Part X

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Je rentrai dans la maison et qui je vois là, c'était mon père. Ah je suis soulagé. - Eh fiston, bienvenu. S'écria-t-il..
- Merci papa.
- Tu m'as pendant volé ma femme et moi aussi je suis là pour te rendre la monnaie de ta pièce. Rigola-t-il.
Le vieux était la pour m'embêter, je le sens. Il était à la retraite et il ne cessait de me dire qu'il est trop fier de moi. Il m'a aussi rappelé qu'il viendra m'embêter chez ma femme.
- Christelle, ton mari est le pire des fils que je n'ai jamais eu. Même à l'âge de 10 ans, il mouillait encore le lit. Il rit
- Ma Rose, ne l'écoute pas.
Je venais d'une famille heureuse et j'étais comblé sur tous les points.
- Bon, j'étais venu pour vous saluer et profiter du gâteau à la caramel de Christelle. Ce fut fait alors, je retourne chez moi. Mon père n'était pas du genre à venir passer un séjour chez son fils. Le grand policier qui fait peur à tous les brigands de Chicago, il était trop fier pour ça. Je voyais encore Christelle se moquer de moi pendant que mon père voulait me parler en privé.
- Tu as une belle femme. Prends-en soin. Les prédateurs ne manquent pas de nos jours. Ils sont même prêt à prendre la femme d'autrui. Me conseilla-t-il
- Merci papa. T'es le meilleur que je connaisse. Et c'était vrai ce que j'ai dit.
- Merci. Espérons qu'un jour, ton fils te dise aussi la même chose. C'est ça qui compte. L'amour. En fait je suis venu t'apporter une nouvelle. Il s'agit de Jeanne, ta mère. Elle est malade et elle veut te voir. Avoua mon père d'une voix un peu triste.
- C'est grave? Demandai-je anxieux.
- Non, mais tu connais ta mère. Elle exagère toujours. Je ne cesse de lui dire que ça va passer mais il répète que personne ne connait l'avenir, alors le mieux est que tu ailles la voir. Et avec ta femme.
- D'accord papa.
- Au revoir. Salue ta femme pour moi. Il partit et j'entends encore le son de sa voiture s'en aller. Comment je vais faire pour démentir ce que mon père à dit à Christelle. Elle va se moquer de moi jusqu'à près d'un an. Quand je suis rentré, elle riait encore.
- J'ai un joli cadeau pour toi, mais si tu continue par te moquer de moi à cause des mensonges de mon père, j'en ferai cadeau au veuve.
Elle se retint pour un moment. C'était juste un mensonge. Les femmes sont très facile à tromper.

DE LA JOIE A LA PEINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant