m'embrassant sur la bouche.
Il s'installe sur le canapé et allume la télévision. Il met son match et se concentre déjà.
Bon que le show commence.
Je me mets à essayer les pagnes ultras sexy que ma mère m'avait remis. Chaque homme a ses faiblesses et celui de mon homme c'est de me voir en pagne. Il sera servi.
J'en mets un en blanc, les sains en l'air, le pagne complètement troué de partout. Je passe devant lui pour aller vers le grand miroir qui se trouve prêt de la porte. Je sentis son regard sur moi mais je l'ignore en me mirent avec admiration. Après ce blanc bien beau j'en enfile une autre cette fois-ci robe bleu courte faites à la main on aurait dit que je suis nue. Je passe de nouveau devant lui. Cette fois-ci il se met en position assise, il semble complètement perdu. Je repasse devant lui et décide d'en mettre une noire. C'est un petit Sting fait à la main, accompagné d'un petit haut, troué au niveau des tétons.
Je passe devant lui de nouveau de nouveau devant lui. Cette fois encore ses yeux ne quitte pas mon corps d'une minute. Je décide alors de m'allonger près de lui. Je saisis mon téléphone et me couche, les cuisses étalées sur les siennes. Je décide d'appeler ma mère.
Il dépose une main sur ma cuisse et continue de me dévorer du regard. Je décide alors de m'amuser avec ses nerfs. Je lève un peu l'une de mes jambes le laissant voir comment le Sting fend mes lèvres en deux.
-allô ! Maman.
-comment tu vas ma chérie ?
-Très bien et toi ?
-aussi ! Ton père est de retour mais il est sorti pour le moment.
-ah ! Ça m'a échappé.
Alejandro avait son pouce sur mon clito qu'il titille agressivement. Je veux rallonger ma jambe mais il me retient. Il place mon pied entre ses cuisses afin que je ne bouge pas.
Je regarde sa main bouger et j'en perds mes moyens.
-Seyda tu es là ! Dis ma mère me ramenant à la réalité.
-oui ! ... Je ... Je te rappelle. Dis-je en raccrochant sans la laisser en placer un.
Il plonge lentement un doigt en moi. Je ferme les yeux en me mordant la lèvre inférieure pour ne pas crier. Il s'immobilise d'un coup.
-ouvre les yeux ! Ordonne-t-il.
-je veux que tu me regardes ! Ajoute-t-il la voix rauque.
Je le sens se durcir contre ma cuisse.
Je m'exécute, il enfonce cette fois-ci deux doigts en moi.
Je le regarde les larmes aux yeux criant son nom.
-baise moi ! Je cris en remuant le bassin.
Il sourit, se lève et sort son engin incroyablement gros . Il me retourne et me pris par arrière. Je suis tellement dans les nuages que je crois que je ne vais jamais tomber. Il m'a défoncé comme un fauve. Oh que j'ai adoré !
Essoufflé, je m'allonge sur lui tout en sueur.
-tu es ma pute à moi !
-tu m'as pilonnée comme un dieu. Oh que je t'aime !
Un baiser sur le front, je m'en doré comme un bébé.
Quoi qu'un bébé un peu trop cochonne.
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NOIR DESIR
RomanceLe piège de la haine, c'est quelle nous enlace trop étroitement à l'adversaire. Milan Kundera