Part VII (La nuit de noce)

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On était parti de la réception et on laissa nos témoins s'approprier la fête. Notre chauffeur nous conduisit jusqu'à la maison pour que nous y poursuivons notre réception. Je la portai dans mes mains pour monter dans la chambre. Elle sourit et passa ses mains sur mon cou. Elle me fixa dans les yeux et me dit :
- J'ai une faveur à te demandé.
- Tout ce que tu veux ma chérie.
- J'aime beaucoup quand tu me portes dans tes mains. Je me sens en sécurité. Et je n'aime pas que ce moment prenne fin. Je veux que tu me fasses vivre ceci chaque matin. Affirma-t-elle
- Avec plaisir ma chérie. Toi et moi?..
- Contre le monde. Répondit-elle.
C'était notre slogan qu'on avait appris depuis l'Université. Moi et elle contre le monde et j'espère que ce sera ainsi jusqu'à ce que la mort nous sépare. Je la posai sur le lit, dans la chambre et on se déshabilla tout les deux. C'était notre nuit de noce et la cérémonie doit être au complet. Elle se dirigea vers la douche où elle prit un bain chaud. J'étais déjà allongé sur le lit décoré à fleur de rose qui dessinait un coeur juste au milieu. Je la regardai rentrer dans la chambre, son corps nue recouverte par la serviette. Elle éteint la lumière et la chambre était éclairée par les flammes de la bougie. C'était notre première nuit érotique. Le décorateur de la chambre avait tout prévu. Elle mis une musique au rythme des indiens. Je me relevai et m'installai au bord du lit pour bien suivre la scène. Elle m'offrit unem strip-tease pendant lequel elle laissa tomber la serviette qui recouvrait son corps. J'eu un peu chaud. Sa nudité était aussi belle que son corps recouvert. Elle s'approcha de moi et me poussa sur le lit. Elle s'installa à califourchon sur moi, et approcha ses lèvres des miennes. Elle invita ma langue qui s'était déjà investie dans sa bouche pour caresser la langue. Je sentis ses fesses fraiches assises sur mon érection. La laisser mener la danse à notre premier soir n'était pas une bonne idée. Je suis le chef du foyer alors je dois mettre ma force en valeur. Je me souviens encore de notre amusement dans le parc. Aussitôt je la renversai sur le lit et c'était à mon tour de me retrouver sur elle.

DE LA JOIE A LA PEINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant