Chapitre 15

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« -Attends, deux minute, tu veux dire que la révolution c'est basé sur un quiproquo !? S'exclama ma copine

-Non, elle aurait débuté un jour ou l'autre mais la prise de la bastille est un grand quiproquo entre les dirigeants de la prison et le peuple !

-C'est dingue !

-Ouais, mais sans cela la France ne serait pas un pays en démocratie !

-C'était en 1789 elle avait le temps ta France de changer avant notre arriver, dit tu met le chauffage dans ta chambre ? Demanda Astrid.

-Euh oui mais pas très fort pourquoi ?

-Je suis congeler, enfin pas au sens propre mais c'est limite.

-Bah, ma mère à bien du mettre un plaid sur mon lit prend le !

-Okay, thank's !

-Alors, faut qu'on fasse une recherche sur le dauphin.

-Chou, on fait pas un exposé sur le Marineland je pense pas que ça existait d'ailleurs !

-Mais non ! Je ris. Le dauphin c'est le fils du roi !

-Ah... Oups ! Dit Astrid en rigolant à son tour. Tu veut entendre une bonne blague ?

-Euh, vas y.

-Tu connais la blague de la chaise ?

-Non.

-Elle est pliante !

-Astrid... Je rigolais de gêne.

-Rubis non plus à pas rit...

-Je la comprend !

-D'ailleurs mercredi Rubis et moi on va au centre commerciale tu veut venir avec nous ?

-Euh, je ne sais pas tu sais je suis embêtante en publique.

-Pourquoi ?

-Bah, tout le monde me regarde...

-Et alors j'en ai rien à faire, moi j'aime être avec toi et je me fou complètement que l'on te regarde, allez viens là ! »

Elle me prit dans les bras, on travaillais sur mon lit on s'allongea et on resta là dans les bras l'une de l'autre, j'adorais son parfum je me sentais vraiment heureuse. Je sais que je me répète mais j'aimerais énormément pouvoir la voir pouvoir être normale pour qu'elle est une copine normale. Même si elle se comporte comme si ça lui était égale je suis sûr qu'au fond ça la dérange un peu parce que c'est sûre que ça dérange, c'est gênant d'être avec quelqu'un qui voit rien. Finalement j'accepte d'aller faire du shopping mais j'ai peur que Rubis nous emmène dans une boutique glauque.

Pendant qu'on finissaient notre exposé ma mère rentre dans ma chambre pour proposé à Astrid de rester manger chez nous ce qu'elle accepte à mon grand plaisir. Ma mère nous a préparé un de mes plats préféré la timbale milanaise c'est des pâtes avec des champignons, de la sauce tomates, du gruyère, des œufs et des dés de jambons c'est juste trop bon. Au début Astrid n'ose pas trop parler mais ma mère qui se retenait depuis un moment de pas l'attaquer de question ce lâche d'un seul coup :

« -Et sinon Astrid tu sait ce que tu veux faire plus tard ?

-Euh... J'ai plusieurs projet qui me plaisent comme travailler dans le tourisme, ou le journalisme mais quelque chose qui me plairait beaucoup c'est être bibliothécaire.

-C'est bien, c'est très intéressant d'avoir autant d'envie et si en plus tu en a les capacités tu n'as que l'embarras du choix !

-Oui, je pense que c'est aussi compliqué de ne pas avoir de choix que d'en avoir trop, j'ai peur de me tromper.

-Je sais que tu as déjà dû entendre ça mais dans la vie il faut faire un métier qui nous plaisent avant tout, un métier qui nous rend heureux et qui nous fait gagner assez d'argent pour vivre. Que font tes parents dans la vie ?

-Mon père est pharmacien et ma mère ne vit plus avec nous depuis longtemps ! Je ne savais pas qu'elle avait des parents divorcés.

-Oh excuse moi je ne savais pas.

-Non ce n'est rien !

-Astrid tu as bien une blague à nous raconter ? Demande mon père.

-C'est un mec qui rentre dans un bar en criant "Coucou c'est moi !" Mais enfaite c'était pas lui ! Mon père rit.

-Mais papa c'est pourris comme blague !

-Mais c'est ça qui est drôle ! S'exclama celui ci

-Y'a quand même des blagues plus drôle !

-Vas y raconte m'en une ! Dit Astrid.

-Et bien, c'est deux hommes qui discute à un bar le premier demande "t'est née quand ?" L'autre lui répond "le 17 avril 1985 et toi ?" "Pareil t'est née ou ?" "A l'hôpital d'Anger et toi ?" "Tout pareil c'est dingue !" Alors un autre homme rentre dans le bar et demande au serveur "Quoi de neuf ?" "Bah, les jumeaux on encore trop picolé !" . » Je raconte, Astrid et mon père éclate de rire, j'entends un soupire consterné de ma mère. Je ris de leurs réactions.

Après le repas ma mère ramène mon amie chez elle lorsqu'elles sont partis mon père vient me parler dans ma chambre et me raconte qu'Astrid à une bien étrange façon de me regarder je fais un aire faussement étonné je n'est pas envie de les dire tout de suite à mes parents pour pas qu'ils pose trop de questions mais je m'en fiche si ils comprennent, alors je pense que mon père comprends il m'embrasse sur le front et me laisse lire.

AveuglémentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant