Part XVI

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Jusqu'ici, tout allait bien. Je n'étais pas troublé.

Quelques semaines plus tard.

Le bureau de Theresa était juste à côté du mien. Je sortis de mon bureau pour me rendre dans le parking et qu'est-ce que je vis?
Theresa s'était abaissée et elle ramassait des dossiers qui, je crois, étaient tombés. Je n'ai pas pu m'empêcher de regarder mon regard. Les traces de son slip se faisaient voir sur sa jupe moulante. Ses cuisses bronzes étaient exposées. J'étais hypnotisé devant ce que je voyais et les choses se passaient dans ma tête. Là, j'étais vraiment troublée.
Le soir, l'heure était sonnée pour qu'on ferme. J'avais beaucoup de travail donc je n'ai pas pu partir à l'heure prévue. Mais à ma sortie de mon bureau, le bureau de Theresa était éclairé. Alors je rentrai:
- pourquoi tu n'es pas partie? Tu fais quoi encore ici ? Dis-je
- Je suis entrain de remplir les factures qui viennent d'arriver. M'a-t-elle dit.
Elle avait un peu monté sa jupe et je voyais ses jambes qui étaient très séduisantes. Elle l'avait fait exprès. Je la fixai du regard un moment puis je pensai à ma femme à la maison.
Je sortis du bureau mais pas mes pensées. Elles étaient toujours la bas. Je me suis retourné et je suis rentré de nouveau dans le bureau sans frappé. Tout le monde était parti, il ne restait que nous deux.
- Vous avez oublié quelque chose monsieur ? Me demanda-t-elle.
Elle n'eut pas de réponses à sa question. Je m'approchai d'elle et bizarrement elle n'était pas surprise.
Elle souriait. Je retirai les dossiers d'entre ses mains doucement. Elle me tira par la cravate et j'étais très proche de ses lèvres. Elle était assise dans le canapé et j'avais pris appui sur les bras du canapé. Mes lèvres s'emparèrent des siennes. C'était un jeu et je me suis laissé allé. Je n'ai pas pu résister à son charme. Elle avait passé sa main autour de mon cou. Pour être dans une position plus satisfaisante, je la transportai pour la poser sur la table. Nos langues se caressaient dans nos bouches.
Je passai ma main à travers la jupe pour défaire le string qu'elle avait mis.

DE LA JOIE A LA PEINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant