DE LA JOIE A LA PEINE

Part VIII

La musique résonnait. Nos cœurs battaient, mais nos langues se caresserent j'étais sur elle et elle était au dessous de moi. Elle saisit mon machin et je soufflai. Sa main humide caressait mon érection et je sentais sa main aller et revenir sur mon entre jambe. Elle le caressa quelques minutes et plaça le bout dans son jardin potager. Je lui donnai,pour commencer, un coup léger. Elle gémit. Alors j'accelerais. Je me dehanchait sur le rythme de la musique qui résonnait. Je sentais son souffle chaud dans mon cou. Ses mains qui caressaient mes fesses me disant d'aller plus vite. J'allais et je revenais entre ses reins. Nos respirations se mêlèrent. Je suçais ses seins par moment, et je l'embrassais aussi dans le cou.
Mes coups d'assainissement se faisaient très rude et ses gémissements se faisaient encore plus fort. C'était tellement bon, je me sentais entré en elle, et j'avais l'impression de mettre mon organe dans du beurre. Je mortilllais un peu ses oreilles avant de lui soufflait :
- Je t'aime. Ce sera toujours toi et moi contre le monde.
- Je t'aime aussi. Souffla-t-elle avec tant d'émotions. Elle retira mon marteau piqueur et me poussa à nouveau sur le lit, j'étais allongé sur le dos et elle s'installa sur moi. Avec cette envie de commander, elle commença par me chevaucher. Même couché je donnais des coups. Je regardais ses seins bondirent, et ses cheveux danser derrière elle. Ce soir était le première fois où je couche avec une fille sans crainte ni préservatif. Cela m'appartenait désormais et j'ai compris que je pouvais le faire à n'importe quel moment.
Elle s'était bien défoulée, et refusa de se leva sur moi. On resta dans cette posture jusqu'au petit matin.
- J'ai tellement aimé ce moment. Me dit-elle.
- Moi aussi. On aura tout le temps pour ça à notre lune de miel.
On se leva pour aller se doucher après quoi on pris le petit déjeuner.
Il y avait plein de cadeau au salon, elle appela les témoins qui vinrent nous aider avec les cadeaux. Pendant qu'on ouvrait les cadeaux, je ne cessais de la regarder par moment. Je ne prenais pas au sérieux ce que je faisais mais je fus marqué par un cadeau.
C'était une enveloppe mais à l'intérieur, il y'avait deux billets d'avion. Et c'était écrit sur la lettre : "Pour votre lune de miel". Les billets étaient pour Miami. C'était de la part de mon ami Stuart. Je lui redevrai bien ce gros cadeau.