Le début. Part I

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Jeune ado depuis le lycée, on pensait pouvoir séduire toutes les filles et c'était le défi qu'on se lançait. Avec cette attitude, nous sommes montés à l'Université.

- Descends sur terre Jack. Arrêtes d'avoir la berlue, cette fille est trop belle pour toi. Ricana Stuart, mon ami de l'Université.
On était tous assis dans la cantine de l'Université quand Christelle passait aussi avec ses amies. Cette fille me plaisait beaucoup. Elle était sa doute la plus belle de l'Université. Depuis mon premier jour dans cet établissement, j'avais toutes mes pensées sur elle. Elle l'ignorait encore. Mais mes amis ne cessent de me dire qu'elle n'est pas de mon rang. Je n'ai jamais aimé qu'on me lance un défis. Je l'ai hérité de mon père. C'est un agent de police et il m'a donné un peu de son courage.
- Cette fille sera a moi Stuart. Je viendrai te la présenter. Crois moi. Dis-je très sûr de moi.
Cela ne l'étonna pas puisqu'il me connaissait un peu bien. Je cherchai, depuis ce jour, un moyen de l'aborder. Elle ne marchait jamais seule, elle était toujours accompagnée de ces amies. On dirait ces gardes du corps. Si seulement je connaissais chez elle, je pourrais aller y faire un tour. Mais Hélas.
Je vivais encore avec mes parents en ce moment et j'avais 20 ans. On s'en sortait bien avec le salaire de policier de mon père et les bénéfices de ma mère sur les ventes dans sa boutique. J'étais un enfant comblé. Mais pas totalement puisque je n'avais pas encore Christelle et quand j'y pense, j'ai l'impression qu'il manque quelque chose pour que ma joie soit complète.
J'ai pensé à ce que mes amis occupent les deux amies de Christelle pour que moi je puisse l'aborder. Sa beauté m'attirait beaucoup et je n'étais pas le seul dans l'Université. Je remarquais aussi certains démarches de notre professeur d'anglais.
Ce jeudi à l'Université, je marchais avec mes amis quand je l'ai aperçu. Elle était seule devant la salle des profs. Qu'est-ce qu'elle faisait la, cela ne me regardait pas, ce qui me concerne, c'était le fait qu'elle soit enfin seule.
Je saluai mes amis et je part à l'aventure. J'étais très content, c'était mon jour de chance. Plus rien ne pourra m'arrêter. Je suis près de mon but et je vais l'atteindre. C'était ce qui tournait dans ma tête.

DE LA JOIE A LA PEINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant