Part XIV

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Elle enleva premièrement son dessus, et son soutien-gorge ne cachait pas grande chose. On dirait un demi soutien-gorge. Je n'en sais pas trop. Ses rotoplots étaient encore en état et belle à la vue. Elle rinça premièrement son habit et plusieurs gouttes d'eaux étaient tombées. Maintenant, elle doit enlever le dessous, dans ma voiture. Je jetai de bref coup d'œil dans le rétroviseur et je voyais tout. Elle décida de ne plus le faire. À quelque mètres et on est chez elle.
Elle me remercia et me donna un baiser sur la joue. Avant de sortir en courant. Je n'ai pas compris ce geste.
Elle se croit avec son petit copain ou quoi ? Je suis son patron l'aurait-elle oublié?
Je contournai la route et me rendis chez moi. Avec toutes ces courses, je finis par rentrer à la maison un peu tard par rapport aux autres jours. Il faisait très froid. Parker était dans son petit lit recouvert du pied jusqu'à la tête, je montai après pour aller rejoindre ma femme. Elle était assise sur lit avec mon gros pull, son regard était perché vers la porte.
- Tu es rentré tard, pourquoi? Le mot qu'elle m'addressa comme bienvenu.
- Excuse moi, c'était à cause de la pluie. On voulait attendre pour qu'elle diminue un peu mais elle ne faisait que s'aggraver alors on s'est lancé. Je vais prendre une douche et je te rejoins.
- D'accord chérie. Je t'attends. Elle sourit.
Je ne pouvais pas lui parler de mon assistante et nos courses. Cela n'avait pas d'importance. Je reviens de la douche et la rejoint. On dormit ensemble pendant que je la serrai très fort dans mes bras. Mais bien avant, on s'était un peu réchauffé.
La fin d'une journée n'annonce que le début d'une autre. Et cette autre journée n'a rien de nouveau. Toujours la routine. Je me préparai le matin et partis pour le travail. J'étais dans mon bureau quand quelqu'un frappa.
-Entrer. Dis-je
- Bonjour monsieur. C'était Theresa.
- Oui bonjour.
- Je voulais m'excuser pour le bisou d'hier. J'étais vraiment touchée par votre gentillesse et je ne savais pas comment vous remercier. Excusez moi.
- Ce n'est pas grave. J'ai compris. Maintenant tu peux retourner travailler. J'affirmai. Mais le baiser était bien en fait. Ses lèvres humides ont fait une très bonne impression sur ma joue mais je ne pouvais pas le lui dire.
Jusque la, tout était bien au bureau mais ce soir les choses n'étaient pas très bien à la maison.

DE LA JOIE A LA PEINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant