Chapitre 28
Narrateur externe
Son oncle me regardait d'un regard qu'il ne connaissait que trop bien. Son fils était né dépenses quelques jours et son oncle était la pour le baptême de l'enfant que sa femme avait insisté pour qu'il porte le nom de Moustapha le nom de son père adoptif. Cette dernière était reconnaissante qu'il fût là lorsqu'elle a eu son malaise. Seyda était reconnaissant qu'il les ai sauvé son fils et elle. En effet elle s'était retrouver pendant 2 semaines dans le coma. Alors que Alejandro avait pris la décision pour qu'on enlève le bébé pour qu'elle soit sauvé. Il s'était courageusement mis sur son chemin en rugissant comme un lion sur tous les toîts qu'il était hors de question. Les deux hommes s'étaient crier dessus comme des fauves pas la peine de demander d'où Alejandro tient son caractère de chien.
-Ce n'est pas ta famille, c'est la mienne et c'est à moi son mari de décider. Avait dit Alejandro en haussant le ton dans le jardin de l'hôpital.
-si tu veux tué cet être innocent qui vit en elle, tu passeras d'abord sur mon corps même si je suis déjà en train de mourir de chagrin. Seyda est ma fille et elle me le pardonnera jamais si elle se réveille sans son bébé et à toi d'ailleurs non plus.
-parce-que aujourd'hui tu peux te soucier de la vie d'un être innocent, toi qui a abandonné ton fils en fuyant comme un voleur. Ce fils qui a appris à prendre des décisions tout seul parce-que son père ne voulait pas de lui. Toi le même père qui a fui une famille qui te donnait beaucoup d'amour pour en créer un autre, tu oses me dire comment gérer mon foyer.
-Dis moi tout ce que tu veux car je le mérite. Tout ce que j'aimerais que tu saches que ce n'est pas à cause de toi que j'ai fui. J'étais jeune, j'avais peur de cet amour que me portait ta mère et de la responsabilité d'être un bon père. Je n'étais pas prêt à être père sachant que toute une famille était derrière moi et attendait de moi que je change leur vie. Mais ça tu ne peux pas le comprendre. Fils ne fait pas la bêtise de ton vieux père, Seyda tiens à la vie de cet enfant plus qu'à la sienne. Si tu le lui enlève elle ne te le pardonnera jamais. Je connais ma fille elle s'en sortira, elle est forte.
-Si elle s'en sort pas c'est moi qui ne me le pardonnera jamais! Dit Alejandro en s'affessant sur le banc la tête entre les mains.
-tout ira bien! Dit le vieux Moustapha en lui tapotant l'épaule mais regretta son acte dès que leur regard se croisèrent.
Et depuis ce jour il ne lui adressait pas la parole mais cela ne changeait en rien l'enthousiasme de son père lorsqu'il su que le petit portait son nom. Son oncle ne comprenant plus la réaction de son neveux décide de lui parler avant que les choses deviennent plus grave. Samira même qui a été la plus blessée a su le pardonner et l'acceuillait convenablement chaque fois qu'il passait pour voir son petit fils. Depuis l'accident de Seyda, le couple avait décidé de rester près de leur maman Samira..
-Alejandro quelque soit ce qu'il a fait il restera toujours ton père. Et devant Dieu tu ne pourras jamais avoir raison sur lui devant Dieu.oublie ce qui s'est passé et va lui demander pardon et Dieu ne t'en élèvera que plus haut.
-mais mon oncle...
-il n'y a pas de mais qui tienne. Je te donne deux jours pour le faire je dois rentrer chez moi.
-mais..
Il ne le laissant pas en placer un. Il s'en alla le laissant seul dans une médiation très rude.
Il regagne sa chambre ou Seyda était entrain de s'habiller après une bonne douche. Moustapha était avec ses grands parents, elle en avait profité pour prendre un bon bain et se reposer un peu.
Moustaph s'assit sur le lit la contemplant sa femme qui semblait l'ignorer complètement. Cette dernière lui avait promis de ne pas changer de comportement envers lui tant qu'il ne se comportera bien avec son père.
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NOIR DESIR
RomanceLe piège de la haine, c'est quelle nous enlace trop étroitement à l'adversaire. Milan Kundera