Chapitre 20

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Chapitre 20 :

«-Chou, si tu veux faire du piano faut t'entraîner !

-J'avoue que je commence à regretter...

-Ax, c'est pas si compliqué. Regarde.

-Astrid !

-Désolé ! Je t'adore chérie.

-Oui, moi aussi, on peut arrêter s'il te plaît ?

-D'accord, si tu veux.»

Cela faisait bien une heure que je travaillais le piano, et j'avoue que je commençais à détesté le sont de cette instrument. Astrid est plutôt dure comme prof, je pense que c'est comme ça qu'elle a appris mais ça marche pas avec moi.

On décide de monter dans sa chambre, je sais que sa chambre est dans les tons de turquoises, enfin c'est se qu'elle m'a dit. Je m'assois sur son lit un peu découragé.

«-Désolé chou, je veux pas que ça devienne une corvée pour toi... S'excusa t-elle.

-Non, tu veut bien faire c'est normal.

-Oui... C'est important pour moi que tu sois heureuse. Tu n'en a tellement pas l'air !

-Si je suis heureuse, tu veut que je te dise un truc un peu niais ? Je suis plus heureuse avec toi !

-Moi aussi, je suis bien avec toi !

-Aller viens dans mes bras ! Elle sauta sur son lit me pris dans ses bras et m'embrassa.

-Axelle, je peux te dire un truc ?

-Ouais ?

-Écoute, t'est pas obliger de répondre hein, et faut pas que tu est peur de moi ou quoi !

-Bah vas-y dis moi je comprends pas.

-Je... Je t'aime ! S'exclama t'elle.

-Ah, c'est ça ? Mais moi aussi je t'aime, si tu savais comme je t'aime !

-Ça te dirais de dormir à la maison la semaine prochaine ?

-Oui, en plus ça sera le début des vacances de Noël !

-Déjà ! Tu te rends compte ça va bientôt faire deux mois nous deux !

-Le temps passe vite ! D'ailleurs je suis vraiment désolé chou mais je crois qu'il va falloir que j'y aille !

-Ah, bah oui. Tu veux que mon père te ramène ?

-Je veux pas le déranger.

-Et bien enfaite si tu dit non tu le vexerait.

-Alors on part sur un oui !»

Je descends donc en tenant la main de Astrid, j'avais un peu peur de tomber. Lorsqu'on arrive en bas elle demande à son père de me ramener, il accepte avant même qu'elle est fini de lui demander. Alors que je pensais qu'elle viendrait avec moi elle m'embrasse et me dit à la prochaine en m'expliquant qu'elle n'a pas fait ses devoirs et vous voulez savoir un truc ça ne m'étonne pas, Astrid a du mal à faire ses devoirs en avance elle fait toujours tout à la dernière minute même apprendre pour des contrôles et elle a de super notes en plus, allez comprendre !

  Je monte dans la voiture de son père qui engage la conversations :

«-Sinon Axelle tu vas bien ?

-Oui et vous ?

-Tutoie moi je t'en pris je ne suis pas si vieux que ça !

-Très bien monsieur !

-Je m'appel Olivier.

-J'essaierai de m'en rappelé !

-Tu as intérêt sinon la prochaine fois tu ne rentre pas chez moi !

-Et bien ne vous attacher pas trop on ne se reverra surement plus du coup !

-Très drôle ! Enfin je ne sais pas, tu sais Astrid me fait rire alors je ne sais pas si c'est flatteur lorsque je trouve quelqu'un drôle.

-C'est sur vous avez un humour particulier !

-Je lui est tout appris !

-Je m'en suis rendue compte. Elle fait beaucoup rire mon père !

-Dit lui de faire attention ça nous encourage !

-Il ne s'arrêtera pas, et c'est moi qui vais en pâtir !

-Il faut savoir fait des sacrifices en amour !

-Oh !

-Oui je suis au courant, mais t'inquiète pas je suis très heureux pour vous deux. Je suis ouvert d'esprit ça ne me dérange pas, pas comme mais fichu voisins !

-Je suis contente, j'ai eu peur que vous ne me laissiez réellement plus rentrer chez vous !

-Mais c'est le cas, si tu ne te rappelle plus de mon prénom la prochaine fois tu ne rentre pas !

-C'est Olivier !

-Et dix point pour Gryffondor !»

On arriva chez moi, je lui dis au revoir et me repéra dans l'allée grâce à ma canne. Je sonna, la porte s'ouvrit d'un seul coup et on m'attrapa, quelqu'un me sera fort dans ses bras, très fort. Cette personne avait une forte odeur, un parfum que je connaissais très bien puisque pour moi il représente la folie à l'état pure.

«-Tata ! M'exclamais je.

-Ça va ma puce ? Ça fait un petit moment qu'on ne s'ai pas vue !

-Mais je ne te vois plus depuis plusieurs année !

-Que tu est drôle ! Ça me fait penser à Jacob, je l'est rencontré dans un hôtel des Maldives, un beau brun ténébreux avec de très grandes main ! Ouh, je me rappel de ses caresses et tu sais ce qu'on dit des hommes à grandes mains chérie, grandes mains grand...

-Oui, oui Victoire reste manger ce soir ! Coupa ma mère.

-Cool, elle pourra me parler un peu mieux de se Jacob.

-Au attend, l'autre jour j'étais dans la salle d'attente de mon dentiste, je sais pas très glamour, et j'ai croisé le regard d'un blond, aux yeux bleu magnifique !

-Il s'appelait comment celui la ?

-Ma puce je vais te faire une confidence, j'ai tellement bu se soir là que je ne me rappel plus de son nom ! S'écria t'elle en riant. »

Je vous avait dit que c'était un spécimen, mon père est mort de rire et ma mère est morte de honte. Attention la soirée ne fait que commencé !

AveuglémentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant